ISMAËL & CHARLIE - la chance ça se provoque, le hasard ça se profite

Nan l'Amérique ne me manque pas, disons qu'on a un peut tout en Europe, notre vie, Electro à un appart' à Londres, Barthelemy à Berlin et moi aussi à Londres, donc on retourne aux U.S.A que pendant les tournées et la on en profite pour voir notre famille. La journaliste hoche la tête, je lui sourie en jouant avec un de mes bracelets. Et quand à votre vie...plus privé ? Depuis le scandale de Nolwenn avez-vous retrouver une personne en qui avoir confiance ? Je relève le regarde vers elle surprit par la question. Pardon? Euh... Êtes vous, encore aujourd'hui, célibataire suite à votre dernière histoire de couple qui s'est assez mal terminée. Je la fixe essayant de chercher une réponse, si mes pensées vont vers une personne je me retiens bien de la nommer. Même d'y faire allusion. Comme vous le dites mon dernier couple a été médiatisé, et suivit à la loupe, le scandale qui a suivit m'a donc apprit à disons encore plus protéger ma vie privé...désolé.
Je me lève pressée et coupe l'interview avant qu'elle enchaine encore sur des questions, voulant évidement en savoir plus. Moins vous en dites et plus ils s'imaginent des choses et en veulent. Je quitte la salle en disant à David notre manager que j'ai besoin de respirer, il accepte et répond qu'il s'occupe du reste. Je prend une veste, pour une fois ayant laissé mes tongue à l'hôtel je suis en mocassin marin. Sortant dans les couloirs, je slalome par-ci par-là essayant de trouver un endroit tranquille. Bientôt je me retrouve arrivé en fin de parcourt devant la porte de la réserve et du rangement. Je soupire et fais demi tour. Mais non. Revenant sur mes pas, je viens en effet de trouver l'endroit idéal pour être au calme. J'ouvre la porte et la referme, allumant la lumière je soupire en regardant la porte fermée. Regardant autour de moi, des tonnes d'amplis, de câbles et autres trucs sont soigneusement rangé. Souriant et heureux de ma découverte je me lance dans l'exploration. Traversant la salle je remarque alors une silhouette, assise entre deux amplis énorme. M'approchant, cette personne dans l'ombre, elle me semble...familière. Et d'autant plus lorsque je remarque une main entièrement tatouée, mais surtout une main que je connais par cœur et qui surtout me connait par cœur. Ismaël ?!!! Aucune réponse. Je fronce un sourcil m'approchant pour comprendre qu'il dort. C'est pas possible il lui font subir quoi ? Je me penche vers lui , accroupis face à lu je fronce un sourcil, déposant un léger baiser sur ses lèvres, parce que oui endormit il est encore plus beau.

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Ivresse de la foule et chaleur insensée. Les instruments qui résonnent et les fans qui hurlent au bord de l'asphyxie. Une voix est entrain d'hurler. Ce n'est pas la mienne et oui. Ils sont en plein concert. Sans moi c'est un comble franchement amer. Trois simples petites semaines séparent Paris de ce festival en Irlande et même si je peux un peu parler. Je suis pas capable de crier. Et encore moins chanter. Des que je force ma voix, un peu pour tester. La brulure se réactive sans pitié. Alors il m'a fallu abdiquer. Laisser Buck chanter. J'adore ça voix hein, elle donne autre chose que la mienne bien sur mais j'peux pas le nier. Elle assure ma protégé. Alors pour pas montrer combien je suis mauvais perdant, combien je ne peux malgré tout que la jalouser. Et bien j'ai été m'isoler. L'endroit le moins visiter à cette heure ci ? Le local de rangements du matos & cie. À moitié shooté par mon anesthésiant pour la gorge j'suis aller m'installer encore deux grandes amplis. Bien au fond de la pièce sans même allumer la lumière je me guide à la lumière de mon I-pod sans un bruit. Mon sweat sous les fesses je ramène mes genoux contre moi et en moins de 5 min avec un sourire rayonnant et un corps fin tatoué flottant dans mon esprit, je m'endors. Puis un laps de temps s'écoule, inconnue de ma personne lorsque je sens quelque chose près de mon corps. Un parfum ravivant dans mon esprit une impression de douceur et de tendresse s'approche jusqu'à me voler mes lèvres. Hnmm quoi ? Qui qui ose ? je marmonne en me frottant les yeux baillant sans gène.

Je dépose mes lèvres sur les siennes. Que cela ne tienne. Trois semaines qu'on s'est pas vu, quelques texto échangés pour que des banalités soient échangé. Rien d'autre. On est quoi l'autre pour l'autre ? Bonne question, mauvaise indications ? Mais pourtant je ne peux retenir ce geste. Je n'ai pas envie , où du moins je n'y songe pas. Avec l'autre débile de blonde qui m'a fait réaliser, qu'en couple ça a tendance à foirer et que je me fais toujours entuber... Je suis énervé, blasé. Alors le croiser ici, par le plus grands des hasard, ça me réjouit d'avantage. Hnmm quoi ? Qui qui ose ? Il se frotte les yeux et moi je rie doucement de son comportement. Qui ose ? Moi , tu te souviens de mec qui a partagé tes draps ?
Une groupie...elle vient juste de s'enfuir Je souffle cela à son oreille, glissant mes lèvres tout près de lui. Son parfum, l'odeur de ses cheveux, sa peau colorée, dans son cou j'ai beau chercher les tatouages ont absorbé et caché le suçon que je lui avait collé. J'avais assuré cette nuit là, il se voyait même par dessus les tatouage et là il a disparut, enfin du moins on le voit plus. Effacé. Souvenirs et parole aussi ? Même si j'ai toujorus sa feuille à trainer ? J'en sais rien, toujours à hésiter, à chercher, à comprendre ce qui peut bien se passer. Je viens de le réveiller, j'en suis désolé votre altesse. Mais rien que pour voir son visage enfantin, pour le voir au réveille alors qu'il a pas encore reprit son esprits dominateur et méfieur, je l'observe. dis tu te souviens de moi ? Je continue de chuchoter dans son oreille, pour le provoquer et le narguer. au fond serais-je angoissé qu'à autre il est décide de passer ? Pourtant il m'a dit que je lui plaisais, que tout en moi l'attirait; mais chez lui malgré tout, j'ai vite comprit qu'il est un peu touche à tout. Que même si il doit bien m'aimer, même si dans mes rêves les plus fou il en venait à m'aimer, je devrais bien évidement le partager, et qu'il irait quand même ailleurs butiner. Sans sentiments, peut-être sans lendemain; pensant à moi malgré tout mais il irait chercher d'autre sensation avec d'autre corps. Faut s'y faire c'est comme ça. Et revenant dans la réalité, je lui plais c'est déjà assez, je ne veux pas lui demander de m'aimer, alors quand on parle de fidélité, je préférerais mourir que la lui instaurer.

Quand j'emerge d'un sommeil shooté. En fait jcrois qu'il faut mieux pas trop me parler. Ou pas attendre de réponse cohérente sinon bah, déçu vous serez. Jeune padawan protecteur de l'universelle paix. Ton parfum me parle, je le reconnais facilement et j'ai immédiatement envie de m'y noyer. Enfin tu viens quand même de me tirer d'un excellent rêve ou justement on forniquer. Et en rêve le corps peux ne jamais fatiguer. Alors oui rien ne se stopper c'était le plaisir aux limites oubliées. Et puis alors surprise surprise te voilà vraiment son mon nez. Ma bonne étoile se serait-elle vaguement réactivée ? Les yeux à moitié fermé agressés par la lumière qu'en entrant il a allumée. Méchant Charlie c'est vilain d'ainsi m'attaquer. Une groupie...elle vient juste de s'enfuir Une envie de la faire chier me prend. Autant l'usité en ce même temps. Il sera l'heure de me faire pardonné en reprennant mon blaser de tendre amant. Merde... Rattrape là j'ai envie de baiser. Un sourire pervers affiché. Je m'éttire paresseusement sans encore vraiment le regarder. Et pour dieu seul, et heuresement, sait qu'il m'a manqué. Une envie surlfureuse, indomptable de l'embrasser. Pourtant je ne m'y plie pas et choisi mommentanément de lui resister. Dis tu te souviens de moi ? Je tourne cet fois-ci mon regard vers lui. L'air encore d'un garnement endormi. Le dévisaguant je passe ma langue sur mes lèvres et haussant les épaules imprécis. Bah non, t'es qui ? Air étonné parfaitement joué. C'est pour quand tu te moquais de moi et de mon incapacité à parler. Que tu en profitait pour me chambrer sans que je puisse à hauteur prostester. Bernard ou Anthony ? T'es pas le mec de derrière la boîte l'autre nuit ? Surtout que depuis lui... Rien je n'ai pas voulue salir dans mon corps et mon esprit. Le souvenir incendiaire de notre interminable nuit. Plaisir solitaire de fait mais à deux par l'esprit. Le voir là si près ne me donne non une mais milles envies... Le reste du monde se stop comme en sursit. Ses lèvres m'ont diablement hantées mais je n'aurai supprimé nos baisés pour rien au monde, ça oui...

Je l'observe se réveiller peu à peu, dingue comme son visage m'a manqué. Et pourtant à peine trois semaines ont passé, que dis-je ? Trois longues semaines se sont écoulées. Moi j'avais du filer, hors de cette chambre du plaisir, on m'avait appelé, et un concert avancé deux jours plus tard j'avais quitter la France. Les jours c'était enfilé, ce qu'il y a de bien dans ce métier, c'est qu'on a pas le temps de ruminer vu qu'aucun temps pour s'ennuyer. Sauf qu'à chaque fois que j'arrêtais de tournoyer, c'était son image à moi qui s'imposait. Merde... Rattrapes là j'ai envie de baiser. Je soupire en levant les yeux au ciel. Même au réveil il peut pas être sérieux ? Je le regarde en pinçant les lèvres avec presque un amusement. Son entêtement ma manqué. Mais j'peux pas m'empêcher, j'veux me rassurer. J'veux qu'il me le dise, que tout ça n'était pas qu'un rêve, qu'un songe inventé. Alors je le questionne, doucement avec un sourire amusé. Et Lorsqu'il tourne son regard vers moi, son regard intrigué mal joué je doute de sa future "sincérité". Il sait vraiment mal jouer. Bah non, t'es qui ? Je fronce les sourcils ? Il rigole n'est-ce pas ? Ça se voit dans ses yeux, j'ouvre la bouche mais monsieur est plus rapide et me coupe très aisément. Bernard ou Anthony ? T'es pas le mec de derrière la boîte l'autre nuit ? Glaciale désillusion, je le fixe exposant mon imagination. Montrant alors à moi-même comme à quel point mon imagination m'entraine. Je serre les dents, reculant de près de son visage. Coup de poing en pleine figure. Peut-être pas avec tes mains comme tu avais faillis le faire il y a quatre ou cinq mois, mais bien avec les mots que tu maitrise avec grandiose. Je Baisse les yeux. Alors voila les aveux, tu t'es encore fait avoir ? Petit Charlie est encore tombé dedans à pied joint, comme quoi j'ai vraiment grandit dans mon coin. Non ça remonte à plus longtemps... mais tu dois pas te souvenirs des noms de plus d'une semaine. Brao il m'a bien eut. Je recule et me relève, passant mes mains pour repousser mes cheveux. La question de la journaliste me revient en tête. Non madame personne ne vue, personne dans la tête, amour non réciproque, amour unilatérale on appelle ça. Encore une fois ba*sé dans les deux sens du termes en plus. Voila madame pourquoi je veux plus montré ma vie privée, parce que les gens ont bien trop souvent tendance à, dedans, y jouer. Et que les scandales j'en ai ma claque et qu'une humiliation comme encore une fois Iz' me fait, je veux pas la voir répandu. Plus qu'une envie me barrer, qu'est-ce qui m'a prit d'à ce point espérer ?!!

Si à la première note d'humour il semble amusé. à la seconde il se crispe et grince des dents sans plus me regarder. Il m'a pas cru quand même ?! Non ça remonte à plus longtemps... mais tu dois pas te souvenirs des noms de plus d'une semaine. Que... Pas le temps de parler que déjà il s'est reléver. Mais il m'a pris au sérieux cet idiot borné ! Je vois son visage décomposé. Son air de chien battu qu'on veux arracher à un abandon forcer. Mais je n'ai pas chercher à le blessé. Voilà qu'il arrive à me faire culpabiliser. à me vexer un peu aussi faut avouer. Cependant n'ayant absoluement pas envie qu'on reparte dans un drame annoncé. Je remet d'un bond sur mes pieds et lui attrape en douceur la main. Charlie... Je l'attire dans mes bras sans le laisser réagir ou protester. Le serrant contre moi je respire à plein poumons sont odeur sucré. Réminiscence de plaisir emplie d'infinité. Désir de recommencer. Encore et encore sans jamais s'arreter. Reprendre là où nous l'avions laissé. Le dialogue de nos êtres enflammés, entichés. Crétin tu crois que j'ai oublié ? J'suis pas si pute tu sais ! Merde c'est limite... Non c'est vraiment vexant que tu puisses croire que... Voleur de ses lèvres je en cherche qu'à le calmer. Réparer ma maladresse, mon humour mal amené. Un baisé simple tout comme une sucrerie de tendresse enrobé. Crétin... Il m'a manqué. Nom de dieu ce quel vide cette sensation de vertige avait elle laissé. Tu... Je me mord la lèvre murmurant tout bas les derniers mots, gêné. M'a manqué.

Charlie... Le voila levé, moi je ne me retourne pas, trop de dignité ? Non juste tellement vexé, et déçu. De lui ? Non de moi, parce que j'y ai crus encore une fois. Suis-je à ce point débile pour ne pas voir claire, pour penser que dans ce monde tout est comme dans mes prières ? Je suis nul, et je me sens c**, d'y avoir crut. Il se souvient réellement pas de moi ? Où plutôt de ce qu'il m'a dit ? Qu'il couche avec d'autre, je m'étais résigné à l'idée mais de là à ce point m'humilier...
Je sens sa main sur mon bras et sans que je puisse m'écarter me voila dans ses bras. Quoi encore ? Bon , bonne chose il a pas oublié mon prénom, en même temps il est marqué sur son téléphone. Je ne répond pas, sont parfum amplifiant mes narines. Salop, en plus maintenant il... Ses lèvres viennent couper mes pensées, tandis que j'arrive même pas à le repousser. Blasé ? Ba surtout du fait que j'ai pas la force de repousser ses baisers, tellement lui il m'a manqué...Crétin..Tu... Oui je quoi ? Crétin ? tu me le fais pas dire, je me suis rendu compte moi même. Tu n'as pas besoin de me le dire, et le voila qui baisse la tête. M'a manqué Pardon ? Je bugue encore une fois, comme quoi avec lui c'est toujours ça. Je lui ai manqué ? Alors ce n'était... je serre les dents devant ma connerie monumentale. Sommes nous définitivement maudit à devoir toujours créer des malentendus. Je ferme les yeux me sentant vraiment c**. Ma main part toute seul sur sa joue. Merde. Non pas merde il l'a mérité. Oui mais non, il va être vexé. Oui mais il n'avait qu'à pas... Maudissant et lui et moi, je finis par fondre sur ses lèvres, avec ferveur. Je le fais reculer contre un amplis, dévorant ses lèvres. Pour m'excuser de la gifle et aussi parce qu'il ma atrocement manqué. Entre quelques baisers j'arrive quand même à prononcer. Spèce de...débile... arrêtes...de faire...ça. Et j'veux pas...savoir...avec...qui ...tu écoules tes...nuits...excuses moi... Oui parce que j'ai tendance à trop m'excuser et parce que j'avoue que je vais m'en vouloir de l'avoir giflé.

Dans l'air siffle un mouvement violement. Une baffe dans une endroit silencieux ça s'entend. Et ça se sent. Ma joue rougie alors que le brulure grimpe lentement. Enfoiré. Mon regard qui se fait dure, intransigeant. ça c'était le truc à pas faire, à totalement évité. Il m'embrassé m'empêchant ainsi de réagir, de contre-attaqué. Ce qui vaut mieux pour son nez. Baisés enflammés, baisés d'excuse qui en mots non plus ne vont pas tarder. Moi je n'y répond pas. Aire glacé, blasé. Ma bouche reste de marbre mais que mon corp hurle qu'il a envie de lui pour se réchauffer. Là non la distance je l'impose par une attitude asphyxiée de fierté. Spèce de...débile... arrêtes...de faire...ça. Et j'veux pas...savoir...avec...qui ...tu écoules tes...nuits...excuses moi... Je le dévisage d'un air neutre, pas un seul sentiment affiché. J'hésite toujours entre craquer et le frapper. Lui rendre la pareille ou délicieusement le violer. J'suis pas une putain de pute tu sais ? J'aime pas du tout le préjugé que t'a sur moi. Si c'est pour me juger comme ça tu peux te barrer. J'ai pas besoin de quelqu'un qui remet en question la moindre parole que je prononce, ça me ma tape sur le système t'a même pas idée. Putain j'étais content de te voir mais en fait non tu peux te barrer. le voix pas même osé, d'un calme glacé. Je suis blessé par son attitude et pour une fois n'est aucun mal à le faire comprendre. Je m'écarte retournant m'assoir dans l'idée de continuer ma sieste improvisée. Ah oui puis le baiser, mais en rêve au moins la j'peux décider qu'il me fasse pas chier.

J'ai bien sentit le problème, évidement d'habitude les baisers il y répond sans problème. Alors évidement les paroles finissent par fuser, ça fait mal. Des deux côtés. Évidement vu son regard glacé, je me rend compte que on a tout dépasser. Encore une fois engueulade qui pointe son nez. J'suis pas une putain de pute tu sais ? J'aime pas du tout le préjugé que t'a sur moi. Si c'est pour me juger comme ça tu peux te barrer. J'ai pas besoin de quelqu'un qui remet en question la moindre parole que je prononce, ça me ma tape sur le système t'a même pas idée. Putain j'étais content de te voir mais en fait non tu peux te barrer. Je le regarde gêné, puis ahurit. Déjà dans sa manière de me parler aussi supérieur que la première fois, il recule et s'éloigne moi sous le poids des mots je recules aussi d'un pas. Salop. Remettre en cause la moindre de ses paroles ? Faut savoir alors je dois discerner son humour lorsqu'il parle des autres gens avec qui il dit coucher, et aussi discerner la vérité qui je l'avoue m'a semble-t-il totalement échappée. Des préjugés ? C'est pas moi qui les ai créé. Je sors mon portable, ayant il y a peu de temps, même il y a deux jours, à me servir d'internet dessus. Oui retardé mentale je n'avais toujours rien capté. Je capte rapidement la recherche, affichant les titres d'articles. J'me suis déjà excusé alors quoi ? Une putain de pute ? Non mais en tout cas ta voix récupérer tu ne perds pas de temps à recommencer avec ta supériorité. Et j'invente rien, quoi j'ai beau être arriéré dans bien des choses mais j'suis pas sourd aux infos de ton groupe...attends voir... impossible de conmpter les articles qui parlent de tes conquêtes et coups d'un soir. " Ismaël le chanteur de Drop Dead semblerait avoir rapidement tourné la page d'avec son ancienne amie, relation courte qu'il s'empresse d'effacer avec deux autres personne.", ou alors " Si Drop Dead monte en force dans la notoriété, les frasques et conquêtes innombrables du chanteur font beaucoup de leur popularité...au encore mieux " un fils caché ? Pour Ismaël Hives il semblerait néanmoins bien l'adopté. Mais sait-on combien d'enfant peut-il avoir vu ses nombreux écarts ?"... j'invente rien, des préjugés crois moi j'ai tout fait pour pas en avoir. Ton air supérieur la première fois, ton égo sur-dimensionné. De plus je te demande rien... aucune fidélité, j'ignore même ce qu'on est l'un pour l'autre. Oui je te plais je remet pas ta parole en doute mais quoi ? Ça inclue quoi dans ton "forfait" ? J'veux juste pas entendre parler des autres. Ok j'avais pas à te gifler, j'sais pas pourquoi j'ai fais ça, jalousie j'en sais rien... oui j'me barre. Je parle trop ? Oui je le sais, je tourne les talons en soufflant. Ne récupérant même pas le portable que je lui avais balancé quand je lui ai énuméré certains articles. Je m'appuie sur un amplis dos à lui, fermant les yeux. Tout gâcher ? J'avoue, moi qui supporte pas la violence, je l'ai giflé. Giflé ! Je serre les dents, regardant le plafond pour rien laisser couler, rien laisser dépasser. Partir ? En suis-je vraiment capable ? J'suis vraiment désolé. J'inspire par le nez, réprimant toute humidité dans mes yeux, bien que ma voix trahit légèrement mon ressentit. Quoi combien de fois je vais devoir lui dire pardon ? Il a assez d'égo pour deux, j'ai bien compris qu'ici si ça doit s'arranger c'est moi qui doit plier, lui il le ferait jamais...

J'me suis déjà excusé alors quoi ? Une putain de pute ? Non mais en tout cas ta voix récupérer tu ne perds pas de temps à recommencer avec ta supériorité. Et j'invente rien, quoi j'ai beau être arriéré dans bien des choses mais j'suis pas sourd aux infos de ton groupe...attends voir... impossible de conmpter les articles qui parlent de tes conquêtes et coups d'un soir. " Ismaël le chanteur de Drop Dead semblerait avoir rapidement tourné la page d'avec son ancienne amie, relation courte qu'il s'empresse d'effacer avec deux autres personne.", ou alors " Si Drop Dead monte en force dans la notoriété, les frasques et conquêtes innombrables du chanteur font beaucoup de leur popularité...au encore mieux " un fils caché ? Pour Ismaël Hives il semblerait néanmoins bien l'adopté. Mais sait-on combien d'enfant peut-il avoir vu ses nombreux écarts ?"... j'invente rien, des préjugés crois moi j'ai tout fait pour pas en avoir. Ton air supérieur la première fois, ton égo sur-dimensionné. De plus je te demande rien... aucune fidélité, j'ignore même ce qu'on est l'un pour l'autre. Oui je te plais je remet pas ta parole en doute mais quoi ? Ça inclue quoi dans ton "forfait" ? J'veux juste pas entendre parler des autres. Ok j'avais pas à te gifler, j'sais pas pourquoi j'ai fais ça, jalousie j'en sais rien... oui j'me barre. Tout ce stop, tout bourdonne j'ai un truc dans la gorge qui veux pas passer. Un vieux goût âcre de bile, de déception et de colère mêlées. J'ai même pas envie de la frapper. Pas même celle de crier. Je l'entend s'appuyer contre une amplis, murmurer quelque chose d'une voix cassé. Rien à foutre je veux plus t'écouter. Telle bas, tellement lâche de m'attaquer sur ça. Sur mes conneries adolescentes que les tabloid amplifie, déforme à leur guise un baisé en une baise sans dignitée. J'ai froid. Un long frisson comme une rape qui glisse sur ma peau en arrachant des lambeaux. Comme quoi... Toi aussi tu vois, tu me juge sur tout les tableaux. Pas assez bien pour élever un gamin même si je l'aime, même si je ne veux que le protégé. Trop frivole pour pouvoir aimer. C'est ça ta vérité ? C'est ça que tu remâche depuis des semaines sans osait m'en parler ? Tu penses mieux que connaitre en lisant les journeaux que par ce que moi je peux te dire ? Bah y apprend moi qui je suis j'vais bien rire. Jaune s'il vous plait. J'ai une boule d'en la gorge qui m'empêche de parler. Y'a du vrais oui, mais du faux à la pelle aussi. Je me relève et une fois debout renfile ma veste=sweat ne l'ayant toujours pas regarder. Je ne veux pas le regarder. J'veux m'en aller. C'est d'ailleurs ce que je fait. Sans la moindres paroles prononcer je m'éloigne d'un pas vif et determiné. J'ai besoin d'aller fumer. Presque de l'eau dans les yeux tellement ma rage, ma frustation se transforme en une tristesse que je refuse de nommé. Il s'en veux, il regrette voir même va pleurer ? Tempis pour lui vaut mieux qu'avant de lui parler je me soit calmé. La main sur la poignet mon coeur me fait un instant hésité. Est-ce prédestiné qu'avant de s'aimer on doivent s'engueuler ? Peut-être que je pourrais pardonner. La pardon est bien un acte de charité, non mérité. Mais à peine y ais-je pensé qu'une phrase reviens me marteler. Mais sait-on combien d'enfant peut-il avoir vu ses nombreux écarts ? Cette image tellement dégradante, tellement rabaissante qui depuis plus d'un an de tout m'a dégoutée. Ça inclue quoi dans ton "forfait" ? J'veux juste pas entendre parler des autres. coup au coeur, poing qui se serre j'ouvre la porte commençant à avancer. J'marche pas au forfait, j'ai couché avec personne d'autre depuis Paris tu sais... C'est ça dégage et surtout fou moi la paix. Je claque la porte derrière moi tourne à gauche en ouvrant une seconde me retrouvant dans l'air frais. Tiens la nuit est tombée.

J'entends rien, je l'entend plus. Pas. Toujours pas. Est-ce donc ça ? Doit-on toujours s'engueuler ? Pas savoir se parler ? Comment ça devoir ? On est pas obliger, on peut tout arrêter. Sauf que rien que d'y penser, j'ai le coeur au bords des lèvres. Les larmes aux bords des yeux, et rien dans le cerveau. Il se lève, et file. Je relève la tête, voulant l'arrêter, le retenir. Mais il se retourne et je me fige dans mon mouvement. Son visage bien trop dur, bien trop... il me fait peur, non pas parce qu'il pourrait me frapper, mais parce que ce visage je le connais pas, et je l'aime vraiment pas. J'marche pas au forfait, j'ai couché avec personne d'autre depuis Paris tu sais... C'est ça dégage et surtout fou moi la paix. Je le regarde, encaisse ses paroles. Pardon ? Personne ? Alors pourquoi me dire ça avant ? Pourquoi avoir jouer avec mes nerfs ? Et moi j'ai tout gâché. fous moi la paix. Je fixe la porte fermée. Promesses si vite envolées. Stone, totalement déconnecté. Même pas capable de penser, juste sentir qu'il y a quelque chose qui explose, qu'il y a une tempête qui menace; et qui avait commencé à rassembler si rapidement tant de ressentiment. Si peu de temps pour s'attacher, comme si ça faisait des années. J'suis qu'un fucking taré pour emmerder, pour tout casser. La porte est fermée, ile st partit. Fou lui la paix Charlie. Moi et mes préjugé, pourquoi j'suis aller croire n'importe quoi ? Non surtout pourquoi j'ai rien demandé ? A cause de ses "secrets" à cause de sa non-communication, ne pas faire le con, ne pas vouloir le braquer. Alors j'ai imaginer, créer des films...et si loin de la vérité?! Je m'approche de la porte, main sur la poignée. J'avale ma salive. Douloureusement. Appuyant sur l'interrupteur le noir s'abat. M'entoure. Terrifiant, j'ai toujours eus peur du noir. Toujours, et là j'ai peur du noir en moi. Je recule, doucement, sans comprendre, attendant que quelque chose heurte mon dos. Chose faite, surface dur et froide, je me laisse glisser en bas. Sursaut. Non sanglot. Mes mains qui se referment sur mes cheveux, tête rentré contre mes genoux. Se protéger, des monstres de la nuit ? Des monstres de l'ennuie, pire des monstres de la jalousie. Il se met à pleuvoir, une goutte, puis deux. Dans le noir. Sur mes joues, ce soir c'est pas le noir, c'est pas la nuit qui exprime sa douleur, mes yeux arrivent pas à s'arrêter. Je serre les lèvres, essayant d'enfermer ces stupide sanglots, qui me font ressembler à une fille.

à peine allumait ma clope est consummé. J'suis tellement sur les nerfs, tellements nerveux et agité que les tafs ressemble à des aspiration de ventoline pour le dernier des ashmatique. Je tousse grimace parce que la fumer me reviens d'un coup de vent dans le yeux. la batonnet blanc à disparu et tirer sur le filtre ne servirait à rien. C'était la dernière mon option étant donc je retourner jusqu'à la loge ou d'attendre demain. la deuxième plutôt. j'ai pas envie de les croiser transprirant et sortant du concert entrain de faire les beaux. Putain c'est douloureux. Oh ouai putain ce sentir m'y à l'écart ainsi c'est comme avoir enfoncé dans chaque poumons, un pieu. J'expire puis inspire, inversion tout pour renverser la tristesse qui m'asaille. Je ne peux pas gagner cette bataille. à la place je cherche le doudou de cloud qui traine dans ma poche de blouson. Vieux bouts anciennement bleu de coton. Sauf que dans ma poche il n'y a rien. Pas le moindre trace mais il y a son parfum. Truc qui me reviens je ne sais comment à l'esprit. Je fait volte face de tout façon j'doit avoir laisser tomber la peluche pas loin d'ici. Plus précisement par là-bas. Non ce n'est pas une excuse pour aller voir comment il va. Je reviens donc sur mes pas et en ouvrant la porte clame tout bas. J'ai juste oublié le doudou d'un de mes nombreux fils illégi...times... Noir complet et sanglot étouffés. Mon coeur se serre un peu plus pas la peine d'en dire plus j'ai deviné. Je referme la porte derrière moi, me disant que cette fois-ci on a franchement abusé. Quand à chercher par fierté à dominé mais qu'on a réussit qu'à s'entre-blesser. J'avance à taton la porte derrière moi étant refermé. J'utilise mon portable pour me diriger et bien vite repère son corps tout replier. J'éteins tout et avance jusqu'à lui dans l'obscurité. Puis à genoux mes bras viennent l'enlacer. Putain Charlie non merde pleure pas... je lui caresse les cheveux me mordant la lèvre pour ne pas craquer à mon tour. Rancoeur et colère oublié sûrement pas mais à quoi bon ainsi se tourner autours ? Venant coller mon torse à ses jambes repliées. je pose mon nez contre son front en essayant de le calmer. Plus encore que les sentiments qui m'agitent ça douleur, ses pleurs me paraissent insupportable. Aller quoi y'a rien d'insurmontable.

Pas s'énerver, parce que ça n'arrange rien. J'veux juste calmer ces sanglots de merde, parce que je fais pitié, non mais sérieux vous m'avez regardé ? Même une fille se contrôle mieux. Faut vraiment que je dorme, je pête les plombs pour un rien, peut-être qu'aussi si j'arrêtais de l'imaginer avec d'autre... On est pas marié à ce que je sache. La porte s'ouvre J'ai juste oublié le doudou d'un de mes nombreux fils illégi...times... Merde. Je me fige, ne bougeant pas pour autant, restant replié, son irruption m'ayant fait sursauter. Qu'est-ce qu'il vient faire ici ?Pourquoi revient-il ? Il tient vraiment à m'enfoncer ? Enfin il semblerait que son intention soit une peluche de m*rde, et donc qu'il ne revient pas pour moi. Un autre coup pour m'enfoncer. La porte se referme, il est partit ? Il a encore fuit ? Des mouvements m'indiquent que non, et je sens son corps s'approcher. Je serre ma lèvre fort entre mes dents, pas envie de passer pour une fille. Putain Charlie non merde pleure pas... Il touche mes cheveux, je me recule légèrement, mais étant bloqué par derrière je peux rien faire. Magnifique, maintenant je m'humilie encore plus devant le mec auquel je tiens. Je crois que je suis passé par tout les stades d'humiliation avec lui, et en juste quelques fois. pitoyable. Son visage posé contre le mien, je perd mon souffle, si mes sanglots ont vite été dispersé quand il est entré mes larmes veulent pas cesser de couler. Ignoble trahison de mon propre corps, je me crèverais les yeux si j'en avais pas autant besoin. Aller quoi y'a rien d'insurmontable. Alors là...c'est le bouquet. Je peux comprendre qu'il ne veuille pas me voir pleurer, je peux comprendre que certaines personne savent pas réconforter mais là c'est le bouquet ! Je relève la tête, en colère ? J'en sais rien car mes yeux continue de pleurer, je renifle doucement. Tu fais chier ! " y'a rien d'insurmontable." tu comptes me calmer avec ça. Y'a rien d'insurmontable. Peux-tu parfois montrer un peu de compassion envers les autres. Sérieux ça marche pas ça. y'a rien d'insurmontable ? Ah ouai ? Alors montres un peu ce que tu ressens. Putain tu fais chier Iz' voix en colère, enfin surtout surtout blasé, à moitié enroué par mes pleure. Même pas convaincante de une vraie colère, nan mais sérieux c'est vrai il peut pas trouver autre chose. y'a rien d'insurmontable. Ouai ba moi je dis que si, ce qui est insurmontable c'est de toujours m'engueuler avec lui et de me sentir aussi mal après. J'essuie mon nez, pire qu'un gosse vaut mieux pas que je me vois sinon je vais m'enterrer vivant. T'es nul ! Je le frappe, enfin non le pousse doucement, et même moi j'y crois même pas, c'est futile. Je me repose sur lui, toujours en colère qu'il est pas trouvé mieux pour m'arrêter de pleurer, parce que même si j'suis dans ses bras, j'arrive pas à m'arrêter. Je vais me travestir ça sera plus crédible.

Si heureusement ses sanglots cesse ses larmes elles continues de couler. Gouttes d'eau et de tristesse entrain de couler. Je me retrouve le coeur encore plus serré. Mais il se dérobe, recule le plus qu'il le peux et dans ma gorge la boule ne fait que s'accentuer. Lorsqu'il relève la tête d'un air, énerver, je comprend que j'ai pas dit ce qu'il fallait. Comme toujours j'suis une merde pour réconforter. Tu fais chier ! " y'a rien d'insurmontable." tu comptes me calmer avec ça. Y'a rien d'insurmontable. Peux-tu parfois montrer un peu de compassion envers les autres. Sérieux ça marche pas ça. y'a rien d'insurmontable ? Ah ouai ? Alors montres un peu ce que tu ressens. Putain tu fais chier Iz' Je fronce les sourcils, un poil vexé qu'il est réagit à ce point.... J'expire évitant même de mettre un mot là-dessus, resserant puis desserant les poings. Je contiens mes élans de violence, je les contiens sans même m'en rendre compte parce que son corps qui tremble légèrement... Il est plus qu'un simple amant. Je sais pas comment. J'en suis soudainement conscient. Alors comme un soufflet ma rancoeur retombe et je ne souhaite que le reconforter. Réussir à ma deuxième tentative à stopper ses larmes qui ne cessent de couler. Mais pour ce faire je vais le laisser approcher. T'es nul ! Il me frappe avec si peu de force que s'en est encore plus touchant. Sa voix énerver, faussement. Je me recule légèrement mais vite son corps viens contre le mien. Je me saisis d'une de ses mains. Et la portant à mes lèvres je murmure que oui je sais, que je suis désolé. Je lui relève le visage face au miens récupérant une larmes du bout de lèvres avant de l'entourer de mes bras et d'à son oreille murmurer. Y'a eu personne putain lit pas ses torchons qui extrapôle tout, j'te jure... Angoisse pas comme ça. Si y'a bien une chose qui est vrais c'est que je suis franc. Si je voulais pas te voir, si je coucher avec quelqu'un d'autre ou que tu m'intéresser pas, sérieusement, tu le saurais déjà. Ok ?

Je sais que c'est pitoyable, que franchement vu nos engueulades je devrais juste me braquer, partir et tout laisser tomber. Mais non, je ne veux pas. Enfin je peux pas, alors je le frappe doucement, puis me résous à retourner dans ses bras c'est débile. Je respire son parfum et ça me calme légèrement. Je le sens me serrer, et je le laisse prendre mes mains, si ça lui plait. Je l'entend me dire qu'il le sait bien, et qu'il est désolé. Il sait qu'il est nul ? C'est une bonne chose à vrai dire. Au moins maintenant je le sais et que si je suis pas bien, c'est pas lui qui pourra me consoler. Je renifle, et je me fais étrangement penser à Cloud. Quelle honte. Je sens alors ses doigts me relever la tête, je détourne le regard sans détourner la tête. Buté ? En même temps il fait noir, on se voit même pas mais je sens ses lèvres sur ma joue, trempée. Y'a eu personne putain lit pas ses torchons qui extrapole tout, j'te jure... Angoisse pas comme ça. Si y'a bien une chose qui est vrais c'est que je suis franc. Si je voulais pas te voir, si je couchais avec quelqu'un d'autre ou que tu m'intéressais pas, sérieusement, tu le saurais déjà. Ok ? Je l'écoute et je me sens vraiment, vraiment pitoyable de réagir comme cela. J'inspire. Je...je parle pas de ça Ismaël. Je ne regarde pas les magasines... c'est... une généralité, je veux dire...je remet pas en cause ce que tu as dit mais... j'en sais rien, on est pas pareil... Je te crois, c'est vrai je te crois vraiment.. Bon on va arrêter dans le mélo dramatique et on parlera de tout cela plus tard. Quand on sera calmé, quand je serais calmé. Alors qu'une pensée vient ôter les autres je me met à rigoler doucement. Ok je pleure et je ris d'un seul coup mais... je dois vraiment ressembler à Cloud Je soupire, en me tapant la tête en arrière contre le mur. JE suis le pire débile au monde. Il tient toujours mais main, et moi je veux penser à autre chose. Je l'attire vers moi, cherchant ses lèvres, j'y arrive rapidement. Voulant oublié nos débilités. Il voulait pas que j'aille chercher la groupie déjà ? ... Dis tu voulais pas que j'aille chercher ta groupie... parce que sinon...j'ai peut-être une idée... Je chuchote doucement, laissant le reste de côté.

Je me sens non pas idiot mais mal-alaise, culpabilise de l'avoir fait pleurer. Faut pas croire que je suis d'une totale insensibilité. Je ne cherche jamais directement à provoquer les larmes d'un être aimé. Doucement donc je l'ai amené dans mes bras, cherchant maladroitement à le calmer. J'suis nul, totalement merdique quand il s'agit de trouver les mots qu'il faut, les gestes à effectuer. En voulant être gentil j'suis capable d'encore plus le blesser. Désespérant hein ? Et oui j'suis une gigantesque crétin. Je...je parle pas de ça Ismaël. Je ne regarde pas les magasines... c'est... une généralité, je veux dire...je remet pas en cause ce que tu as dit mais... j'en sais rien, on est pas pareil... Je te crois, c'est vrai je te crois vraiment.. Ok... Moi 'fin... C'est c'qui me plait que... 'fin que tu sois pas pareille, pas que ça mais... J'aime ça... Mes mots sont incertain, je tatone par peur d'accentuer la malentendu. Parce que je sais que d'un mot j'suis capable de lui faire accidentellement croire à un refus. Je le sens vibrer un peu plus, est-il entrain de rigoler ? Ah bah oui bon la tempête serait-elle passée ? Je dois vraiment ressembler à Cloud Cloud est le seul que j'arrive à consoler alors non apparemment tu lui ressemble pas t'en que ça. Bien que tu sois autant adorable. En réponse j'obtiens un baisé. Je me détend un peu répondant sans hésiter. L'orage enfin semble s'être éloigné. Son corps contre le mien me fait au fur et à mesure tout oublier. Je suis troubler. Il me fait trop facilement perdre pied. J'ai l'esprit qui s'enlise contre sa bouche, s'embourbe délicieusement dans son parfum. Un frisson, un sursaut qu'il provoque et qui ne semble plus avoir de fin. Dis tu voulais pas que j'aille chercher ta groupie... parce que sinon...j'ai peut-être une idée... C'était pas toi qui m'a réveillé d'un baisée ?! Je le colle sensuellement au mur volant ses lèvres dans un fougueux baisé. La tension accumulé, la distance qui pendant 3 semaines nous a été imposée.... Je veux le retrouver. J'ai l'envie de notre intimité, de nos corps enlacés comme l'autre nuit et de maintenant la retrouvée. Mince moi c'était de toi que je rêvait... Un dernier baisé et je 'éloigne très doucement sans rien brusquer.

Ok... Moi 'fin... C'est c'qui me plait que... 'fin que tu sois pas pareille, pas que ça mais... J'aime ça... Je l'écoute sans vraiment comprendre deux secondes ce qui est vraiment entrain de se passer. On est en train de se réconcilier ? Cloud est le seul que j'arrive à consoler alors non apparemment tu lui ressemble pas t'en que ça. Bien que tu sois autant adorable. Je ris légèrement, sympathique quand même. Faudrait-il qu'on se retrouve dans le noir, moi en larme pour qu'on puisse autant mettre toute vérité à plat ? Il était peut-être mal partit mais c'est sur qu'il est sur le bon chemin pour remonter le moral et me réconforter.
J'aurais de quoi répondre, mais je choisis ses lèvres plutôt que de parler. Faut croire qu'on a pour le moment autre chose à faire plutôt que parler. Et puis pourquoi pas régler nos problèmes autrement ? Alors ce sont ses lèvres qui me servent de remède contre les larmes. C'était pas toi qui m'a réveillé d'un baisée ?! Je ris doucement, le sentant s'accrocher à ma peau, tandis que je me sens coincé entre le mur et lui. Et je trouve cela vraiment très très très remoralisant. Même si je sais que ce mot n'existe pas. Mince moi c'était de toi que je rêvait... Il s'éloigne un moment de moi et ses mots viennent à moi et je m'arrête un moment. Il rêvait de moi ? Vraiment ? Je sourie amusé, je lève mes mains pour suiivre les traits de son visage, dans le noir. Passant sur ses yeux, jusqu'à ses lèvres. Je m'éloigne du mur, m'appuyant sur lui pour finir par l'allonger. Et bien... finalement tu sais bien parler... Je viens reprendre ses lèvres. Allongé dans la réserve, il y a peut-être un détails que j'aurais préféré, un meilleur endroit, mais surtout pas d'engueulade avant. Sauf que justement l'endroit je m'en fous, parce qu'il est là et qu'après une engueulade la réconciliation semble être beaucoup mieux. Je continue de l'embrasser, passant les mains sous son sweet.

On se cherche tout le temps. On se retrouve pour finir tendre amant. Rien d'alarmant ? C'est le classique apanage aujourd'hui des sentiments. Ils sont malmenés, désertés malheureusement. Lâche ? Totalement. Mais avec toi sans comprend, sans savoir vraiment comment. Je veux que ça se pose autrement. Enfin j'aimerai essayer de faire ça bien finalement. Et bien... finalement tu sais bien parler... Une seconde avant je me reculer quand alors je suis allongé. Lui sur moi tranquillement installer. Et ses lèvres, sa présence qui m'isole de ce monde de taré. Je frissonne lorsque ses mains glisse sous mon sweat et que renait notre proximité. Je lui passe une main dans les cheveux. On bataille langue contre langue profitant d'être à deux. Faudrait qu'on apprenne à pas se disputer avant de s'embrasser enfin du moment qu'on est pas brouillés. Alors que j'ai sérieusement l'idée de le déshabiller. Des mecs du staff entrent et allument les lumières sans pitié. Oops grillé. Et puis bien grillé pour le coup puisqu'ainsi allongé entrain de se tripoter... Et puis c'est pas comme si les mecs du staffs ne nous connaissez pas. Ils nous regardent tout les deux un sourcils levés et croisant les bras. Je me sen encore une fois adolescents. Comme en Grèce je me sens vilain garnement. Bah alors les jeunes vous avez perdu les clefs de vos bus ? Ismaël ton groupe te cherche partout depuis une demi heure, il on assuré pour le concert tu as bien choisie ta "remplaçante". Si je n'avais pus retenir un sourire amusé il s'efface lorsque Burk est cité. Mon humiliation rappelée à mes oreille je nous fait nous relever. À l'oreille de Charlie je lui murmure que je l'appel et le rejoins dès que je suis libéré et que s'il a un empêchement qu'il devait juste me prévenir. Puis je me suis dépêché de partir en remerciant les deux autres hommes d'un léger sourire. Je traverse quelque couloir et atteins la loge. Iiiz' putain on t'a cherché partout, c'est génial le concert était un succés ! Merci pandore pour le tact, je vois Sisi et Mika tourné la tête gêné. Mon dieu je sens que l'heure suivante va être d'une très très grande pénibilité.

J'voudrais bien qu'on arrête de s'énerver, qu'on stoppe un peu tout ces jeux de débilité. Pour lui trop de fierté, moi trop de sentimentalité. C'est blasant qu'on soit à ce point rendu. A peine trois semaines sans s'être vu et déjà on s'engueule avant de se réconcilier. Comme c'est débile d'en arriver là, avant de finalement se tomber dans les bras. Et en tomber sur le sol, car en effet je finis au dessus de lui, glissant sous son sweat en me disant que ça pourrait être encore mieux sans rien. On s'embrasse, on se cherche, on se dévore mutuellement. C'est possible d'avoir à ce point envie de quelqu'un ? Je suppose que oui. J'en est oublié l'interview de toute à l'heure, et notre dispute débile, seul reste de cela mes joues encore trempé de mes anciennes larmes. Mais je n'en ai que faire.
Pourtant alors qu'on continue nos ébats qui ne font que commencer, la porte s'ouvre à la volé, lumière qui jaillit, on se stoppe et je cligne des yeux. Merde grillé. Bah alors les jeunes vous avez perdu les clefs de vos bus ? Ismaël ton groupe te cherche partout depuis une demi heure, il on assuré pour le concert tu as bien choisie ta "remplaçante". Merci bien, dans la délicatesse il connait aussi ? Je me sens c**, revenu un peu à l'adolescence ou se genre de chose on le fait en cachette derrière le dos des parents. Ismaël semble devenir distant, à l'annonce de son groupe et du concert. Je me souviens en effet avoir entendu parler d'une relève. Je me laisse remonter et retomber sur mes pieds. Remettant ma veste en ordre je passe une main dans mes cheveux. Iz' se penche et me dit qu'il m'appelle quand il est libre. Oui se voir en coup de vent, juste tout les deux caché. JE dis rien et hoche la tête le voyant déserter. Je soupire en essuyant mes joues. Pauvre taré. J'inspire lentement récupérant mon portable au sol. Et quitte cette maudite réserve. Je prend mon téléphone. Pas envie de rester là à l'attendre, c'est puéril je sais mais... J'ai envie de sortir à m'aérer l'esprit. J'téléphone à Electro lui demandant si une excursion dans un bar puis boîte le tente. Réponse positive, j'active vers notre hôtel pour me changer. Je lui envoie un texto, me disant qu'avec son groupe ça doit être un fiasco pour lui de voir se faire remplacer. désolé j'reste pas à l'hotel. j'sors avec electro. quand t'es libres fait moi signe. Je soupire en me disant que c'est la galère de sortir avec un mec comme lui, d'avoir des sentiments pour lui; mais que j'suis foutu parce que bien trop accro.

On parle de longues minutes, je me fait engueuler parce que je suis resté pour écouter le concert et que du coup je peux pas commenter. Pas de réaction je suis fermé. Je voulais pas rester, je pouvais pas et je refuse de m'en justifier. Ce que Charlie ma balancé sur les journaux tout à l'heure me revient à l'esprit, m'enfonçant un peu plus dans mon mutisme buté. Les autres comme à s'échauffer, le ton monte et notre manager ne fait rien pour nous calmer. Je ne réagit qu'avec frivolité. Ben continue encore et encore de dire que Burk s'en ai vraiment admirablement sortie malgré quelques erreurs qu'on peux négligés. Moi quand on a commencé les erreurs il me les laissait jamais passer... Je ne prête aucune attention aux réactions des autres, borné. Puis tout à coup notre manager tape du poing sur la table voyant que tout ce qu'il dort entre et ressort aussitôt de mon cerveau vexé. IZ' !! Tu es insupportables, tu m'entend là tu dépasses les limites ! À force de jouer au con avec ta voix tu a faillie foutre le groupe en l'air ! Heureusement qu'on a trouvé quelqu'un pour t'asister, se sera bien si tu retrouve ta voix vous serz un duo excellent. Si je retrouve ma voix ?!! Mais pour qui tu te prend pour me parle comme ça ! Arrête avec ton orgueil impossible Ismaël. Tu aurais du rester pour écouter le concert, pouvoir conseiller Burk par la suite. Au lieu de ça dieu sait c'que tu a été faire, foutre une autre groupie enceinte pour te sentir encore fort et dominateur ? Mon poing part tout seul, en plein dans sa figure de connard. Mika se lève pour me retenir mais je l'envoi boulé et immédiatement me barre. Je travers les couloirs comme un fou le coeur battant à tout rompre et la respiration saccadé. Des larmes de colère, de rage que j'arrive à retenir qu'à moitié. Je me retrouve dehors traversant les rues capuche relevée. Je passe en courant jusqu'au bus de tournée. Arrivé là-bas je me planque derrière et décide d'appeler Charlie. Je ne veux voir que lui. J'veux même pas analyser cette envie. Répondeur et un sms que je ne pas encore lu met signalé. désolé j'reste pas à l'hotel. j'sors avec electro. quand t'es libres fait moi signe. Quoi mais... Le seconde d'après le portable est au sol, explosé. Petit morceaux de plastique et de mécanique étalés. Je me relève pensant que les autres vont bientôt rappliquer. Logiquement ici c'est le premier endroit où ils vont me chercher. Quittant donc rapidement les lieux je vais me balader dans les rues jusqu'à un pub où me poser. Puis installé devant une bière à l'arrière de la salle enfumée. Mes larmes je les laissent couler. Me repliant les genoux contre moi je commence même à sangloter. J'en peux plus je sens que je vais craquer. Je veux être retrouvé. Je veux être aidé. Seulement c'est vrais je suis incapable de le demander. Alors c'est au fond d'un pub banal de Dublin, dans un coin sombre et enfumé que je laisse ma tristesse s'exprimer. Elle m'envahie m'empêchant presque de respirer. J'ai l'impression d'étouffer...

Je dévale les escaliers, tee-shirt blanc, un jeans troué, et un blouson assez chaud, au pied ? Une première, des converses. Je prend mon téléphone et finit par sauter dans le taxi qu'Electro a fait patienter jusqu'à mon arrivé. On va où ? Bonne question juste envie de sortir, envie de prendre un peu le temps où j'allais un peu mieux. Non pas qu'Ismaël me fait aller mal, mais toutes nos engueulades, disons ça sape le morale pour ensuite le redonner. Là pas envie de patienter dans l'hôtel, jusqu'au moment où il aura besoin de moi. juste sortir avant de le voir, et pourquoi pas qu'il nous rejoigne. Quoi que peut-être qu'il faudrait pas s'afficher, peut-être qu'il voudra pas de suite être avec moi. Et je le comprend, et que j'ai pas envie d'être une de ces énièmes conquêtes dans les journaux.
On s'arrête devant un bar, perdu, à peine occupé pour le moment, on entre comme des bourrins, appelant Barth' pour qu'il nous rejoigne au plus vite. On commande des vodka, pour bien commencé la soirée. On oublit tout les soucis, notre célébrité et même les amis; autre que nous trois réunis. Enfin Barth' qui devrait vite arriver. On se sort un joint, on retrouve notre complicité comme toujours, tout les deux réunis. On parle de tout, de rien. Et mon téléphone sonne. Ismaël ? Ce n'est que que Barth' qui nous demande de venir le chercher à une rue précise. On paye, et on sort en courant pour le ramener. Entre temps j'essaye d'appeler mon...amant ? Rien à faire ça répond pas. Je laisse tomber, serait-il encore fâché ? Pour quelle raison ? On retrouve notre trio, on recherche un autre bar, allez faisons au hasard. Je ferme les yeux tournant au milieu de la route, sous le rire d'Electro qui tient toujours notre joint. Direction... mon doigt pointe une enseigne, on file à l'intérieur se réchauffer. L'ambiance est déjà plus certaines, rire et musique. On file à une table, on recommence pareil. Et terminant un jus d'abricot, sans alcool cette fois-ci, je décide que ma vessie est trop pleine. Je file vers les toilettes, je file me soulager, parce que ça devient très pressent. J'essaye de nouveau de l'appeler, rien à faire ça reste bloqué. Je soupire, et sort.
Et alors que je tourne le regard sur la salle, il y a une table dans un coin, qui semble presque inoccupée. Presque parce qu'il y a un mec recroquevillé. Un instant me suffit, je fronce un sourcil et slalome entre les tables et les gens pour aller le rejoindre. Je me glisse près de lui, mon nez glissant dans son cou. Aucun risque d'erreurs ses tatouage parlent pour lui. Hé...Iz', qu'est-ce qu'il y a ? C'est le rire des gens et la musique qui me donne l'impression qu'il tremble. visage caché dans ses genoux, angoisse sourde qui remonte en moi.

Je sanglotte, j'ai chaud et j'ai froid. On m'ignore et c'est normal vu le monde autours de moi. La foule est l'endroit anonyme par excellence. Plus y'a de gens plus des autres on s'en balance. Je tremble, enfin je crois. J'arrive même pas à penser de façon cohérence tout se mélange, tout s'emmêle insupportablement en moi. Sentiment de vide et d'effrois. Je sais que j'ai merdé. Je sais que j'ai abusé, que j'ai mis le groupe en danger. Mais je le paie le prix fort inutile dans rajouter. A-t-il conscience que chanter c'est ce qui me fait exister ? Que sans ça je me sens vider, désuet. Il me manque quelque chose, depuis bientôt 6 mois j'ai pas pus tenir un seul concert au complet. J'entend des rires et des gens qui discutant, chahutent amicalement. Moi j'ai mal à la tête, j'étouffe mes sanglots en tenant fermement la manche de mon sweat entre les dents. Envie d'hurler qui monte l'entend. Mais à la place je laisse ce cris aphone me rongeait l'estomac tout doucement. Sadiquement. Puis tout à coup un point sur la banquette et quelqu'un qui glisse son nez dans mon cou. C'est une mauvaise blague ou ? Hé...Iz', qu'est-ce qu'il y a ? Je me crispe resserrant le prise autours de mmes genoux pour mieux me cacher. Je me penche un peu sur le côté pour juste légèrement l'éloigner. Qu'il ne voit pas que je suis entrain de pleurer. Prenant toute la concentration dont je suis capable j'essai de lui parler. De lui dire qu'il n'y a rien. Que j'attend simplement un copain. Mais c'est bien un sanglot qui m'échappe et des larmes que maintenant je n'arrive plus à stopper. À trop se retenir quand tout tombe on ne peux pas le dissimuler. Je me cache en plus le visage entre le torse et mes genoux, entre mes bras qui les enserre sans cesser de trembler. Je me sens faible, exposé. Mais qu'il ne parte pas, qu'il ne me laisse pas seul pitié.

Tandis que je lui parle , essayant de savoir ce qui se passe; pourquoi il est tout seul. Je vois pas son visage, mais je m'inquiètes du fait qu'il m'ait pas appelé alors qu'on avait dit qu'on se voyait après. Au lieu de répondre il s'éloigne de moi. Restant la tête entre les genoux, ma gorge se serre insensiblement, tandis que j'avale de travers. Qu'est-ce que j'ai fais ? J'entends alors sa voix, bizarrement anormale, qui me dit quelque chose, sauf que je comprend rien par un bruit étrange. Et bien vite mon cerveau comprend ce qui se passe. Tandis que je vois ses épaules légèrement secouées par ses sanglots, je me fige sur place. Qu'est-ce qui s'est passé ? Pourquoi le Ismaël si têtu, tant d'égo et là en larme, seul à essayer de me faire virer ? Ne pas le voir ? Le laisser ? hors de question. Je glisse une main entre ses genou et son torse, mon autre bras dans son dos, le serrant tant bien que mal, non tu t'éloigneras pas. Je me glisse contre lui, les autres n'en ayant rien à foutre et discutant , riant...tout autour de nous une ambiance festive, pareil pour moi il y a peu avant que je le découvre comme cela.J pose ma tête contre son bras, proche de sa tête. Iz'... dis moi ce qu'il y a. Qu'est-ce qui s'est passé ? Inquiet ? Par cette attitude si fragile, que je ne lui connais pas. D'habitude lui qui me prend dans ses bras, qui me console, lui qui joue au dominateur et au plus fort. Renversement de situation, que je n'aime pas. Le voir pleurer, qu'est-ce qui s'est passé ? J'attends qu'il répond, mes doigts dans ses nuques, caressant ses cheveux.

Il ne s'éloigne pas. Bien au contraire il vient me prendre dans ses bras. Chaleur enveloppante et pleure qui continue de s'écouler tout bas. Autours de nous ça s'agitent, ça rigole à tout va. Mais au contraire c'est bien, ça évite qu'on se stop sur toit et moi. Qu'on comprenne que dans notre drôle d'étreinte quelque chose ne va pas. Je n'essai pas de ma détacher. Je reste contre lui tentant vainement d'arrêter de sangloter. Iz'... dis moi ce qu'il y a. Qu'est-ce qui s'est passé ? J'haussement les épaules, voulant minimiser. Elles tressautent alors que ses doigts dans mes cheveux me font frissonner. Finalement abandonnant totalement orgueil et fierté. Je relève la tête pour le regarder. Quelle allure j'doit avoir avec mes joues trempées et mes yeux rougis. R...Rien t'inquiète pas pour ça... Ah nouveau j'hausse les épaules, lui montrer que c'était qu'une broutille que très vite on oublie. Sauf que les phrases que notre manager m'a balancées reviennent sournoisement me frapper. Grimace d'un visage décomposé je choisi de retourner entre mes jambes pour me cacher. J'ai honte de moi. Honte de tout ça. Va retrouver tes potes Charlie là j'suis pas trop en état pour te remonter le moral scuze moi. Il on raison j'suis qu'un putain d'orgueilleux qui à failli tout faire foiré. Avec Charlie c'est ma faut si à chaque fois on s'est engueulé. C'est ma faute si le groupe à eu de gros soucis et que ma voix est niquée. T'avais raison en faite, on est trop différent va t'en avant que je te fasse du mal Charlie, j'suis bon qu'à ça et tu le mérite pas. Visage toujours dissimulé mes sanglots s'amenuisent me lançant comme vidé. Les sensations bataillent dans ma tête et sur ma peau comme des flammes cherchant à tout bruler. J'essai de respirer mais en moi persiste cette sale sensation d'étouffer.

Je le regarde hausser les épaules, ha non avec moi ça cela ne fonctionne pas, je vois très bien que c'est faut et que ce mouvement pour dédramatiser ne fait qu'empirer mon inquiétude. Je veux reparler mais il relève la tête, et moi je fixe son visage ravagé par les larmes et ses yeux rouge. Tellement contradictoire avec le Ismaël de d'habitude, tellement si fragile comparé à son air habituellement qui contrôle tout. Je me mors la langue, effrayé par ce côté que semblerait ne pas être contrôlé par son égo surdimensionné. R...Rien t'inquiète pas pour ça... Et tandis que je le vois grimacer en pensant à quelque chose, il finit par s'effacer encore à ma vue et replonge son visage entre ses genoux. Je sens ma gorge se serrer, si ça continue il va me faire pleurer avec son état pareil. Va retrouver tes potes Charlie là j'suis pas trop en état pour te remonter le moral scuze moi. Il me donne des ordres en plus ? Je le regarde, mais comment peut-il penser qu'à ce moment j'ai besoin d'être réconforter. Je veux le voir de nouveau sourire, c'est ça qui peut me remonter le moral. Tu n'as pas à me remonter le moral je vais bien. Iz' dis moi ce qu'il y a , s'il te plait. Ma voix presque suppliante il ne semble pourtant vouloir y remédier. T'avais raison en faite, on est trop différent va t'en avant que je te fasse du mal Charlie, j'suis bon qu'à ça et tu le mérite pas. Ses mots me frappent avec brutalité, tandis que le fixe ahurit. Quoi ? Il me jette ? Avec pour excuse qu'il veut pas me faire de mal ? J'étouffe un hoquet de surprise. Que c'est-il passé pour que maintenant il me dise cela. dis pas ça ! Iz' arrêtes, pourquoi tu me ferais du mal ?!!! J'veux pas partir. Je le force à relever son visage, l'embrassant avec un besoin fort de sa présence, qu'il m'embrasse en retour, je veux qu'il m'embrasse que ce soit faux. T'es pas bon qu'à ça. J'vois pas pourquoi tu me ferais mal...Iz' fais pas ça ! Si tu veux me jeter d'accord mais me vire pas juste par peur...s'il te plait EJ'écarte ems lèvres pour lui dire cela, mon front collé au sien, regard suppliant. Laisses moi t'aider...s'il te plait Iz'.