RILEY •• Baby was a whore

Kristen Stewart made by tumblr

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•• Riley Mallory Wyman ••
Buck—————–
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Promenons-nous dans les bois, pendant que le loup y est pas... ♫ Assise en tailleur sur la moquette la chambre d'hôtel, je regarde le p'tit griffonner un truc sur un bout de papier. Je crois bien que c'était mes billets d'avion et on s'envole demain. Rien à branler, il était vraiment trop minon Cloud, je pouvais même pas lui dire d'arrêter de colorier tout ce qui passait à porter de main. « Hey, terreur, t'sais que je vais pas pouvoir monter dans l'avion d'main si tu continues de gribouiller ? » Cloud relève la tête vers moi. « Et si je fais un navion ? » Je sent mon cœur chavirer. Comment on peut lui expliquer que les billets faut pas y toucher ? La semaine dernière, il avait fait une cocotte avec un billet de cinquante dollars. L'genre de monnaie qui m'aurait fait vivre un peu plus d'une semaine en Louisiane. « Fait lui des plumes pour qu'il puisse voler. » Je passe ma main dans ses cheveux, les ébouriffant un peu. « T'es bête Buck, les avions ça a pas besoin de plume. C'est de la magie. » J'attrape Cloud par les hanches et le tire vers moi pour lui faire des chatouilles. « Viens par la p'tit bonhomme, demain on ira demander au pilote où se cachent les plumes dans l'avion. » Bon, j'espère aussi qu'ils accepteront de me faire embarquer avec un billet bleu, vert, rose et orange.

19 ans Bisexuelle Occupations un bracelet écouteurs

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¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯Si le loup y était, il nous mangerait... ♪ We want to know all about you, fucking wolf.
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19 y.o R... 6/7 (aa) Une dernière léchouille pour la fin?

« T'sais que Kelly c'est barrée ? » Je relève la tête vers Allison, attrapant la cigarette pendue à ses lèvres pour la caler entre les miennes. « Kelly, le seul endroit où elle c'est barrée c'est West Avenue. Ils payent mieux à Horse Show à c'qu'on raconte. » Bullshit. Si quelqu'un c'était barré de Baton Rouge, on l'aurait tout de suite su. La ville a beau être immense, on se connait tous dans mon milieu. « J'te jure, elle est partie, elle a rencontré un type. » Et l'autre qui s'obstine, en gueulant plus fort que la musique résonnant dans la salle principale. J'ai pas que ça à foutre d'écouter ses conneries, faut que je bosse. Je me penche pour fermer la sangle de mes escarpins, me lève en prenant soin de remonter un peu mes bas résille et balance la clope dans un des cendriers. M'en aller, ça ne me traversait même plus l'esprit. Ma vie elle avait commencé ici, et elle finirait également en Louisiane. J'avance d'un pas chaloupé dans la salle annexe, grimpant les quelques marches qui me séparent encore du podium. Main posée sur la barre, je commence à onduler au son de la musique. Danseuse dans un bar de strip tease, voilà tout ce que j'avais trouvé pour me faire des thunes, après avoir arrêté le lycée, en seconde. Une sorte de traînée, payée à se faire mater, depuis ses seize ans. Mes yeux balayent la pièce, mi clos, avec un air de tigresse imprégnée sur le visage. Je me trémousse, allant de tables en tables, le podium faisant office de comptoir, pour finalement m'arrêter devant un jeune homme. Première à l'avoir vu. Pour une fois que c'était pas un vieux pervers que je me tapais, celui là était pour moi, les autres filles se démerderaient bien. Je m'assieds en face de lui, les jambes de part et d'autre de son torse, la poitrine en avant. « Alors mon chaton, on s'ennuie ce soir ? On a peut être envie d'un show privé ? » Le jeune homme relève les yeux vers moi, détaillant les moindre parcelles de mon corps à moitié dénudé. Fuck me, il est beau en plus d'être jeune. J'comprenais pas pourquoi des types dans son genre pouvaient se rendre seul dans des endroits comme ça. En général, nos clients avaient tous dépassé la cinquantaine, et bobonne prétextait les mal de tête à chaque fois qu'ils osaient la reluquer. « J'ai peur des MST qui traînent. » Vlan, envoyé comme ça. Je hausse un sourcil, ne sachant pas vraiment quoi répondre. J'ai pas l'habitude qu'on me dise non en même temps. Les gars ont déjà la ceinture à moitié dégrafée quand je leur propose d'aller dans les chambres. « Fait chier. » Seul truc que je trouve à répondre, murmuré entre mes lèvres teintée de bordeaux. Ouais, fait chier parce que j'aurais pas mon pourboire si je ramène pas un type avec moi, j'aurais pas non plus mes soixante dix dollars donné par le type qui tenait le bar. Voilà ce que c'était, de se jeter sur la première belle gueule qui passaient les portes. J'suis pas un nid à maladie en plus, mon vagin accueille pas des tas de mst différentes. Putain de touriste, il avait pas la gueule d'un américain. Les français et les anglais sont trop portés sur l'hygiène et toutes ces merdes. Je fais passer une de mes jambes par dessus sa tête, prête à me trouver un autre client, n'importe lequel fera l'affaire. J'sais pas si c'est le fait d'avoir vu mon entre jambe en relief qui l'a fait changé d'avis, mais jolie-gueule pose sa main sur ma cuisse. « Mais j'ai toujours l'hôtel. » Cool, en plus de mon pourboire, j'vais avoir une suite. 'fin fallait mieux pas rêver, ceux qui te proposent les hôtels, c'est plus des môtels. Je descends de la piste, mes mains courant sur son corps, le gratifiant d'un sourire en guise d'approbation. […] Fuck me twice. Il c'était pas foutu de ma gueule, j'avais vraiment touché le gros lot ce soir : un vrai hôtel, avec des chambres immenses. Limite j'ai envie de sauter sur le lit comme une gamine, plutôt que de me désaper. Je tourne les yeux vers Pandore – il m'avait dit son prénom dans le taxi -, et attrape la coupe de champagne qu'il me tend. Une gorgée pas plus, j'aime pas avoir d'alcool dans le sang quand je travaille. Je pose le verre sur une table, attrape le col de Pandore pour le faire coucher sur le lit. Je me place à califourchon sur lui, dégrafant directement mon soutien gorge. « De quoi t'as envie chaton ? » Mes doigts courent le long de sa chemise, dégrafant les boutons un par un, ma langue suivant le mouvement sur sa peau fraichement dénudée. Pour toute réponse de la part de monseigneur, un simple soupire. Ouais, c'était à moi de prendre les initiatives c'est ça ? Tant pis pour toi, tu paieras plus cher. Arrivée au dernière bouton, je m'attaque au bouton de son jean, visage à hauteur de son bassin. La porte claque, j'entends gueuler. Oh, on avait pas appelé le room service. Je relève la tête vers une fille, de l'âge de Pandore, qui rentre on trombe, sourcils froncés, dans la chambre. C'est qui cette hystérique ? Je vois Pandore se redresser, décaler ma cuisse pour pouvoir se lever. « J'prends plus cher pour les groupes. » La nana semble pas franchement encline à s'envoyer en l'air. C'est sa copine ? « Pan', tu dégages cette pute tout de suite. Tu veux donner quoi comme image au groupe ? » Groupe ? Ils font de la musique, un truc comme ça ? Pour ça qu'ils ont l'air aussi riches. Je lance un regard en coin à jolie-gueule et décide à me lever. J'étais là pour les thunes, pas pour me retrouver en pleine guerre de couple. Tout ce qui me fallait, c'était ces deux billets de cent qu'il avait posé sur sa commode. Rapidement, je les attrape, les fourre dans mon soutien gorge aussitôt remis, et me glisse derrière Isis qui continue à hurler. Fuck off, ils sont complétement dingues ces européens. Bon, l'ascenseur c'était par où déjà ? Là. Un commence déjà à se refermer et je me faufile à l'intérieur. Putain. Je me pose directement contre le mur, ma tête reposant contre la paroi, yeux fermés. « Dure journée ? » Je tourne le visage vers la gauche, découvrant un type plein de tatouage, un gamin dans les bras. Weird. Comme s'il y avait une concentration de types bizarre dans le même hôtel. Y avait quoi, un coloc rock'n'roll en Louisiane là ? « J'ai connu pire. » Il semble pas avoir une voix qui tient la route lui, ça grésille de tous les côtés. Il chante peut être du métal, ou ce genre de musique où ils hurlent à s'en déchirer les cordes vocales. La question me démange. « Toi aussi, t'es dans un groupe ? J'viens de tomber sur deux put... deux cinglés, qui crèchent à cet étage. » Y a le petit, faut que je surveille ma façon de parler. J'suis tout le temps à jurer. Le type esquisse un sourire. « J'crois que c'est moi le chanteur. » Merde. Je baisse les yeux, passant une main dans mes cheveux et contenant le rire qui monte. « T'as deux sacrés compères. » Rattrape toi comme tu peux Riley. « C'est Pandore qui t'a fait venir ici ? » Je hoche la tête en signe positif. Quand la pute rencontre des rock star … j'l'ai moyen, faudra que je me tape uniquement des vieux dorénavant. Ça me fait honte là. « T'as une voix zarb pour un chanteur. » J'le vois hausser un sourcil, et il me balance : « Tu sais chanter ? » Et voilà comment, par une nuit qui s'annonçait comme les autres, j'me suis retrouvé comme une remplaçante, d'Iz et sa voix cassée, dans le groupe de ces crazy européens.

« Putain de merde. » Je pose négligemment mon sac sur le parquet lustré du hall de l'hôtel, mes yeux parcourant le luxe ostentatoire qui s'étalait devant moi. Bouche entre ouverte, lèvres s'étirant dans un demi sourire à moitié effacé par la surprise, je n'arrive pas à trouver d'autres mots que mes jurons habituels pour qualifier l'endroit. C'est un palace cet endroit, et les touristes ne semblent même pas se rendre compte de la beauté des lieux. Ils passent tous avec leur portable à la main, comme s'ils avaient un train à prendre et ne jettent même pas un coup d'œil autours d'eux. Putain, j'pourrais rester des heures dans ce hall, à m'émerveiller devant le lustre et le dallage sans aucune fissure. Je sent la main de Iz se poser sur mon épaule, ses lèvres se glisser près de mon oreille. « Surveille ton langage, t'es plus dans ton quartier pourri. » Tu m'étonnes, absolument rien à voir avec ce que j'avais connu auparavant. Même les filles de l'accueil semblent plus soignées et biens habillées que moi. J'dois avoir l'air bête, ou d'une pauvrette qui vient juste baver devant ce qu'elle n'aura jamais. 'tain, je serais seule, sans Iz et le reste du groupe pour me tenir compagnie, les vigiles auraient déjà tous rappliqué pour me foutre à la porte. Bon dieu de merde, ouais c'est tout ce que je trouve à dire. Un homme en costume rouge s'avance vers nous, un sourire polie sur les lèvres. Il tend la main vers mon sac, attrape la lanière et … « Tu fout quoi là ? C'est à moi. » J'entends un rire derrière moi, et un soupire de la part de Pandore. Quoi ? Il allait pas me prendre mon sac et l'embarquer je sais pas où avec lui ! J'ai la totalité de mes affaires dedans, si jamais elles s'envolent, je me retrouve à poil dans deux jours. Le type relève la tête, l'air étonné, et commence à me bafouiller des excuses. C'est Pandore qui prend le relais, et lui tend mon sac. « Vous pouvez le monter dans la chambre, elle plaisantait. » Mais je plaisantais pas du tout ! Je tourne la tête vers lui, comme s'il venait de lui donner l'autorisation de tout faire brûler. Fuck off mate, j'en ai besoin de ce sac. Isis s'approche à son tour, arrêtant de rire un peu, et me glisse doucement que ce type, qui venait de se barrer, montait juste les affaires dans notre chambre. C'était comme ça que ça marchait dans les hôtels. Ah. Bon, je la ferme alors. J'crois bien que je vais plus décrocher une seule parole de la semaine, ça vaudra mieux pour tout le monde, sinon ça va finir en drame. Iz me pousse un peu, direction les ascenseurs. Une fois à l'intérieur, je me sort une clope … vite arrachée d'entre mes lèvres par un de mes potes. « On est en France Riley, on fume pas n'importe où. » Pays de merde. Je range mon briquet dans ma poche, passe une main dans mes cheveux et pose mon épaule sur une des parois, l'air renfrogné. Ça me fait bizarre tout d'un coup, j'me sent débarqué d'une autre planète. Entre les limo, l'avion qu'on avait pris hier soir, les ascenseurs, les hôtels classes … j'suis pas habituée, ça me rendrait presque timide. Ouais, ça m'intimide tout cet argent, ce monde que je ne connaissais pas. On m'aurait proposé d'aller dans le motel du coin à la place, j'aurais pas refusé, je m'y serais senti plus chez moi. Début du succès, j'devais m'habituer le plus vite possible pour pas passer pour la traîne misère du coin, recueillie par le groupe par pure bonté d'âme. On a une interview dans quinze minutes en plus, dans une des chambres louées. J'sais pas trop ce que je vais raconter. Y a toujours notre agent qu'est avec nous, comme ça si jamais elle me pose une question sur mon passé, il pourra toujours interrompre. Bon dieu de merde, mais qu'est ce que je fout là ? J'suis complétement paumée, c'est pas mon milieu, j'aurais pas dû quitter ma Louisiane. Au moins, même si j'étais dans la merde jusqu'au cou, on risquait pas de me prendre de haut, de me juger sur mon langage, sur ma façon d m'habiller, et de penser. On verra, on verra bien ce que ça donnera. Les portes de l'ascenseur s'ouvre, et je me faufile entre les autres membres du groupe. So here we go.

ENFIN

Thanks, thanks, thanks
ça suffira pour le moment (a)

Mon rival protecteur
Mais je suis toujours sage (aa) commence à construire la panic room !

Ouiii, passe moi dessus, passe moi dessus *o*