Et oui la malchance c'est un concept pour les malchanceux. Pas pour les bien-heureux. ◊ Charlie

Je le regarde surprit, puis... ce visage étranger, désolé mais je comprend pas. Pourtant j'aimerais bien savoir à quoi ça correspond. Ce regard vide, il a beau ne pas savoir parler, damened son visage s'est bien traduire. Pourtant j'arrive pas totalement à cerner. Et je me rend compte que je le connais pas assez. Dure réalité, j'me rend aussi compte que le débile que je suis c'est vite amouraché d'un parfait inconnu. Nan mais vous y croyez ? P*tain j'suis bon à enfermer, pire qu'une fille je vais vraiment finir à l'asile. J'comprend qu'il veuille pas me parler, j'avoue que j'ai du vachement le faire flipper, avec ma question de jeune débile profond. Mais j'y peux rien, on est dans deux monde différent, moi je demande ça à Barth', il me répondra sans flipper, il trouvera ça normal. Pareil pour les gens que j'ai fréquenté. Mais c'est ça qui change tout, lui n'est pas comme les autres. Lui il est différent, pas comme moi, pas aussi taré, juste plus sombre et à l'air plus mature, je dis juste l'air, je veux pas m'avancer. Enfin maintenant ça semble mal barré. Il se lève sans un mot, en même temps interdiction de parler. Sans que je réagisse je sens sa main dans ma poche, espoir ? Nan il saisit mon portable, ok c'est noté je suis le dernier en matière de débilité. J'vais m'en charger merci. T'excuse pas ça arrive à tout le monde de se tromper, j'm'en remettrais hein j'suis pas désespéré , merci pour les céréales. Avant même que je finisse de lire il s'est déjà barré. Moi je reste sur le message figé. Ça arrive de se tromper ? Merci la sensibilité, alors je ne pouvais pas lui en vouloir de ne pas avoir les mêmes valeurs que moi, mais là me le balancer comme ça. Et puis la suite, pas désespéré ? Il veut dire quoi par là ? Non mais en plus il balance ça comme ça ? Je fixe le téléphone méduse. Il se fout de moi y'a pas d'autre solutions, soit c'est un enfoiré de première qui cache bien sont jeu, soit c'est un co**ard sans aucune sensibilité. Je referme le portable. message enregistré dans brouillon Merci mais je m'en serais passé de sauvegardé un truc pareil, mais trop la flemme de le chercher et l'effacer. Je me pose sur le lit, médusé, blasé, horrifié et blessé. Beaucoup de verbe en "er", je vais gerber. Respire Charlie, après tout il veut peut-être pas te blesser. Ouai trop habitué à voler de personne en personne il songe peut-être pas en mal, enfin même si il est égoïste...
Ça y est en plus je deviens c** et aveuglé par de pseudo sentiments sur un mec que je "connais" depuis deux mois. Je. Suis. Bon. A. Enfermer ! J'entends alors la voix de Cloud dans le silence de leur suite. Charlie il veut plus jouer avec toi ?... T'as pas été gentil ? C'est bizarre... Ouai ton papa a pas été gentil il manque juste de cœur. Dois-je lui en vouloir pour ça ?Je ferme les yeux et inspire. Non charlie tu ne te laisse jamais abattre par cela. Ismaël est gentil en dehors de son insensibilité. Certes il a quasiment été claire, pas de sentimentalité, mais comme ami il a l'air d'assurer. Je rouvre les paupière et saute sur mes pieds, retrouvant ma bonne humeur. Bon d'accord un peu simulée mais tant pis, je vais réussir par vraiment me retrouver. Je les rejoins, les voyant alors dans une position si touchante. Ils sont vraiment mignon, et je crois que sans Cloud près de lui je dois avouer que je lui aurais accordé aucune crédibilité. Mais suffit de voir son regard avec lui... J'vais tenir la chandelle moi ? Charliiiiiiiie t'es plus fâché contre papa ? Moi fâché ? Ba c'est la meilleure, je me fais jeter, et en plus on me trouver fâché. Je le regarde étonné avant de sourire. Ba non je vais attendre qu'il retrouve d'abord ses armes pour me crier dessus... pour le moment on va juste profiter qu'il puisse tout accepter d'accord. Donc il va rien refuser, si... on lui ordonne d'aller chercher sa couette et de se mettre devant la télé...pendant qu'on range le salon...et après tu vas t'occuper de lui d'accord ? Clous semble emballé. Je me soucis pas de Ismaël, il a pas son mot à dire. Il pourra me gueuler dessus, dire que je suis collant ou même me jeter dehors quand il aura sa voix, pour le moment faut qu'il se repose, qu'il se change les idées. j'ai l'droit d'avoir des bonbons ? J'ai commandé une pizza !!!j'suis un grand. Je lui répond que les grands savent ranger leur jouet, il saute à terre et commence déjà à ranger. Gosh il est obéissant !!! Je regarde Ismaël et pointe sa chambre derrière moi avec mon pousse. J'veux lui parler ? Non on va arrêter de s'emmerder, enfin je vais arrêter, je veux juste qu'il obéisse comme son fils. Si seulement j'pouvais lui commander de m'embrasser et d'oublier ce que j'ai prononcé tout à l'heure. Non stop. J'ai dis de pas y penser.

Alors qu'il fait non, moi je le fixe outré. Non mais en plus lui il m'obéit pas, mince ça aurait été cool que ça fasse comme avec le gamin. quoi que sur Ismaël j'en aurais profiter, je le sais bien. Je le regarde ranger un peu, n'osant rien dire parce qu'il va vraiment finir par me virer de sa suite. Papa canapé ! Nous on range toi t'es fatigué donc tu peux pas Cloud s'en est chargé, et sa réplique me fait juste éclaté de rire. Je suis appliqué à ranger en tas tous nos dessins colorés, puis les crayons remis dans leurs trousse, ce môme est un enfant pourrit gâté. Je me met au kaplas, avec Cloud on s'amuse à faire des paniers. Sentant un regard, je me retourne et croise le sien. Qui ne se détourne pas. Assis sur le canapé recroquevillé, il me fixe avec un visage... je détourne le regard gêné, vous croyez qu'il pourrait me tuer ? Bon ok j'exagère il va pas me tuer pour ce genre de parole quand même. On avance vite, en même temps le petit est surexcité de tout ranger. Ma parole il l'a jamais fait ou quoi ? embrasse moi... Voix murmure, éraillé, mais pas tant abimée. Je rate mon panier, le bâton de bois finit à côté. A qui il a parlé ? Je reprend le bâton. La porte sonne, ouff. Mais avant que j'ai pu m'éclipser pour ouvrir y'a mini morveux blond qui saute sur la poignet un billet tendu. J'étouffe un rire en voyant le regard de la fille sur Ismaël. J'ajoute rien. Et termine de ranger, cloud accourt la pizza sur la table basse. C'est chauuuuuuuuuud. Papa, c'est qui que tu as demandé de t'embrasser ? Moi ou Charlie ? C'est décidé j'aurais jamais d'enfant rien que pour refoutre les pieds dans les plats j'en ferais jamais. J'aime les gosses mais pas les miens. J'avale ma salive retrouvant une expression neutre je me retourne vers eux. Regardant Cloud je souris avec amusement. J'crois que c'est à toi... vas lui faire un bisou magique pour qu'il guérisse. Cloud me regarde et regarde Ismaël avant de froncer un sourcil. Non pitié il est pas surdoué au point de comprendre ? Mais...j'suis pas son amoureux !!! Point positif non il a rien comprit, mais...moi non plus je ne le suis pas. Je me mors la lèvre mal à l'aise, voyant alors les joues rouge de son père. Merde mais en plus... il a raison ? enfin non je suis pas son amoureux mais il demandait cela à qui au juste ? Fais lui un bisou magique toi...promis je regarde pas. Je cache mes yeux !!! j'vais ranger la caisse en bois. En faite si il est surdoué ce gosse pour comprendre autant. Mais ils font quoi devant lui pour qu'il soit à ce point compréhensive pour son âgé. Il me fixe semblant attendre que je bouge. Euh... Puis il prend sa caisse de kaplas et la pousse dans un coin avec bruit. Je fais quoi ? La pizza doit être coupée, allez hop. Oui ok comment changer de sujet je suis pro. Je vais vers la table basse et ouvre la boîte brûlante qui sent bon. Enfin...ce qui sent bon c'est surtout son parfum qui part une étrange bizarrerie arrive jusqu'à moi. Et merde. Je sais pas trop comment mais je me retrouve au dessus de lui, penché avant de lui en volé un de baiser. Et merde en effet.

Comment j'en suis arrivé là ? Pourquoi je refais le premier pas ? J'suis taré, j'veux vraiment me faire jeter. Tant pis après tout, au moins il aurait de quoi me prendre pour un fou. putain... Et bien dites donc le langage ! Je sens rapidement ses mains dans mon cou, et une réponse à mon baiser. C'est de l'improviser ou alors sa demande m'était réellement destinée ? J'en sais rien, il écarte ses genoux, comme ayant lu dans mes pensées, pour que je puisse au moins me poser sur le canapé. A genoux, assis sur les jambes repliées, je ne décolle pas de ses lèvres. Mes mains glissant elles aussi dans ses cheveux et sa nuque. Diable encore une fois il m'a eut. Une demie seconde on reprend notre souffle. J'en profite pour glisser doucement entre nos lèvres. Ah non je ne suis pas une putain. Humour décalé, j'y peux rien faut toujours que je joue au c** qui aime emmerder. Je retrouver ses lèvres quasiment habituées, d'ailleurs ça devient flippant que je soit à ce point habitué et en même temps étranger. Aurait-il oublié à quel point je me suis humilié ? Et puis si il veut juste passer du bon temps et pas s'ennuyer, si ça peut me permettre d'être dans ses bras, je vois pas pourquoi. Ranges tes sentiments, au moins il a pas l'air de te jeter...pour le moment, tant qu'il trouve pas mieux. Je rejette ça hors de moi, mes lèvres continuant notre, nos, baisers enflammés. Vous allez vous étouffer. Je sursaute m'écartant manquant de tomber en arrière. Cloud est à côté du canapé nullement choqué, plutôt même amusé. Il arrive et regarde la pizza. Dis tu vas pas m'voler mon copain , hein ? Charlie tu vas encore jouer avec moi? J'hésite un peu troublé avant de rire amusé. Je m'engage dans quoi au juste ? Un ami pour un gamin, et coup de sexe pour son papa ? Bravo charlie toujours de la folie. On peut jouer à trois... enfin à des jeux ..différents. Je rajoute la fin un peu plus bas, avec un léger sourire mon rire j'arrive à peu près à l'étouffer. J'ai toujours pas bouger d'entre ses jambes, et Cloud semble plus emballé par ma réponse et la pizza que mon comportement. Je suis choqué, d'abord ça prouve qu'il a vu son père avec bien d'autre, et que j'en suis un de plus, et choqué que ce gosse trouve ça pas choquant. Pauvre enfant, je l'aime déjà.

C'est sisi mika et pandore qui joue à trois, et leur jeu il est bizarre j'en est pas envie. Mais tu jouera que avec moi quand papa chantera ! Sur le coup je suis... Il a vraiment fait référence à ce que je crois qu'il fait référence ? Il a vraiment dit ce qu'il a dit ? Entendant le rire d'Ismaël contre moi j'en conclus que oui il l'a vraiment dit, vraiment de chez vraiment. Gosh il est taré ce gosh. Je dis rien, souriant amusé mais vraiment préoccupé par sa santé mentale, il va finir à l'asile avec des adultes comme ça. J'aurais été au paradis si j'avais été élevé identiquement. Il en a de la chance. Il se prend une part de pizza, et en plus ce gosse est un morfale. Je l'observe en riant, puis en regardant le salon qui est totalement rangé. Alors que je tourne mon regard vers Cloud, une chanson sort à fond des baffe. Me faisant sursauter, j'essaye de reconnaître cette musique que je suis sur de connaître. Les paroles commence et je reconnais une chanson de mon enfance. J'explose de rire, une musique pareil dans une suite de métaleux ça fait.... c'est vraiment drôle. Écoutant les paroles je me rend alors compte que... Elle... Ce gosse faut vraiment que je le surveille, et sérieux il doit être...même pas surdoué, il doit être juste devin. God j'espère au moins qu'il lit pas dans mes pensées. Je me calme et essayant d'arrêter mes délires. Enfin à peine y ai-je pensé que cela devient impossible. La cause ? Je sens un frôlement dans mon cou, et reconnait son parfum. tandis que ses lèvres reviennent contre ma peau. Il y a Cloud, j'devrais le raisonner et le repousser mais je n'y arrive vraiment pas, il me fait trop divaguer. Il dévie vers mon oreille son désolé me parvenant doucement. Me faisant loupé un moment, je comprend pas tout simplement. Désolé de quoi ? De pas être le mec qui se fiche en couple ? Que je ne l'intéresse pas au point d'être stable ? Où désolé que je me sois fais des idées ? Je ne suis plus trop là. Ma mains revient contre lui, glissant dans son dos. Arrivant jusqu'à son jeans, sans faire plus. Un baiser sur sa ses lèvres, ma langue qui trace le contour de sa mâchoire jusqu'à son oreille. Désolé pour quoi ? Juste une simple question toute simple. Tandis que la fille m'enchaine des vérité directe " t'as l'coeur trop fragile, évites les idylles" Merci du conseil faudrait déjà que j'arrive à fuir les gens comme lui. Comme lui ? Bon ok j'en ai pas rencontré des tonnes c'est pour ça que c'était pas censé arriver, tomber amoureux d'un métaleux, c'est juste impossible... Improbable je me souffle intérieurement, car impossible je crois que je suis sur le chemin de le contourner. Je reviens à ses lèvres, surveillant le regard de Cloud en même temps je recommence à l'embrasser.

J'ai toujours pas bougé, j'ai pas vraiment envie à vrai dire. Assis en équilibre entre lui et le vide, pas très confortable, mais la proximité de son corps, occupe bien trop mes pensées pour seulement y songer. Ses doigts sur ma peau, dans mon cou, dans mon dos. Je suis juste bien, même si je me dis qu'on est franchement maudit. Devoir se prendre la tête pour retourner dans les bras de l'autre cinq minutes après. Vraiment de vrais tryzo. Enfin passons, son nez dans mon cou, ma langue faisant le contour de son oreille avec provocation. J'vais regarder la suite de mon dessin-animé moi ! Cloud semble vraiment pas gêné par notre jeu et notre proximité, dans un sens tant mieux. Je jette un coup d'œil sur lui, il semble déjà bien connaître comment se débrouiller comme un grand... pendant que papa prend du bon temps. Je sens ses baisers revenir vers mon visage, je le laisse faire admirant son gosse allumer la télé, et laisser apparaître un océan avec Martin et Doris. Bonjour Némo. Tu me plais... Ses mots me détourne un peu du dessin animé, je me concentre de nouveau sur ses baisers. Quand d'un coup la phrase me fait ... tilter. Il a bien dit ce qu'il a dit ? J'ai bien entendu ? !! Il a pas dit que j'embrasse bien, ou autre. Non il l'a dit. Quoi que ça doit pas signifier la même chose pour nous deux; mais tant pis j'essaye d'oublier. Parce que... Il en faut peu pour me faire divaguer, rêvasser. Je lui relève le visage pour m'emparer des ses lèvres, Cloud semblant passionné par le dessin animé comme si il y avait pas deux personnes à ses côtés entrain de déraper. Je me coll un peu plus à lui, relevant doucement son tee-shirt, ma main glissant dans son pantalon pour venir caresser sa peau, ok avec un jeans et un boxer c'est bien compliqué, surtout quand on peut pas lui retirer, mais je m'en fous. Sérieusement je veux quoi là ? Euh ... trop de chose à la fois, mais elles passent toutes par la case orgasme. moi j'suis vraiment pas désolé de te plaire... pas de quoi t'excuser c'est des deux côtés. Humour quand tu nous tiens. Quoi c'est vrai il s'excuse puis dit ça...bon d'accord j'ai comprit le principe mais je veux juste le provoquer doucement. Je morde légèrement son oreille, revanche de tout à l'heure ? Jetant un coup d'oeil à Cloud, qui ouvre des grands yeux devant une baleine, une de mes mains revient sur le torse d'Ismaël et s'introduit innocemment dans son pantalon, innocemment et discrètement.

Baisers fougueux, tandis qu'au loin on entend des paroles futiles. Qu'en ai-je à faire que Doris sache parler baleine ? Moi je parle avec ma langue mais pas comme elle. Moi j'ai mon corps pour communiquer, et en ce moment j'ai rien à lui envier, à sa langue de baleine immergée. Main dans le boxer, parce que oui j'y vais pas à moitié et donc pas envie de le faire patienter. Je le sens... tressaillir légèrement, en aurait-on envie au même point ? Je me mors la lèvre un instant puis c'est son tour de refermé doucement ses dents sur celle-ci, ba vas-y laisse toi aller à sadomaso. Je dis rien, nos lèvres ne se détachant qu'à peine pour respirer, juste...profiter. Juste envie de recommencer, comme il y a deux mois, comme autre fois. Son corps contre moi, plaisir à l'infini. Je sens sa main descendre le long de mon dos, je savoure rien que cela, même si mes fringues nous séparent encore réellement.
Alors que je continue de l'embrasser ma main arrivant à sa virilité, je nous sens vaciller, et je suis entrainé avec lui sur le côté. J'avoue c'est beaucoup plus confortable, et plus aucun risque de tomber. Je reviens au dessus de lui, à ce moment caché au regard de Cloud. Vraiment pas mauvaise idée. Défaisant son jean et sa braguette, je coupe un baiser. Et il en profite pour parler, chut. Et si les autres rentraient ? Hein ? Oh non ils feraient pas ça quand même ? Pas maintenant ?!!! Je reviens sur sa bouche sans y accorder une réponse, retirant ma main de son pantalon, je remonte son tee-shirt, abandonnant ses lèvres pour son torse descendant en laissant ma langue le caresser. N'empêche déjà que la fille n'a pas eut l'air de me regarder, si en plus ils arrivent à nous voit. Et puis avec Cloud, non ils sont peut-être habitué et que toutes les conquêtes d'Ismaël s'en fichent, mais j'ai un minimum d'éthique et je déteste me faire stopper ou choper en action. Soupire léger, j'abandonne un baiser. D'accord je me calme. On fais quoi alors ? Je laisse son torse tranquille, revenant néanmoins vers ses lèvres. Ba ouai on fait quoi ? On va se regarder Némo ? Non parce que je doute que cela suffise à faire tomber mes ardeurs...

Je calme mes ardeurs, enfin j'essaye en attendant sa réponse. Je me mors la lèvre, on joue à quoi ? Qu'est-ce que je fais là ? J'devrais être en bas, jouer de la gratte, rappeler ma soeur, fliquer Bart' je sais pas tellement d'autre solution mais non je suis ça, comme quoi le jeu et moi... Pas totalement Saint, faut bien le reconnaître, mon nom n'est pas un exemple de fierté. On me bénis, on me dit que je suis génial. Mais je suis un homme et même si je crois en dieu, en l'écologie et en d'autre chose, j'aime aussi mon corps...et encore plus le sien. Je suis vraiment un crétin ? Satanées interrogations, une seule secondes et elles reviennent. Dire Non ? Oui facile à dire, mais si difficile. Non à mes pensées ? J'y arrive pas, non à son corps ? Mieux vaut ne pas y penser. Enlisé jusqu'au cou, il a plutôt intérêt à me trouver une p*tain d'occupation pour occuper mon corps et mon esprit, mon esprit à ne pas penser, mon corps à ne pas le toucher.
Alors que j'attends sa réponse, c'est un baiser que j'obtiens, mais vu la tournure, un tel baiser peu pas vraiment tout arrêter. Avant même que je puisse lui demander ce qu'il fait, je sens sa main venir à l'endroit où j'étais il y a un instant sur son corps ? On change de camp ? J'croyais qu'on devait arrêter ? Je m'y pers, je ne sais plus que faire. Enfin... On s'arrête pas... Hein quoi ? Je veux répliquer mais il viens de passer la main juste à l'intérieur du boxer, déjà quand il déboutonnait mon jean c'était limite à pouvoir l'écouter, mais alors là. Frisson, chair de poule, bravo à ce jeu il se débrouille comme un Dieu. Et c'est sur que je peux pas vraiment le repousser. Pas les moyens ? Hum techniquement si ma volonté était assez fort, je le pourrais; mais avec ses doigts à cet endroit, je ne répond plus de rien. Je passe une main dans mes propres cheveux, essayant de me calmer et d'éclaircir mes pensées. Nan rien à faire j'peux rien tenter. Ses lèvres m'enivrent de trop. Je tire son tee-shirt pour le coller à moi, cherchant ses lèvres avec envie et fougue. Non pas brutal, juste un peu...très envieux. Je lui remonte encore son bout de tissu, le faisant passer par dessus. Un peu pantin à mon propre corps qui en redemande encore. Je...croyais qu'ils pouvaient arriver ...? Paroles entre coupé, baisers, et souffle excité. Son pantalon ouvert je le descend sur ses hanches, gardant son boxer. Pour le moment. Bon si j'étais à même de penser...je l'amènerais dans la chambre...mais là pas moyen de réfléchir. Je veux juste... j'en sais rien, juste recommencer. Même si je sais que je vais encore me faire des idées, même si avec lui tout semble si compliqué. Rien à foutre, je veux son corps, ses lèvres et son parfum.

Plus tard... Jamais précis, ce mec ne sait pas être concis. Toujours à repousser, à rester floue dans son parlé. Mais j'arrive pas à m'concentrer, j'arrive pas à lui en vouloir, pas avec sa main dans mon boxer, pas avec ses caresses sur ma peau. Il recommence, et je serre les dents ayant largement comprit où il veut en venir. Puis il se relève, me relève par la même occasion. Quoi ? qu'est-ce qui se passe ? Je jette moi aussi un regard à Cloud qui trop absorber et trop à moitié endormit ne nous regarde même pas. Et avant même que je puisse parler, je sens mon jeans tirer, et je suis Ismaël qui m'attire dans sa chambre sa main toujorus au même endroit. Tirer par la braguette, ahah je suis drôle. La porte se referme, intimité ? Tranquillité ? Est-ce la permission à toute possibilité ? Je sens toujours sa main dans mon boxer, sur mon intimité et malgré qu'il est cessé ses caresses. Il me fixe. Quoi ? Je ne comprend pas tout, qu'est-ce qu'il y a ? Comprenant qu'il attend limite mon consentement je soupire en levant les yeux au ciel, retirant moi-même mon tee-shirt. Bouges toi !!! ton excédé et amusé, je l'attrape par le boxer à mon tour le recollant à moi, reculant de quelques pas, on s'écroule sur le lit. Je rie quelques secondes, avant de prendre ses lèvres avidement, mes mains découvrant son corps. Une nouvelle fois. Je trace des lignes imaginaire, abandonnant ses lèvres, je nous fais tourner, prenant le dessus de la situation. tu penses pouvoir toujours avoir le déçu ? Je ris doucement, venant lécher doucement son cou, léger coup de bassin simulé. Mes mains caressent son corps, arrivant à son boxer. Je joue avec l'élastique, mes lèvres continuant de savourer sa peau. Je le baisse d'un centimètre, doucement, mes doigts le frôlant, le faire gémir rien que par l'impatience... Je descend dans son cou, dérivant sur son torse. Plus je descend et plus le bout de tissu par aussi. Mes lèvres et ma langue venant remplacer ce tissu inutile.

Embrasser son intimité, ma langue frôlant sa peau avec délectation. Mes ses bras me remontent d'un coup, pas possible il peut vraiment pas se laisser faire ? Faut toujours qu'il domine et gère. Néanmoins ses lèvres sur ma peau... il descend et je comprend qu'encore une fois c'est moi qui me fait avoir. Comme il y a deux mois, dans la nuit noire. Mon jean à volé et bien vite mon boxer nous fuit, dévoilant ma nudité. Loin d'être gêné, j'ai jamais vraiment été très très...pudique. Je le sens me toucher, je respire lentement. Essayant de me calmer, de ne pas me laisser dériver. Peau frissonnante, légèrement crambé, comment il fait pour être si doué ? Non pour me faire cet effet plutôt. Me dites pas qu'il va gagner, qu'il va encore réussir à dominer ?! Pas trop de bruit, Cloud a le sommeil léger devant la télé... Je bug totalement par ses paroles et son sourire provocateur. Je rêve où il me dit de la fermer ? Je le fixe étonné, me mordant la lèvre pour pas craquer. Ne pas... je reprend mon souffle pour éloigner tout signe trop rapide de plaisir. Tu...es...entrain...de me...dire la .. Il ne s'arrête pourtant pas et moi ça m'échappe inopinément. Putain de gémissement de merde, mes doigts se referment sur la couette. Cambré par tout ça, j'en étouffe un autre. connard Entre deux respirations, fermant les yeux dégouté de l'avoir vu si rapidement gagner. Mais pas vraiment frustré parce qu'en même temps en me battant il se fait aussi pardonner, ses caresses, sa langue rien ne peut vraiment m'énerver. Un léger rire sort de mes lèvres, tandis que j'étouffe un autre gémissement, qu'il ne rêve pas je vais me venger et lui rendre la pareil. En pire... en mieux cela dépend de quel côté on se place. Mais qu'est-ce qu'on s'en fout ? Au final on aura tout les deux ce qu'on veut, nos corps assemblé, corps à corps enflammé et plaisir consommé.

Il me chuchote qu'il va border son môme , j'hallucine. Après l'orgasme il me plante comme ça ?! Alors que j'ouvre la bouche pour répliquer, lui il ne semble pas vouloir s'arrêter, et finalement ce sont ses paroles qui me coupent la parole. Promesses pleines d'ivresses, je le fixe amusé, envieux. Ba il fait quoi encore là ? qu'il se grouille à aller coucher son gosse. Je ne vais pas attendre longtemps, c'est juste impossible. Je me retrouve seul dans sa chambre, refusant de céder aux idées noires, refusant de me laisser embrumer par la réalité étrange que je m'enfonce dans une relation bizarre. Je tâche de juste reprendre mon souffle, parce que rien que le souvenirs de ses lèvres, de sa langue, ses doigts, j'ai la gorge sèche d'excitation.
Dites comment arrive-t-il cela ? J'ai pourtant jarter plus d'un qui semblait intéressé que par ça. Et là, j'ai laissé faire, pis encore je recommence et lorsque la porte s'ouvre et se referme je me dis que limite je serait près à me damner pour toujours recommencer. Et je comprend que je suis juste bon à enfermer comme toujours. Son débardeur vole et je me mors la lèvre encore une fois, observant son corps à peine éclairé car dehors c'est pire que l'obscurité. Je relève légèrement, assis je lui tend la main. Ba vas-y tu vas pas rester planté là. C'est juste impossible de simplement regarder, quoi que juste ça je serais capable de m'en contenter. Je divague entièrement. Sans doute son corps, mes mains qui retrouve sa peau, face à lui, je laisse mes doigts glisser le long de son torse, le long de son aine. Parcourant sa peau, doucement, un frôlement sur son intimité. Je sais plus quoi penser, alors je me laisse guider par mes désirs et mon corps. Ma tête arrêtant de réagir, ne plus pouvoir décrire, juste sentir, ressentir et profiter de sa peau satiné, de cette envie entrain de monter. De lui et du pouvoir qu'il a sur mon corps. Les pensées en mode off je m'abandonne au corps à corps.

J'avale lentement ma salive, reprenant un souffle normale qui semble durer plus de quelques minutes. Pas comme toute la nuit où à peine le souffle reprit un simple baiser servait à réactiver mon envie. Pas que j'en ai pas envie, non mais mon corps semble légèrement dysfonctionner à vouloir recommencer. Juste un peu fatigué. Tournant le regard vers la fenêtre je m'aperçois que au loin la nuit commence à s'éclaircir, que le jour commence à pointer le bout de son nez. Mon regard tombe alors sur les emballages de capotes utiliser, sortez couvert, alors sur de sur on a pas eut froid. Effrayant le nombre de fois peut-être... Un léger rire m'échappe, tandis que je me retourne légèrement sur le matelas, tournant sur le côté pour lui faire face. Ses cheveux emmêlés , ses yeux fatigués. Il passe une main sur ma tête et je me dis que je dois à peu près lui ressembler, même regards vidé et crevé, mais amusé et comblé, j'inspire doucement. Retraçant les traits de sa peau sur son torse. Du bout des doigts perdu dans mes pensées ? Non perdu dans un vide, vide d'énergie et pourtant pas envie de me coucher. Si je dors tout ça ne sera-t-il plus qu'un souvenirs, qu'un songe ? Je me relève légèrement revenant contre lui, encore la force de tenir sur mes bras. Je lui vole des baisers, beaucoup plus modéré, non pas que l'envie soit passée mais juste de la douceur c'est si bon aussi. Je retombe sur le matelas en riant, juste bien. On dit que faire l'amour libère des hormones qui rendent heureux, ouai ba alors je comprend un peu mon état. Même si au fond je sais que la cause est aussi autre. Je l'observe, sérieusement, regardant ses traits sans sourire, juste...m'en souvenir. Je me rallonge, tête sur son torse, fermant les yeux redessinant en aveugle ses traits. Son coeur raisonnant à mes oreilles. Qu'ai-je fait ? Exactement j'ai juste coucher une, deux trois, quatre... god plus ? bon ok j'ai juste couché plusieurs fois avec le mec qui fallait pas. Non pas par non envie, mais juste parce que cocher ça décuple mes sentiments, j'suis pas branché comme tout le monde, faut croire que chez moi l'orgasme ça libère un truc qui s'attache à la personne et surtout à lui. La tête tourné sur le côté, à l'abri de son regard je gèrerais plus tard ce vide que je sens va provoquer la redescente. Pour le moment ne pas y penser juste profiter et veiller à ne rien laisser échapper qui pourrait encore une fois le braquer. Juste au repos, faut croire que la nuit m'a achevé, car je sens déjà mon esprit voleté, vous savez ce moment où après un bon moment vous vous sentez vide mais bien. Ismaël...toi aussi tu me plais. Je chuchote doucement, en réponse à la nuit dernière. Me souvenant que lorsqu'il m'a avouer cela, ses joues étaient rose trop adorable et que j'ai juste répondu que c'était réciproque, bien trop pressé de le déshabiller. Mais c'est pas réciproque, il me plait, plait vraiment. Mais bon...pas dans le même sens qu'il l'entend.

Peut-être que pour lui c'est des paroles en l'air et je peux pas lui en vouloir, chacun sa vie.Très différent l'un de l'autre, sa sonnerie c'est un truc qui crie moi c'est en ce moment Bob Marley qui m'avertit de mes appels. Lui il sort entouré de filles, moi je sors entre potes et ma dernière petite amie à fait la une des magasines pour avoir été voir ailleurs et m'avoir briser le cœur. Trop différent mais finalement pas si indifférent. A la fuite de la nuit, alorsq que le jour hésite encore à pointer son nez, vous voila quand même réunit. Et après une nuit de folie. Je reste allongé, mais je le sens bouger, je relève la tête le regardant cherchant un truc. Une capote ? Euh sérieux c'est pas que je veux pas... mais je doute d'avoir encore la force. Il attrape son téléphone et je rigole intérieurement de ma connerie mondiale. Je bouge légèrement , retombant sur l'oreillé, le laissant ainsi libre d'écrire un texto. Enfin de m'écrire un message, je trouve ça assez drôle; bon je préférerais l'entendre, mais je crois que cette nuit on a un peu abusé; alors oui il doit se taire. Je le regarde hésiter, curieux j'attends, en profitant pour prendre la couette virée au bout du lit, bien trop encombrante et trop chaude pour nos excès passés. Je la ramène sur moi, et sur lui par la même occasion, jouant de mes doigts avec le bord. Il me tend son téléphone, joues rosis comme hier, enfin cette nuit, plutôt hier soir. On s'en fout, rien qu'à ça ça me redonne envie. Je baisse les yeux sur le téléphone. J'suis nul pour parler, tu as du remarquer, deviner aussi... Mais... Tu me plais Charlie je le dit pas en l'aire. Même si je sais très mal le montrer. Je... Ouai tu me plait, vraiment beaucoup; tout toi me plait. Je relis le message plusieurs fois, ne saisissant pas tout ce qui est écrit. Enfin si mais j'dois aussi calmer les triples sauts qu'à fait mon cœur. Je sourie, doucement. Je garde le téléphone en main un instant. Je te demande pas te parler, je te force à rien... mais vu que là en ce moment tu peux que écouter, autant que ce soit moi qui le fasse... Ismaël...on a pas la même définition...enfin notion de plaire. J'ai beau ne pas aimer le métal, Electro' et Barth avec leur magasines people aiment bien, et je sais aussi donc qu'on est ...très différent. Toi plaire c'est peut-être sortir de l'ordinaire, sortir de l'habitude sortie avec trois filles aux bras, pleins de groupies et je ne sais quoi encore. Je te juge pas et je dis pas que c'est mal. Mais tu vois... si quelqu'un me plait ça implique autre chose... moi il suffit de voir en Amérique les tabloïd qui ont salit ma dernière histoire... tu vois c'est ça le truc , cette fille elle me plaisait. Je pense qu'on a pas la même réaction avec les gens qui nous plaisent... bref... j'te demande rien. C'est on j'ai beau être, comme tu l'as dit, un hippie et proclamant la paix et l'amour, j'suis pas à ce point une fille et crétin, donc ...donc je me rend compte que je suis entrain de parler pour ne rien dire depuis cinq bonnes minutes, et que ça veut rien dire, ...j'suis entrain de me ridiculiser. L'évidence m'apparaît très sincèrement au fur et à mesure, quand je me rend compte que j'arrive à rien, hormis peut-être vraiment passer pour un taré. Je souris désolé, me laissant tomber la tête enfoncé dans l'oreillé, pitié tuez-moi.

Je m'enfonce dans l'oreillé, nan mais quelle idée d'être aller parler de ça. Je bouge pas, en même temps ici je suis bien, noir, allongé, les yeux fermé. Non pas question de m'endormir vu ce que je viens de dire ça ne risque pas. Je sens ses doigts sur mon dos, je frissonne sans néanmoins bouger. Ses lèvres sur ma peau, descendant le long de mon corps. Damned il veut m'humilier encore plus ou quoi ?!! Puis je ne le sens plus, le lit bouge un peu puis plus rien. Partit ? Je relève pas le nez, encore trop sidéré d'avoir osé dire tout ça à voix haute. Je crois que sur l'échelle de mes humiliations je dois être classé pas mal, ce matin va rester dans les anales. Qu'est-ce qui m'a prit de m'étendre là dessus ? Moi même une fille me dit ça, soit elle me fait craquer soit elle me fait flipper, avec Iz' il va carrément flipper c'est sur. Un léger coup sur l'épaule, je serre les dents et tourne néanmoins la tête, ne voulant pas me morfondre et puis quoi je vais pas non plus jouer au débile enfoncé dans son oreillé. Je le regarde, tiens il a enfiler un boxer, bon ok ce genre de chose n'est pas primordiale. Je le vois m'agiter une feuille de papier, surprit je la prend rapidement et me relève un peu pour la lire. Je ne dis pas à n'importe qui qu'il me plait. Je déteste la sur-utilisation de ce terme. Pour moi ça euh, implique un gere de vérité, fin que sincèrement l'autre vous plait. Tu vois ? Fin j'veux dire troubler, faire que les baisés ont un plus grand effet, que le corps est plus réactif, qu'on y pense hum souvent... Voilà je fin je ne dit pas ça au fille avec qui j'peux coucher dans les afters ou en boîte. Ce qui je te signal m'arrive un peu moins souvent depuis que j'ai Cloud ! Désolé de te décevoir je suis pas aussi menteur niveau drague que ce qu'on raconte.... Et tu me plais vraiment Charlie. Vraiment. Je bugue et ai vraiment, mais vraiment du mal à continuer de lire, ou du moins à ne pas m'arrêter pour le fixer mais si je m'arrête j'ai pas la suite. Arriver à la fin je fixe la feuille totalement...sur le cul ? Oui c'est le cas de le dire. Se pourrait-il que ce métaleux soit pas une brute ignoble coureur de jupon sans coeur ? Ça fait scène pathétique ? J'ai tendance à le reconnaitre mais al sérieux je trouve pas. Je me redresse un peu plus gardant la couette juste autour de mon bassin. Sérieux, ça existe vraiment ce genre décrit de la main d'Ismaël ? Cette feuille risque pas d'aller à la poubelle c'est sur. C'est drôle on a presque l'impression de t'entendre avec tes "enfin" et tes "'fin"... Moi tête à claque ? Je pouvais rien lui répondre d'autre ? Ba sérieusement non rien trouvé de mieux, je l'attrape doucement par la nuque pour le ramener vers moi et l'embrasser. Doucement. Merde sérieux j'suis pas si taré que ça ? Enfin je veux dire j'suis pas le seul taré à ressentir ça dans cette pièce ? Gardant la feuille en main, je l'attire contre moi, sans me défaire de ses lèvres. La suite ? On verra bien, m'en fout, il a dit que je lui plais.