ISMAËL & CHARLIE - la chance ça se provoque, le hasard ça se profite

J'sens ses bras autour de moi s'attacher, bon voila au moins un bon point de régler. Reste avec moi, j'préfère être dans tes bras. Juste... juste ça. Quoi me faire partir ? J'vois pas com;ent il pourrait, le voir dans cet état suffit à me figer près de lui, à rester près de ses bras. Ses yeux brodé de larmes, ses cils collés par l'eau de ses yeux, si j'étais pas si inquiet, la sérieux j'aurais une autre idée dans la tête, parce qu'il est vraiment beau comme ça. Si attachant et pas si chiant pour une fois. Non je dis pas qu'il est chiant...mais là c'est si différent. C'est qu'des conneries... Ou plutôt des vérités que j'veux pas franchement entendre... Notre manager m'a fait gentiment remarquer que j'avais merdé, failli foutre le groupe en l'air et que j'aurais du assister au concert en spectateur pour pouvoir conseiller la fille qui me remplace... Il a aussi vaguement parlé d'engrosser une groupie pour montrer que je domine toujours mon monde... Tu vois le genre du truc qu'on aime pas entendre ni avoir à assumer. Oui les managers sont toujours là pour appuyer où ça fait mal, ils oublient souvent que sans nous ils n'auraient pas de boulot. Je me mors la lèvre, évidement je sais aussi que d'assister à un concert de son groupe avec une autre chanteuse ça doit être affreux. Je ne pourrais pas le supporter, alors lui impuissant doit être en train de sombrer. Il sourit, et son sourire me fait mal, tellement j'aime pas le voir comme ça. Aller casses toi Charlie t'a mieux à faire que les mère théresa pour les connard qui déchante. Il me pousse par les épaules, je le regard encore choqué. Le regardant se tourner. J'inspire par le nez, non pas le frapper, il risque de se vexer plutôt que le fait que ça puisse beaucoup mieux rentrer. Tais toi tu veux ?!!! T'as pas compris que j'ai pas envie ?! J'peux pas, j'veux pas. Pas être loin de toi, j'veux pas te voir comme ça. Iz' c'est qu'une question de temps...tu vas la retrouver ta voix, et tu vas remonter. C'est sur scène que tu vas le dominer le monde, et si ça peux te consoler j'peux veiller à ce que tu ailles pas engrosser une autre fille... T'es pas un connard. Et vas falloir que tu te reprennes en main, tu vas la retrouver ta voix, et tu vas assurer...même si j'y connais rien en métal. Restes avec moi s'il te plais Je caresse ses cheveux, me fichant bien d'Electro et Barth' qui semble , d'un regard, ne pas s'être rendu compte de mon absence et profite de la boisson.

Je l'observe un instant, ne voulant pas qu'il continue dans son air buté.Voulant qu'on en arrête avec nos têtes de taré, j'veux juste qu'on se stoppe, qu'on reste tout les deux, sans avoir besoin de se rejeter, sans malentendu, ni cris ni larmes. Serait-ce trop demander que de rester juste dans ses bras ? Il s'approche et je soupire de soulagement lorsque je sens son nez dans mon cou, quelque chose coule le long de ma peau, et je sens sa langue venir récupérer ses larmes. Je frissonne doucement. Tandis que sa main vient délicatement irradier ma peau, encore un frisson. C'est tellement bon. J'inspire doucement, le laissant faire, tout les deux à part de ce pub un brin trop peuplé. Et si j'la retrouve pas ? SA voix effrayé, me fait juste totalement craquer. Finalement garçon si assuré laisse échapper la dure réalité, la peur qu'on a tous chopé. Laisses moi te la faire retrouver... Je répond sans réfléchir. Comment ? J'en sais rien mais il remontera pour chanter c'est une promesse assurée. Je regard la pièce, les gens entassé, la bar enfumé, ici on a même le droit de fumer. Musique étrange, je ne l'écoute même pas cette fille étrangère. Il n'y a que lui. Charlie... j'veux t'avoir tout nu contre moi... J'ouvre des yeux étonné, sa proposition néanmoins pas à rejeter. Nos corps enlacer, moi j'veux juste être avec lui. Et puis mon regard se pose sur son visage, bouille d'enfant, suppliante et juste craquante. Comment pouvoir dir non ? comment je pourrais refuser d'être avec lui ? Tu veux qu'on rentre ? Je prend son menton l'embrasser avec envie, attendant une réponse, ma langue se mêlant à la sienne, gouttant au plaisir qui depuis des mois m'obsède.

Ses doigts qui ne cessent de parcourir ma peau, qui descendent encore plus bas, je me mors la lèvre, regardant un instant ses gens autour de nous qui ne semble pas nous apporter une quelconque attention. Je frissonne légèrement, puis je sens sa main descendre encore et je pressens qu'il n'a pas dans l'idée de s'arrêter, tandis que son doigt glisse en dessous de l'élastique de mon caleçon. Je me mors la lèvre, bougeant légèrement, ses lèvres reviennent prendre possession des miennes. Je suffoque, je profite, nos baisers enflammés. Sa main ne cessant de me caresser. Un brin taré, tout cela ans un bar bondé. Il s'éloigne pour finalement me répondre. Oui... Mais tu as tes potes qui vont finir par se demander ou tu es. Tu me caches à vouloir qu'on s'esquivent sans les croiser ? JE me mors la lèvre, comment faire ? Si je les croise avec Ismaël à côté déjà ils vont jamais nous laisser partir et vous nous innonder de question . Mauvaise idée. Pendant que je réfléchis, il ne semble pas avoir d'autre envie que celle de me faire craquer le premier. Je reprend ses lèvres avec ardeur, les dévorant avec envie. Qu'est-ce qui m'arrive ? N'avais-je pas jurer de ne plus tomber dans la sentimentalité ? La dernière était une fille, serait-ce pour me prouver que je doit rester avec lui ? Totalement différent, lui il accumule d'habitude les amants mais là... schéma à l'envers, inverse de Nolwenn pourquoi refuser, alors que mon cœur, pour lui sembler détonner ?! Ses mains sur ma peau, je ris doucement. Arrêtes je vais pas résister trop longtemps... va chercher un taxi j'te rejoins dans...deux minutes et demi. Je me lève échappant à l'étreinte des bras, lui volant un énième baiser. Je file les retrouver. Les gars...je rentre. J'ai...j'ai des trucs à faire et tout... Quoi ? Mais c'est toi qu'a eu l'idée! Tu veux qu'on viennes ? Je souris en récupérant mon portable et ma veste. Nan éclatez vous tout les deux pour une fois...on se voit demain matin. Je m'éclipse avant qu'ils riposte, je retrouve l'air glacé de l'extérieur et Ismaël qui m'attend. Ses yeux encore légèrement rougit et brouiller, je me recolle à lui un instant, juste deux minutes et il m'a manqué, je recommence à l'embrasser; murmurant que tout est réglé. Son parfum, ses lèvres...je le veux pour moi seul.

J'inspire par le nez, essayant de calmer mon cœur qui bat à m'en rompre les côtes. Je souffle et avale ma salive, fermant les yeux un instant essayant de retrouvant un semblant de calme après ce qui vient de se passer. J'suis trempé en plus. J'entends son souffle aussi rapide que le mien, est-ce que son cœur bat aussi rapidement ? Comme dans une course contre la montre, il bat pour lui, et aussi essouffler par nos baisers bien trop passionné qui ont rapidement dérapé. Je reprend mon souffle doucement, calmement. Allongé tout les deux dans le lit de ma chambre d'hôtel, dans la pénombre. Dans le silence, grand silence qui nous entoure, qui nous protège et ne me dérange pas. Mon sang bat à mes oreilles, et mon cœur fait tellement de bruit que je n'écoute guère le silence. Mes pensées se sont calmées, anesthésiées par notre trop plein de désir qui s'est transformé en plaisir. Je l'entend bouger, et j'sans rapidement sa peau venir me toucher, je reste stoïque, profitant de ces instants dans ses bras. son corps contre le mien, son souffle su ma peau, je passe une main sous ma tête, visage tourné vers le haut, les yeux clos. Charlie... T'es sorcier ? Chuchotement qui rompt le silence. Pardon ? Pourquoi cette question ? Je ris légèrement, ma voix finissant de casser le silence qui s'en va doucement, je répond pas vraiment, sa question m'amuse légèrement. Et quel serait donc l'exploit que j'aurais réussis à faire par sorcellerie ? Faut me filer l'antidote maintenant que tu as impunément profiter de mon corps... J'ouvre les yeux en riant de ses paroles. Moi profiter ? Voyons c'est même pas vrai. Enfin... bon un peu mais on était deux. Je fixe le plafond quelques secondes avant de tourner un peu la tête vers lui sans bouger. Reprenant peu à peu une respiration lente et mesurée. De quoi parles-tu ? Quel antidote ? Je te donne tout ce que tu veux. Je répond amusé, curieux de savoir où il veut m'amener sur ce terrain. Je roule sur le côté, le faisant un peu bouger, venant lui faire face, nos deux corps enlacé, je trace du bout des doigts ses tatouages attendant qu'il me réponde.

Je l'observe, attendant une réponse. Lui donner quoi justement ? C'est quoi l'antidote ? C'est quoi cette histoire de sorcier ? Il est défoncé ? Moi je trouve vraiment mignon, mais je préfère le garder. Parce que même si on se connait pas tant que ça, je sais bien que si je m'égare à dire seulement un petit truc comme cela, il va se refermer. Non Ismaël est un dur, un grand métaleux, pas un mignon garçon, il me frapperait juste pour l'avoir penser. J'étouffe un rire. Ne pas se moquer. Ils te plaisent bien à toujours les tripoter Je relève la tête pour le regarder surprit. Euh... Ouai sans doute, je m'attendais pas à ce genre de réponse. Et il faut croire qu'il s'en rend compte , car dans ses yeux ce qui y passe me fait de suite baisser la tête pour ne pas me marrer. Je continue mes tracer. Tandis que le silence s'installe, qu'est-ce qu'il pouvait bien penser pour à ce point vouloir changer de conversation ? Je fronce les sourcil indécis. Ouvrant la bouche pour reparler il me devance avec vivacité. Ta pas soif ? Non parce que moi là je crève de soif ! J'vais nous cherche à boire hein j'vais ouai, à boire... J'arrive ! Alors là oui c'est le bug sidérale. J'ai fais quoi pour qu'il se taille ainsi ? Pour qu'il flippe ainsi ? Avant même que j'ai bouger un orteil, le voila qui renfile se boxer et s'éclipse me laissant seul dans le lit. Va falloir m'expliquer, parce que juré je suis paumé. Qu'ai-je dis ? Pour qu'ainsi il doivent s'enfuir ? Je me mors la lèvre, repassant notre "conversation". Non vraiment rien à dire. Je m'assois sur le lit, normal que je trouve plus mon boxer ? J'attrape un short qui traine et l'enfile pour sortir de la chambre. Je fronce un sourcil en le rejoignant, il se sert vraiment de l'eau en plus. Nan mais de la bière, de la vodka, du soda pourquoi pas de l'eau...et puis... Nan c'est pas possible. Arrivant derrière lui je glisse mes mains autour de sa taille, venant l'enlacer doucement, posant mon menton sur son épaule, sur la pointe des pieds, parce que oui il est fucking grand. Hé qu'est-ce qui va pas ? Je demande sa doucement, fixant le robinet devant nous, mon torse contre son dos, légèrement encore moite. Et me dis pas que tu es accro à l'eau...

C'est de la vodka, tu savais pas que ces robinets avait cette fonction ?... Très pratique. Je pouffe dans son cou, amusé de sa répartie à la c**. Humour de m*rde qui pourtant me fait rire, nan mais il va les chercher où ces blagues là ? Je regarde son poignet fermer le robinet et poser le verre dans l'évier. Ah ouai ? ...ça explique certains comportement de cette suite... Je réponds en riant légèrement. Qu'est-ce qui va pas ? Pourquoi il fuit le sujet ? quel sujet ? Je sais même pas de quoi parle-t-on ? J'ignore quelle était la conversation. Il est partit avant de dire le fond de sa pensée. Je suis intrigué, pire obsédé par ça, bon ok j'exagère et je m'égare mais ce brusque changement d'idée. J'y comprend rien, il va trop vie pour que ma petite tête suive le fond de ses pensées.
Il se retourne et j'admire ses yeux encore une fois. Trop sentimentale, c'est trop banal. La chanson qu'il y a quelques semaines j'ai entendu dans l'appart' avec Cloud me revient en tête, je me met à rire comme...un c**. C'est trop banal d'être sentimental. Et la fin me revient et amplifie quelque peu mon rire. Non mais c'est vrai quoi les Disney c'est si bien choisit comme musique. C'est rien j'avais la gorge horriblement sèche et j'préfère pas la faire souffrir. Il m'embrasse et je le crois pas, mais alors pas du tout. Mais mon rire à cause de la chanson m'empêche légèrement de m'intéresser un tant soit peu à ses dires. Je sais pitoyable. Dis tu ...te souviens de la chanson qu'avait mis Cloud la dernière fois ? Alors que je prononce cela à voix haute je me rend compte de ma phrase. Et encore une fois j'ai parlé plus vite que mes pensées. Non mais quelle idée de lui dire ça à lui ?! Lui qui fuit toute sentimentalité de près ou de loin. J'arrête de rire, enfin un peu et je souris. Oublies ça Encore une fois oui. Je l'embrasse doucement, ne pouvant néanmoins pas calmer mon rire. Mes doigts se glisse dans son dos, mes mains refermé dans le bas de son dos, je me colle à lui.

Que je peux être débile à parler sans réfléchir ? C'est futile toute les paroles que je balance sans y penser, et puis quoi ? J'ai un peu retenue la leçon avec Ismaël, ne pas le brusquer, pas brûler les étapes. Ça me tiens à cœur, j'veux pas qu'on recommence dans la rancœur. Et puis mal entendu, ou autre, j'attends pas qu'il me face un serment éternel, ni même qu'il me promette certaines choses. Nan je veux l'obliger à rien, je veux juste qu'on passe du bon temps ensemble, qu'on soit bien. Qu'on soit juste bien ensemble, et si à côté il y a des sacrifices ou mêmes de concessions à faire, tant pis, je pend le risque. Taré comme je suis, bien trop amoureux pour en demander plus. Amoureux ? Le mot m'attend sans que j'y prenne garde, je viens de le penser. Et je me rend compte que depuis tout ce temps j'évitais à grand soin de le penser, comme si cela rendait la chose plus réelle, plus étrange. Iz' m'embrasse en retour, je suis bien, juste contre lui. Bah t'façons j'm'en souviens pas... Pourquoi ça te gène cette chanson ?... Attend c'était pas un truc de dessin-animé ? C'est quoi Charlie... tu... Il baisse la tête, évidement qu'il s'en souvient plus. C'est d'un naturel, et ça me fait marrer dans un sens parce qu'il prend que ce qui va dans son sens, le reste soit il l'oublie soit il le bannit et se retient bien de le dire. Pas lui en vouloir, de toute manière, il n'y peut rien; je lui en veux pas. Charlie qui ? Tu sais quoi... Moi aussi je crois... Je le regarde, enfin sa tête, un peu baissé, je reviens sur pied plat parce que sur la pointe des pieds je fatigue moi. Lui quoi ? Je fronce un sourcil ? Il semble gêné, et chez lui souvent c'est qu'il vient d'avouer mais...avouer quoi ? Je le regarde un moment, hésitant à répondre. Je me penche un peu, pour arriver sous son visage, chose facile car étant plus petit il m'en faut peu, je lui vole un baiser tout doux. Toi aussi quoi ? ...je suis un peu perdu là... si c'est la chanson c'est bon t'inquiètes pas si tu t'en souviens pas...ça me faisais juste rigoler par rapport à...enfin bref. je souris doucement.

Je le regarde me fixer, il doit se dire que je le fais marcher, mais pourtant il n'y ,a pas plus sérieux à ce moment là. Je le regarde essayant de comprendre, cessant de rire car mon cerveau est penché sur autre chose, de bien plus intéressant et occupant. Oui on s'embrasse on tourne autour du pot, des sujets qu'on évite d'aborder, des sujets qu'on veut pas commencer; même si l'autre semble ignorer. Pas se comprendre il faut croire que c'est notre crédo. C'est débile je dois l'avouer. C'était pas un truc sur une nana amoureuse ?... Hercule non ? ... Et si je doit moi aussi ça te parles pas ?... J'ai rien dit oublie ça ! Je l'écoute, mais il se détache et s'éloigne. s'éloigne ? Fuit plus qu'autre chose. Je comprend pas, toujours pas serait plus exact. Oui c'est bien à propos d'une fille amoureuse, Megara, et qui veut pas se l'avouer, ni l'avouer; il sen souvient finalement. Et puis il a raison c'est de Hercule ba il s'en souv... Oh mon DIEU !!!! J'ai bien compris ce que j'ai compris, qu'il a voulut que je comprenne ?!!!! Il a dit que... Il ... De l'air. Il me faut de l'air, penser à respirer. Et moi qu'ai rien comprit la première fois, non mais il me faut quoi. Il l'a dit. Il l'a dit il l'a dit. Bon pas directement mais il l'a dit. Mon cœur qui bat à cent à l'heure, je sens mes joues rosir. Fioou heureusement il est pas là, sinon... Il est pas là !!!! Merde il est passé où ? Se cacher ? Du tout lui en même temps. Mais impossible de bouger, bien trop sidéré. Bien trop.... sur les nuages. J'inspire. Il me l'a dit. Il me l'a dit. Bon pas le moment de faire une danse. Je reprend, enfin, mes esprits.
Je m'éloigne de l'évier, sors de la cuisine. Où est-il aller ? Ba difficile à deviner. Je m'approche des toilettes, bon le plus dur va être de l'en faire sortir. Je m'appuie contre la porte et la poignée, et d'un coup elle s'ouvre et je dégringole déséquilibrer. Mais il avait même pas fermé ? Je fais irruption dans les toilettes/salle de bain d'un seul coup, avec surtout une trouille immense d'avoir vu la porte s'ouvrir ainsi. God. Je le vois assis sur les toilettes tête entre les mains. P*tain si tu veux t'enfermer fermes à clef, j'ai faillis crever. Je dis cela une main sur mon cœur , il battais à fond à l'heure, maintenant c'est pire. J'inspire me disant que là j'aurais pu être mort. Bon j'exagère et la raison de mon irruption me revient en tête. Imbécile, je me laisse distraire pour un rien. Je l'observe et pousse ses coudes de sur ses genoux , pour venir m'y installer. Je vois bien qu'il essaye de fuir mon regard, tant pis. Excuses moi...j'avais pas tout saisi... Je l'embrasse doucement, avec tendresse pour qu'il efface de sa tête toute gêne. Et je me blottis dans ses bras. Je viens vers son oreille. Et tu sais quoi? Moi je crois même pas, j'en suis certain... je t'aime. Ok nous passerons sur le côté ridicule de ces trois mots, mais bon de toute manière avec lui j'suis passé par tout les stades du ridicule. Et puis si on le dit pas quand on ressent ça, alors on le dit jamais, et si ils ont été inventé ils sont pas là pour rester au placard planqué. Je me mordille la lèvre, déposant un baiser dans son cou, ces trois mots le feraient-ils fuir ? Pourrais-je provoquer le pire ?

J'ai crus l'avoir fait... Et bien non, il a été à ce point troublé pour en oublier que pour s'enfermer faut tourner le loquet ? Je sourie légèrement mais ne vais pas lus loin. Non parce que je vais pas le faire chier ça serait pas malin. Petits enfants cachés qui découvrent une nouveauté ? Replié dans les toilettes, on a vraiment l'air de cela, peut-être pas chouette. Adolescence retrouvé, sentiments évadé, envie d'un poil plus de liberté ? Athènes revient hanter mes pensées, soirée en solo programmée, j'aurais du me douter que le voyant déjà dans la mer c'était foutu. Cloud fut son moyen d'attache, m'accrocher au gosse succomber au charme du boss. Dure réalité ? Incroyable fatalité ? Où juste fait exprès par mon attention ? J'veux pas savoir, mais je reconnais que si j'avais eus une vague idée d'en échapper, j'aurais pas à ce point foncé tête baissée. La réalité...la réalité est que depuis que je l'ai revu sur la plage, que j'ai vu comment avec Cloud, il pouvait être aussi sage, aussi calme; il a plus cessé une seule fois de hanter mon esprit... C'est pathétiquement vrai, coup de foudre à retard ?
Il m'embrasse avec douceur, je profite, me rassurant qu'il soit encore contre moi, et qui ne se soit pas barré à toute jambe. Je sourie inconsciemment, chaleur diffuse dans mon corps. Juste bien, même si mon cœur bat encore à cent à l'heure, mais si faut dire que j'ai presque eus peur. Il prend ma main et se lève, ce qui ne me donne pas d'autre possibilité étant sur ses genoux que de suivre son idée. Il va jusqu'au balcon, dehors il fait frais, , torse nu, mais contre lui, avec lui, ça compte même pas. Je me tourne dos au vide, le métal froid dans mon dos, j'en ai que faire, tandis que lui il revient contre moi. Douce envie de rester de jour comme ça. Serait-ce le ciel qui aurait été émut par nos ébats ? Serait-ce cet orage torrentiel, qui aurait scellé notre sentimentalité ? Je laisse à plus tard ces interrogations décalées. Sa voix m'interrompt dans mes pensées. Charlie... moi aussi je t'... moi aussi, fuck... merde ! Ah fuck pardon... Putain merde non zut ah... Scuze c'était merdique... On ma la déjà dit j'suis pas crédible pour dire je t'aime. Je le regarde m'empêchant de ne pas exploser de rire à le voir galérer, non pas par moquerie mais juste parce qu'il est tellement...vrai, juste tellement bien. Je finis par l'empêcher de penser en lui obligeant un baiser. Puis je m'écarte. Si j'enlève de mon esprits toutes vulgarité, et rapproche ta phrase du début avec les derniers mots de la fin...ça peut le faire Je rie légèrement, avec amusement. J'veux pas qu'il me le dise, j'veux pas qu'il soit forcer à aller contre ses principes. Il est amoureux, il me l'a dit, j'en veux pas plus, le reste je le laisse au temps. Justement ça promet de restent plus longtemps. Je caresse ses cheveux, levant les yeux vers lui. Le dis pas, s'il te plait... J'veux pas que tu le dise en étant forcé... j'm'en fiche tu sais, cela importe peu...c'est censé être naturel Iz'...alors s'il te plait te force pas à le dire. supplique ? J'en sais rien, mais je veux pas entendre quelque chose qui serait contre sa nature, je veux juste y aller doucement, c'est déjà trop beau d'être ici avec lui, sans cris et sans bobo; je ne vais pas me plaindre que le mec, qui vient d'avouer en premier qu'il est amoureux et que je lui plait, ne puisse pas dire "je t'aime"; je m'en fiche. Je suis avec lui c'est le principal non ?

Je le fixe sans rien dire, me délectant du simple fait d'être dans ses bras, qu'il soit juste tout près de moi. Enfant qui découvre Noël, enfant perd haleine, plus savoir où regard dans mes sentiments, et seulement son visage comble mes envies, mes doutes. Serais-je déjà, en si peu de temps tombé dans le cliché des sentiments ? Je t'aime. Je le fixe inerte, sans alerte. Sa voix qui résonne, ces mots que je viens de lui dire de garder. Pourtant il vient de me les donner, murmurer. Comme une promesse qu'on ne veut pas étaler, par peur de la voir s'envoler, on la murmure à voix basse, pour pas voir tout éclater. Sauf que la c'est mon cœur qui va exploser. Qui semble paumé, entre rêve et réalité. Envie de lui sauter au cou, envie de mettre pause, envie de tout et de rien, trop de sensation à l'unisson. Je jubile, et oui je sourie. Heureux. Le simple mot n'est pas assez fort, mais aucun autre exemple de communication me vient pour partager cela. Je l'embrasse de toute mes force, impossible de faire passer cela autrement, hormis ses lèvres sur les miennes, et promesse sceller par nos baisers. Je l'aime, oui je l'aime à la folie, et tant pis si c'est enfantin, féminin, pas malin. Non je m'en fiche parce que là il n'y a que lui et moi, et qu'on peut paraître c** lorsqu'on se retrouve amoureux. Mais on s'en fout, on à une tête de débile à sourire mais la seule personne qui a du poids dans nos critique ressemble à notre sourire. Je veux bien devenir aveugle et sourd, si mes doigts continuent de le sentir près de moi. Nos lèvres se séparent. Pourquoi tu te marres tout le temps au fait ? Pourquoi ? Bonne question, ai-je besoin d'une raison pour rire. C'est simple ma raison c'est lui. Parce que je suis heureux. Encore une fois trop gamin; mais j'suis sincère et enfantin et que c'est la pure vérité, avec lui je suis heureux. Juste tout les deux, et pourtant srusaut de réalité, il semble paniquer. Merde mon portable ! Cloud ! Charlie j'peux appeler Sisi pour leur dire que je suis vivant ? Je me suis un peu cassé hunm, énervé et mon portable à disons, bien chargé.... Mais j'veux pas rentrer j'ai encore envi de toi... Je le regarde essayant de tout suivre, voila pourquoi il appelait pas ? Il avait pas son téléphone. Cloud, Sissi, une peur montante m'annonce un départ lattant. Mais sa dernière phrase me fait sourire et j'essaye de résister à ne pas lui sauter. Ne pas le faire. Enfin j'peux quand même l'embrasser, ce que je ne me prive pas, je le fais alors reculer contre le mur près de la fenêtre du balcon, plaqué contre le mur, entrainé par ce baiser endiablé, juste envie d'en profiter.
Mais ses paroles me reviennent et je calme mes ardeurs. qu'est-ce qui s'est passé Iz' ? T'as fait quoi à ton téléphone ? ... pourquoi tu pleu..tu étais si mal au bar ? ... mais...hum bien sur mon portable est dans mon jeans dans la chambre, appelle la. Je sourie avec douceur, déposant un simple baiser sur ses lèvres, d'abord rassuré mademoiselle qui me snob, après il me racontera peut-être. J'espère. Je m'écarte et rentre avec lui, j'le laisse téléphoner.

Je m'assois sur le lit pour attendre qu'il finisse, je pensais qu'il voudrait s'éclipser, au lieu de cela il me rejoint et s'assoit près de moi. Je le dévore du regard, nos précédents ébats me revenant en tête. Alors qu'il éloigne le portable de son oreille une voix stridente en sort et je fixe le téléphone choqué. C'est existe des filles aussi tarée ? Il faut croire que son groupe entier est pas net, je ris. Encore une fois. Le fixant répondre à cette fille comme si c'était sa mère, je trouve ça adorable et tandis que je me mors la lèvre je sens alors un contact sur mon ventre, je me mordille la lèvre le regardant faire, tandis qu'il discute semble-t-il avec son fils. J'essaye de le repousser pour qu'il soit concentré, mais nos mains semblent vraiment trop attirées l'un par l'autre.
Et je sais pas comment, je pas par quel moyen, mais je me retrouve de nouveau allongé sur le lit, lui venant au dessus de moi. Et alors qu'il remonte à mon oreille me glissant certaines choses, je plaque ma main sur sa bouche le forçant à se stopper. Il y a son fils à l'autre bout j'suis choqué, je rie et j'essaye de m'en empêcher, mais sa main sur mon short m'aide vraiment pas à me concentrer. Vraiment, vraiment , vraiment pas du tout. Ca raccroche. Enfin. Et il ne perd vraiment pas de temps car très vite c'est sa main que je sens contre ma peau, se glissant avec aisance dans mon short. Je rigole lorsqu'il me parle, rétorquant entre deux rires que moi aussi, pourquoi suis-je si bien avec lui ? Je me pose pas la question, la réponse est bien trop évidente. Je bouge pour encercler sa taille avec mes jambes, collant nos bassins l'un contre l'autre, seule sa main entre nous. Je me mors la lèvre, envieux. Coup de bassin imaginaire, je finis par reprendre le dessus en tournant, attrapant à ses mains et les plaquant sur le matelas. Je le fixe...amoureux ? Là sérieux c'est même plus l'envie qui prend le dessus, tandis que je lui vole ses lèvres avec acharnement, ramenant ses mains au dessus de sa tête, je les bloque d'une seule main l'autre descendant sur son torse, son ventre et son boxer. Au revoir d'ailleurs, il est temps d'aller ce coucher pour les sous-vêtements. Tandis que je lui baisse le plus loin possible avec une jambe je finis de lui enlever, merde mais en plus j'suis doué quand je veux quelques chose. Mes doigts parcourt sa cuisse, remontant doucement, caressant son intimité, avec douceur et provocation, tandis que mes lèvres ne cessent de l'embrasser, c'est décidé je peux plus m'en passer.

Je m'endors si facilement, si rapidement. Loin de soucis, loin de toute problème. Juste avec lui, juste contre lui. Sa chaleur, son corps. Je rejoins mes pensées, où tout n'est que conte fabulé; mais aussi bien que la vérité. Pas de cauchemars, impossible avec quelqu'un dans mon lit. Charlie.... Hey c'est l'heure d'émerger... Non pas envie, envie de rester au lit. J'veux pas bouger. Je fronce le nez, souhaitant retrouver mon sommeil. Mais des lèvres me rappelle que ce n'est pas un ordre pour aller bosser, juste les paroles de...mon amoureux ? Ses lèvres, je finis par bouger, parce que le plaisir de retrouver la vérité semble bien mieux que le plus merveilleux des rêves. Pardonnez moi c'est le réveil mes neurones ne sont pas connecté et il n'entend pas mes paroles aussi niaiseuses qu'une vierge la veille de son mariage. Il m'entend pas, et j'suis pas réveiller pour m'auto-censurer. Je me tourne vers lui, frissonnant sous l'assaut de ses baisers. Sourire adorable, je finis par ouvrir les paupières pour discerner Ismaël qui semble bel et bien éveillé. Quelle heure ? ... t'es réveillé depuis longtemps? Voix ensommeillée, j'essaye de repousser le sommeil, et profite de son corps. Je regard la pièce baignée de lumière, dehors il fait du soleil. Et à côté de moi, il y a un plateau avec le petit déj. Noooooon, c'est lui qui à commandé ça ?!!! Puré t'es trop chou !!! Bon ok j'avais dis que faudrait que j'évite de lui faire remarquer qu'il est justement mimi, craquant et chou. Mais trop tard c'est sortit. Je me jette sur ses lèvres, encore une fois, pour le remercier, et pour aussi profiter. Ramassant aussi la couette jusqu'à mes hanches. Je regarde le plateau avec amusement et émerveillement. Comment un métaleux aussi borné, chiant et avec autant d'égo peut se transformer à ce point en mec parfait ? Il faut le connaître il faut croire. Et j'ai cette chance, et de l'avoir pour moi seul.