CHARLIE & ISMAËL - à l'hôpital tout rose END

Les lumières s'allument autour de moi, je bouge doucement et tourne légèrement, sortant peu à peu du mode veille que j'avais commencé à prendre. Pas vraiment réussit à dormir, mais je crois qu'en survolant Berlin, un gros coups de barre m'a prit. Et volé de nuit, dans la classe numéro 1 avec des lits disons que ça facilite la vie. Une hôtesse semble être la cause de mon réveil, elle me sourit poliment et m'avertit de l'atterrissage imminent. Je hoche la tête et me lève pour la suivre vers les sièges, les ras y sont déjà, Barth' me tend mon sweat. Je l'enfile et m'attache enfilant des chaussures. Je baille une énième fois et regarde par le hublot la nuit noir nous entourés. Et je soupire en sentant l'avion descendre brutalement. Deux jours que j'attends cela, deux jours que Cloud m'a laissé ce message que j'ai écouté 100 fois. Que faire ? De toute manière même si le petit dit vrai, même si Iz' en souffre, il a décidé de plus me voir. Et qu'il ne sorte pas l'excuse du téléphone, de l'hôpital ou des autres, il n'en est que le seul responsable. Et je ne peux lui en tenir rigueur. Je frissonne. L'avion se pose et je me lève et récupère mes affaires, tandis qu'autour de nous cela s'active pour rassembler le reste. On sort sans attendre, traversant le terminus avec rapidité lunettes sur le nez, des flash, des questions qui fusent, on sourit et on passe notre chemin sans attendre. Dehors c'est un crachin londonien qui nous accueille. Welcomme to London, come back to the reality. Je soupire. J'enfonce mes affaires dans la voiture, et hèle un taxi. On l'a convenu ainsi avec les gars, je les rejoins à l'hôtel. Enfin le temps de souffler, trois semaines que j'enchaine, pour brouiller mon cerveau, pour ôter tout reflet , je m'entête à m'activer loin des miroir et de mes pensées. J'ai coupé mes cheveux, à Athènes il faisait trop chaud. Puis j'me suis aussi rasé, c'était l'obligation pour rentrer à Londres, pas d'un hippie de 69 dans l'avion avait décidé Electro'. Faut dire que j'avais sérieusement éviter tout contact avec un miroir, j'ai du y passer.

Je rentre sans ôter mes lunettes, une fille vient vers moi et me salut, me demandant si j'ai besoin d'aide. Je sourie poliment, stressé mais je m'efforce de le cacher. Indifférent ? Non il faut juste que je n'appréhende pas les cris de son groupe. Je prend le couloir, l'ascenseur. Je cherche les numéros, il est un peu tard pour les visites ? Tant pis. Je cherche les numéro que m'a énuméré le gosse. Trop intelligent, un brin trop mature, je l'avais dis dès le début qu'il était pas normal. Les chiffres se dessinent devant mes yeux, je m'arrête. Inspiration, j'ouvre juste un peu la veste kaki que j'ai enfilé, sweat en dessous, jeans troué, converse aux pieds. Presque habillé, le changement climatique entre les deux pays m'y a obligé. Je souffle et frappe légèrement à la porte. Avant d'ouvrir doucement, j'entre lentement, j'aime pas les hôpitaux, on dirait que les gens s'apprêtent à mourir d'une minute à l'autre...

CHARLIE & ISMAËL - à l'hôpital tout rose END Ban_un10

Les premiers jours j'ai écouté ses messages et à chacun d'eux j'aurais tout donner pour pouvoir hurler. Mais vu que cela je ne pouvais plus je me suis contenter d'écouter et de tous les rejeter. J'effaçais les intonations anxieuse de sa voix après les avoir pleurer. Même Cloud mit plusieurs jours pendant ces temps là à c'que je le laisse m'approcher. Les médecins je ne les laisser pas m'ausculter. Je réagissais violemment dès qu'on m'effleurer. Ils m'ont envoyer voir une psychologue à qui je refuse catégoriquement de parler. En fait depuis c'est avec tout le monde que je refuse de parler. Je dit pas que c'est définitif, que j'vais rester à vie dans mon lit prostré. Mais pour l'instant je veux qu'on me foute la paix. Je veux rester dans le noir et ruminer. Et ce que je veux je l'obtiendrais. Alors oui j'ignore ces appels en apprenant par coeur ses messages angoissés. Et dès qu'il a évoqué "l'incident" ça a tout empiré. Sans parler du fait que pour l'instant je suis bloqué ici entre les fans en dépressions et le suivis psychiatrique imposé. Je tourne en rond entre quatres murs mais vut les périodes de mutisme puis d'accés de colère il parait que c'est plus prudent. Cloud est le seul qui me calme vraiment. Il est triste que je parle pas. Mais j'y arrive pas. J'y arrive plus comme si j'avais perdu totalement ma voix. Alors qu'en fait non c'est simplement que je peux plus chanter ni parler comme autrefois. Je suis cantonner à chuchoter comme en pleine nuit doivent le faire les enfants campant dans les bois. Ironie pour un chanteur de métal... Ouai putain ça fait mal. Installé sur mon lit en tailleur je griffonne dans un carnet. Lumière éteinte me suffit celle de réverbères éclairant la nuit qui vient de tomber. En débardeur et boxer les cheveux rebiquant de tout côté je suis cerné. Fatigué presque une air de zombie fraichement déterré. J'ai un manque au creux du corps, un manque qu'est celui ce lui parler. Avoir sa présence pour survivre à tout, à tout ce qu'on viens de m'enlever. Mais chaque fois mes mains tremblent et mes doigts refuse de m'écouter. Je n'arrive pas à le rappeler. Alors je me rappel de sa peau et de la tendresse inégalable de ses baisés. Je me souviens de se tatouages sur sa peau : Love is my weapon. Effectivement ce fut bien le cas ducon. Tout le monde est parti depuis déjà une heure lorsque la porte s'ouvrit à nouveau. Étonnant ils savent que le soir je touche jamais au plateau. Je relève la tête pour leur préciser mais en reconnaissant l'arrivant je sens un frisson courir sur ma peau. Et pas forcément le plus agréable. Je referme le carnet d'un geste vif et le regard d'un air franchement pas affable. Charlie ?! Que ? Comment tu m'as trouvé ? D'accord je crève d'envie de le voir même si j'affirme le contraire. D'accord me retrouver seul avec lui c'était pas prévu et ça me fou en 2 sc le cerveau à l'envers. Mais.. Mais... Putain ce connard m'a manqué.... Et je refuse de l'avouer.

Il fait noir, et lorsque je passe la tête dans sa chambre, rien est allumé et seul des lampadaires éclairent légèrement la pièce. Sombre, et morose. Je fais un pas en avant. J'suis censé dire quoi ? Avancer encore d'un pas ? Charlie ?! Que ? Comment tu m'as trouvé ? Sa voix diminuée, sa voix anéantit, je frémis. Ma faute. Je baisse les yeux un instant, finalement commençant presque à regretter d'avoir suivit la demande d'un gosse de trois ans. Mais non pas revenir en arrière, c'est ma faute si il est dans cette galère. Je me décide à entrer entièrement et referme la porte derrière moi. Je... Cloud m'a appelé ..enfin j'ai eus son message et...je... on devait rentrer de toute manière bientôt...et je... je voulais venir te voir. C'est dur à sortir, dur à trouver les mots, dur à cerner. Il va m'envoyer bouler ? Ironie du sort il risque pas de m'engueuler. Mais pourtant je l'aurais aimé, j'aurais aimé l'entendre sur moi s'énerver, hurler. Mais non, en plus d'avoir tout brisé, c'est sa voix que j'ai cassé, sa voix que j'ai fais sombrer; et sa carrière à suivit tout comme il semblerait son goût pour la vie. Regrets ? Ça ne sert à rien, ce n'est pas moi qui suis à sa place, je continue de chanter, de rire et de crier. Lui à cause de mes conneries, il a perdu le plus précieux. J'avance doucement, arrivant au pied du lit. Je sais pas quoi faire. Pourquoi pas juste envoyer des fleures ? Parce que j'en pouvais plus, de ne pas le voir, pas entendre sa voix, pas avoir de réponse. Plus d'un mois et demi que je fuis à travers l'Europe, pour ne pas revenir à Londres et faire face à tout ce que j'ai causé. Si cela peut rassuré, j'ai pas revu Curtis depuis cette nuit... mais là n'est pas le problème, Curtis n'en a jamais été un. C'est moi le nœud du problème, j'en ai conscience...
Je pose mes mains sur la barre du lit, regardant la chambre impersonnel. Puis lui si peu vêtu. Il m'a manqué, et son manque m'apparaît multiplier maintenant qu'il est en face de moi... Je... pourquoi n'as-tu pas quitté l'hôpital ? Nulle comme conversation, comme question et comme repartie. Je m'enfonce, et je grimace devant ma débilité.

Je suis fait pour chanter. Être sur scène c'était ma façon de m'exprimer. Pas unique ou est beaucoup à la partager. Mais il n'empêche que c'était la mienne et que ça me permettait d'exister. C'est devant la public, dans le rythme arasant des tournés que je me retrouver. Les fosses survoltées, la foule qui chante en même temps que moi sur des mots que j'ai assemblés. Des textes qui les ont touchés. Qui leur on plus suffisamment pour qu'ils viennent ic s'entasser. Transpirer pour nous entendre jouer. Puis tout c'est effondré. Je ne sais pas comment m'en relever. Comment faire pour avancer. C'était le centre de mon monde. Alors que voulez vous que je réponde ? Position défensive je ramène mes genoux contre moi et attend qu'il dise quelque chose. Je... Cloud m'a appelé ..enfin j'ai eus son message et...je... on devait rentrer de toute manière bientôt...et je... je voulais venir te voir. Surprit je ne vois pas quoi réagir. Lui demander de partir ? Maintenant qu'il est là. Je n'y arrive pas. Il est si près. Je rêve qu'il m'enlace sans rien demander. Mais à la place les phrases s'enchainent et l'histoire continue de se dérouler. Mauvais film où les acteurs ont oubliés les bonne répliques pour que ça puisse fonctionner. On se débrouille maintenant comme dans un sale série B. On doit se dépatouiller avec nos regrets. Il s'avance jusqu'à poser ses mains sur les barreaux de mon lit vide et glacé. Je ne bouge pas resserrant mes doigts pour pas craquer. Tout le manque qui m'attaque avec une perfidie sans pitié. Comment lui dire qu'il me tue si il bouge. Comme faire pour simuler que je vois rouge ? Je... pourquoi n'as-tu pas quitté l'hôpital ? On craint l'agression de fans. On attend que ça se tasse. Et puis un suivis avec une psy de merde. J'ai eu tes messages... Cloud t'a appelé ? Sisi a dut avoir un peu d'inattention... Tu étais pas obligé de venir tu sais. J'suis pas à l'article de la mort, je vais même très bien. je le défi d'un regard vacillant. Je le défi comme au bord des larmes mais trop fier et blessé pour rendre les armes en bon combattant. Je ne suis pas un bon amant. Je tremble et me perd à si bien semblant. Frappe moi avant de me réveiller en m'embrassant. Depuis un mois est demi moi qui me sens comme mort en dedans.

Je n'arrive pas à savoir que faire. Résister, ça c'est sur. Ne pas me jeter dans ses bras, ne pas me jeter à ses pieds. Non tout est terminé. Je le regarde, restant fixé au pied du lit, comme un condamné à pas avoir plus. Alors que j'avance il se recroqueville sur lui, comme il en a toujours eus l'habitude. Genoux contre poitrine, barrière défensive, habitude de l'attitude. On craint l'agression de fans. On attend que ça se tasse. Et puis un suivis avec une psy de merde. J'ai eu tes messages... Cloud t'a appelé ? Sisi a dut avoir un peu d'inattention... Tu étais pas obligé de venir tu sais. J'suis pas à l'article de la mort, je vais même très bien. Je l'écoute, hochant la tête, fixant les draps. Est-ce qu'on à l'air on con ou c'est moi ? J'ouvre la bouche et commence une phrase, un genre " pourquoi tu n'as pas..." je m'interromps un instant je cherche mes mots, j'hésite à penser ou à évoquer. Me tient-il lui aussi responsable de ce malheur ? Où seul moi voit à quel point mes actions ont de l'ampleur ? Je me mors la lèvre. Pourquoi tu n'as pas répondu ? euh oui il... il avait envie de me parler et me voir... il s'inquiète pour toi. Moi aussi. Je sais...j'étais pas obligé...mais...'fin voila. Super constructif, mais j'y peux rien, je relève la tête pour le regarder me fixer, animosité ou méchanceté ? J'arrive rien à discerner, comme si aujourd'hui ses émotion m'étaient bloquées... Je m'éloigne du lit, allant voir la table où est posé un tas de lettre de fan. Pas ouverte, je regarde les adresses d'Iz' marquée d'écriture différente. J'inspire doucement. J'suis...je suis retourné au festival...celui dans l'an dernier... enfin j'sais pas si tu te souviens... je... rien à changé, enfin là-bas tout est resté pareil. Pourquoi je dis ça ? Je dis vraiment n'importe quoi. Si là-bas rien à changé, de notre rencontre tout à différé. Pitoyable.

Pourquoi tu n'as pas répondu ? euh oui il... il avait envie de me parler et me voir... il s'inquiète pour toi. Moi aussi. Je sais...j'étais pas obligé...mais...'fin voila. J'suis...je suis retourné au festival...celui dans l'an dernier... enfin j'sais pas si tu te souviens... je... rien à changé, enfin là-bas tout est resté pareil. Des milliers de mots me sautent au lèvres mais je les bloque quand même. À la fin de chacun d'eux il y a un je t'aime. Il me dérègle le système. Il vient puis rien n'est pareille. Ça s'enraye. Il s'éloigne je veux qu'il s'approche. Il remarque les lettes encore fermés de ces gens qui ne sont pas mes proches. De ces fans catastrophés. Ils me soutiennent sûrement d'une manière fort zélée. Mais moi toute cette compassion ça me donne envie de gerber. Un goût âcre d'acide qui depuis plus d'un mois c'est incruster. La psy arrête pas de me répeter que j'ai perdu du poid et que je doit manger. Facile à dire connasse toi le métier qui te plait tu peux l'exercer ! Ta raison de vivre première tu l'a ma paumé sur le bord de la route. Tu t'es pas retrouvé en total déroute. Alors qu'il me fait dos je déplie un bras et dans le vide j'attrape son sweat pour le tirer à moi. Mais c'est sur la distance nous séparent que se replient mes doigts. Alors je ramène mon bras et envoi mon visage entre ceux-là. Que veux tu que je te réponde. Que c'est pas la fin du monde. Peut-être pas mais. Ça y ressemble et. Je tremble à l'idée... Parce que t'en que ça sonnait, je savais que tu étais là... Sans bouger j'avoue cela la voix incertaine, un froid constant ne voulais cesser de m'habiter. Je continue de me cacher. Fait un pas Charlie, s'il te plait. Moi j'en suis pas capable et tu le sais.

Je finis par poser les lettres, voyant à quel points ça doit le tuer de voir tout ces messages envoyer ? Le prix à payer ? Voir des fans détruit de plus l'entendre chanter, et ces mots l'enfoncer par le fait de tout ressasser. Je serre les dents un moment soupirant. J'aurais peut-être du en rester aux coups de fils, aux lettres sans réponses. Ca sens la distance et le malaise à plein nez, j'voudrais tellement pouvoir tout effacer. D'un coup de main tout refaire arriver, s'arrêter à ce soir où j'me suis bourré. Où alors m'arrêter au soir où on a commencer, juste l'éloigner, m'éloigner, ne pas nous rapprocher pour pas risquer de le faire encore plus sombrer. Parce que t'en que ça sonnait, je savais que tu étais là.. Je m'arrête à ses paroles, tournant la tête vers le lit. Abjecte hallucination ? Je fixe son corps recroqueviller, toujours. Contre moi ? contre le monde ? Où pour se garder contre lui ? Un pas vers le lit, un arrêt dans le vide. Puis sans savoir comment, sans savoir pourquoi, en me fichant qu'il me flanque à la porte, qu'il me jette en dehors. Il l'a déjà fait il y a un mois, à terme justifier, je sais que j'ai bien trop à me faire pardonner; mais j'ai essayer, et suis-je vraiment près à laisser tomber ? En trois pas j'suis près de ses bras, mais avec assez d'intelligence pour ne pas me jeter contre lui. Je tend la main, hésitation, alors qu'une seconde plus tard je frôle sa peau. Son bras oublié, la douceur désertée. Ne pas penser, ne pas y repenser. Je m'assois sur le bords du lit, m'efforçant de seulement poser une main sur son bras, son épaule. Contact si formel, différentiel de nos anciennes étreinte passionnelles. Que sont-elles devenu, ciel ?! J'voulais venir te voir mais... ta copine voulais t pas et... c'était peut-être mieux... Iz' je m'en veux tellement... De quoi ? De tout, mais encore plus de sa voix, le reste est tellement subjectif. Si seulement sa haine contre moi pouvait être la seule exécutive, mais non il y a sa voix et tout ce que je lui ai supprimé...

Cette position depuis tout petit elle me vient d'instinct. Je me replie sur moi même et observe défiler les heures jusqu'au petit matin. Genoux contre le torse et bras l'entourant. Je redeviens dans cette attitude le fragile enfant. Celui qui pour un cauchemar outre ses aires de grands appeler sa maman. Enfin aujourd'hui j'suis brouillé avec mes parents. C'est mon groupe ma famille. C'est pour eux que je me bas encore alors que tout part en vrille. Y'a plus grand chose à l'horizon qui brille. J'me sens mort-vivant. La force épuisée d'un trop vieux combattant. Sursaut. Il y a sa main qui vient d'entrer en contact avec ma peau. Sa main sur mon épaule. J'voulais venir te voir mais... ta copine voulais t pas et... c'était peut-être mieux... Iz' je m'en veux tellement... Ma gorge se serre et je ne peux me retenir de frissonner. Je contiens difficilement l'envie folle que j'ai. Celle de me glisser dans ses bras pour toujours m'y cacher. Rester ainsi et oublier le monde entier. Oubliait que dehors on va compatir et m'encourager. Me dire que je pourrais toujours écrire d'excellente chanson et qu'il me reste Cloud a élevait. Heureusement et un sourire factice se sera se avec quoi je leur répondrais. Puis dans la loge dans les bras de Sisi je pourrais m'effondrer. Me laisser bouffer par l'intolérable envie d'hurler. Sans pouvoir le faire, plus jamais. C'est normal que tu t'en veuille tu as eu le putain de culot de me trompé... Mieux ? ... Je sais pas.... J'avais envie de te voir... De te parler... Et j'avais pas envie.. Tu vois l'idée ? Sans relever la tête je bouge une main pour que nos doigts viennent se toucher. J'essai d'arrêter de trembler. Aller c'est bon Iz' maintenant tu prend sur toi et tu fais un sourire rassurant à Charlie qui viens juste d'arriver.

Il sursaute quand je pose ma main, j'arrête mon geste où je voulais la retirer. J'hésite, juste vouloir être près de lui. Juste résister, ne pas le prendre dans mes bras, ne pas me blottir contre lui, sentir son parfum, respirer ses cheveux, sentir ses lèvres dans mon cou. Je ferme les yeux, abominable vérité. Il ne s'éloigne pas et au moins je me sens un peu rassuré. C'est normal que tu t'en veuille tu as eu le putain de culot de me trompé... Mieux ? ... Je sais pas.... J'avais envie de te voir... De te parler... Et j'avais pas envie.. Tu vois l'idée ? Je tressaille des parole set de cette vérité. Culot de l'avoir...tromper. Dur réalité, dite à haute voix ça sonne encore plus bas. Je baisse la tête, de toute manière rien à répondre. La suite rien comprit, entre envie et contradiction ? entre espoir et désillusion...mon cœur balance. Le culot...l'erreur. ... Non pas vraiment, enfin il semblerait qu'on est toujours eut du mal à voir l'idée de l'autre. Ironie dérivée, je soupire avec un léger sourire, en effet on s'est jamais saisi. Souvenir de nos idées partagées souvent différent l'un de l'autre, on aimait argumenter, et finir nos batailles de mots par des caresses qui oubliaient le reste. Oui avant, quand on avait encore quelque chose pour nous aider à dialoguer, à nos faire essayer. Je soupire, nos deux voix seules troublant de silence de cette pièce inhospitalière, un comble pour un hôpital.

Le culot...l'erreur. ... Non pas vraiment, enfin il semblerait qu'on est toujours eut du mal à voir l'idée de l'autre. Totalement d'accord avec lui je ne sais pas quoi dire. J'ai la peur vicèrale de souffrir. Plus aucune envie de rire. Lui même qui avait l'habitude de le faire quand on s'engueuler. Nous voilà contraint à une sérieux qui fait pitié. Une forme d'aveux bien désabusés. Une nouvelle fois je me demande comment on a fait. Comment est on passé de cinq mois de rêves éveillés. À cet merde qui dieu merci au moi ne s'étale pas dans le journaux télévisés. Manquerait plus que la presse people apprennent que j'ai perdu et ma voix et mon coeur pour une stupide défenseur de la paix. C'est même plus à la petit cuillère qu'on me ramasserais. Et eux je les découperai en morceaux avant de les manger, les gerber et les files à des clebs affamer. J'aime pas les journalistes c'est pas un secret. Bref... Je peux peut-être essai de mieux lui expliquer. J'avoue que je suis pas très clair dans ce que je tente d'exprimer. Tu me manques terriblement même si ce que tu as fait continue de me blessé. Oui excellent à pensé mais le dire c'est un autre combat à engager. J'ignore si je suis capable que cela franchise mes lèvres sans être déformé. Inspire un grand coup Ismaël et dit sincèrement ce que tu pense de tout façon vu où tu en es. Alors c'est ce que je fais. Redressant la tête pour le regarder j'expire et... Tu me manques terriblement même si ce que tu as fait continue de me blessé. La perte de... J'suis incapable d'en parler. C'est un truc tellement... Merde c'était ma raison d'exister... Avec Cloud c'était mais raison d'exister... Toi... Toi aussi ça commencé du coup... J'peux rien avaler tellement j'me sen mal... Mais force est de constater, j'allais mieux les 5 secondes de tes messages... Si tu voulais bien sois m'enlacer sois sortir de ma tête je t'en remercierai.... Déciment j'affirme ce que j'ai dit la première fois... Tu es magicien Charlie... J'me mord la lèvre et détourne mon regard vers la fenêtre légèrement éclairée. J'ai honte de ma faiblesse quelque part mais... C'est plus possible que je continue à le repousser...Fallait que ça sorte, que je le dise et puis après s'il veux c'est bon on tire un trait.

Qu'est-ce que cela signifie ? Pourquoi être ce soir ici ? Vouloir me faire souffrir, voir combien je l'ai achevé, ou bien me faire comprendre que j'ai tout gâché ?! Je sais pas mais j'ai réussis à me faire encore plus sombrer. Il relève la tête, serait-ce pour me faire remarquer que m'excuser n'arrange en rien ? Merci je l'ai compris, malheureusement aucun antidote existe pour effacer mes erreurs et ces moments de nos vies. sinon je me serais vendu corps et âme pour trouver comment faire pour qu'enfin il sourit. Sérieux ennuyeux, étrangeté de notre lien oublié. Tu me manques terriblement même si ce que tu as fait continue de me blessé. La perte de... J'suis incapable d'en parler. C'est un truc tellement... Merde c'était ma raison d'exister... Avec Cloud c'était mais raison d'exister... Toi... Toi aussi ça commencé du coup... J'peux rien avaler tellement j'me sen mal... Mais force est de constater, j'allais mieux les 5 secondes de tes messages... Si tu voulais bien sois m'enlacer sois sortir de ma tête je t'en remercierai.... Déciment j'affirme ce que j'ai dit la première fois... Tu es magicien Charlie... Je le regarde avec étonnement. Non pas qu'il ressente vraiment cela, je sais bien que ses sentiments pour moi n'étaient pas mensonger, j'ai conscience à quel point oublié une personne qui vous à fait sombrer peut-être difficile. Mais je pensais que sa colère prendrait le dessus, qu'il me rendrait son égo pour se venger de ma trahison. Mais pourtant rien à faire, une seule seconde suffit à me faire taire et mes bras se referment sur lui. Nos doigts proches, je récupère sa main tandis que je peux au moins sentir son parfum. J'en suis pas un... sinon rien de tout cela ne serait arrivé...je l'aurais jamais toléré si seulement j'avais été ce que tu dis... Je veux pas sortir de ta tête, j'veux pas être loin de toi Iz'...j'veux... j'veux être avec toi, juste avec toi Je chuchote, tellement pitoyable si facile de dire cela après être aller voir ailleurs vous direz. Mais s'il vous plait laisser moi tranquille, je pense avoir assez avec ma propre conscience et mon propre dégout...

En même pas une demi seconde je suis dans ses bras. Il me serra doucement contre lui et je sens un poids énorme qui s'en va. Byby mélancolie pour le moment. Je reste avant mon amant. Mon amoureux oui mais on peux on encore nous citer tous les deux. Je ne sais pas trop s'il est du genre à recommencer. Surtout qu'il avais bien dit ne pas finalement croire en nous, ne rien en espérer. Que tout aller forcément foirer qu'il en était persuadé. Aussi que dans cette relation il se perdait. J'ai passé des heures et des heures à me questionner. Des nuits entière à tout interroger pour comprendre qu'en fait j'avais pas merder. C'était mon moi pure et simple qui le faisait paniquer. Qui l'empêcher d'avoir confiance en notre amour partagé. Alors même si la pilule fut dure à avaler. Je mettais résigné. Je mettais que c'est messages suffirait mais que je ne devais pas craquer. Que je ne devais pas l'obliger à revenir dans une relation qu'il pense vouer à l'échec et qui lui fait perdre son identité. J'en suis pas un... sinon rien de tout cela ne serait arrivé...je l'aurais jamais toléré si seulement j'avais été ce que tu dis... Je veux pas sortir de ta tête, j'veux pas être loin de toi Iz'...j'veux... j'veux être avec toi, juste avec toi Respirant tout autours de moi le retour de son parfum ten désiré. Je ne peux retenir quelques mots, une confiance et une question à la fois murmurer. Je comprend pas Charlie pourquoi tu t'acharnes dans une relation en laquelle tu ne crois pas... Pourquoi tu continue à m'envoyer des messages, te battre pour que je te pardonne alors que tu n'as pas confiance à nous, en moi, et que tu te perd dans cette relation ? Ce sont tes propres mots et j'avoue que depuis que tu as dis ça je me les suis beaucoup répétés. Je regrette moi de ne pas avoir sut t'apporter une relation en laquelle tu aurais eu foi, de ne pas avoir été capable de montrer un comportement sensible alors que j'ai bêtement cru l'avoir fait.

Je comprend pas Charlie pourquoi tu t'acharnes dans une relation en laquelle tu ne crois pas... Pourquoi tu continue à m'envoyer des messages, te battre pour que je te pardonne alors que tu n'as pas confiance à nous, en moi, et que tu te perd dans cette relation ? Ce sont tes propres mots et j'avoue que depuis que tu as dis ça je me les suis beaucoup répétés. Je regrette moi de ne pas avoir sut t'apporter une relation en laquelle tu aurais eu foi, de ne pas avoir été capable de montrer un comportement sensible alors que j'ai bêtement cru l'avoir fait. Il reste sans bouger, contre moi, je le sens parler, et ses paroles me renvoie au visage le pire de ce que j'ai pu dire. Petit soldat de la paix ? Je ne vais rien avec mes actes abjectes. Je sens les larmes monter à mes yeux avec un air assassins. Me haïssant de lui avoir fait subir cela. Comment en suis-je arriver là ? Être passer de celui qui se faisait plaquer dans les journaux, à celui qui détruit le vit de son alter égo ? Je serre les dents, m'en voulant tellement. J'aimerais tant, oui j'aimerais vraiment. Effacer ces mots, ces actions inappropriés. Je m'écarte légèrement, crassant ses cheveux, serrant mes doigts autour des siens. C'est...c'est faux. Je je pensais pas tout ça. J'ai confiance en toi, Ismaël, je..je t'aime, je t'aime plus que tout, et si j'avais pas eus confiance j'aurais jamais continuer. C'est...c'est en moi que j'ai perdu toute confiance. Mais...mais c'est pas ta faute, c'est pas...la tienne. J'étais tellement en colère ..contre moi, je m'en voulais tellement. Mais la vérité c'est que je me suis perdu moi-même. En oubliant ce que je voulais, en oubliant tout... en voulant que tu changes... j'veux pas que tu changes, tu as déjà tellement fais. Je ne m'acharne pas, je me bats juste pour ce que je veux, c'est toi. Il y a quelques temps je l'aurais embrassé, j'aurais pas hésité. Mais là c'est plus risqué, là j'ai déjà merdé, alors je me contente de le fixer. Essuyant d'une main rageuse les larmes qui ont en ce moment, depuis un mois, trop l'habitude de couler.

Je vois ses yeux de remplir de larmes. Ça devrait m'insupportais et me faire prendre les armes. Ma battre contre qui ose sur son visage fait pour sourire. Y superposait le masque de quelqu'un entrain de souffrir. Mais non. Le voir comme ça me fous en boule et me donne envie de le traiter de con. Parce que pleurer ne changera rien. Parce que réagir comme un enfant grondé n'améliorera pas demain. Et je sais qu'il le fait pas exprès. Qu'on me répondrait simplement que lui au moins il sait s'exprimer. Que pleurer n'est pas une marque de faiblesse. Et bien moi j'affirme que le voir chialer comme une gonzesse. Ça me blesse. Ça me porte sur les nerfs comme si en restant moi calme je ne souffrais pas. Comme si on dénaturait ma douleur à moi. Je me rend compte que je nourris une certaine rancoeur contre lui. Que bien que n'étend pas rancunier il va falloir que ça s'efface petit à petit. C'est...c'est faux. Je je pensais pas tout ça. J'ai confiance en toi, Ismaël, je..je t'aime, je t'aime plus que tout, et si j'avais pas eus confiance j'aurais jamais continuer. C'est...c'est en moi que j'ai perdu toute confiance. Mais...mais c'est pas ta faute, c'est pas...la tienne. J'étais tellement en colère ..contre moi, je m'en voulais tellement. Mais la vérité c'est que je me suis perdu moi-même. En oubliant ce que je voulais, en oubliant tout... en voulant que tu changes... j'veux pas que tu changes, tu as déjà tellement fais. Je ne m'acharne pas, je me bats juste pour ce que je veux, c'est toi. Je suis pas sure que tu saches ce que tu veux Charlier. Tu l'as dit... Rien que pour ça le doute m'est permis. Et puis tu l'a pensé. Même un quart de seconde et cela suffit à ce que je comprenne que tu n'arrêtais pas de douter. Ma réputation malheureusement avec toi me précède, tu n'arrives pas, peut-être inconsciemment, a te détacher de l'image volage et salopard que tu as de moi. Du coup tu doutes de ton choix, tu te demande si tu as raison de t'attacher à moi. Tu as peur de notre relation.... Alors tu agis comme moi en fait, ce serait presque drôle. Tu a été voir ailleurs parce qu'en ton fort intérieur tu en avais envie, te prouver que tu pouvais aller voir ailleurs, que tu étais pas accro à moi. Et ça à marché ! Même si tu t'es hais pour cela.... Je connais trop bien ce genre de sentiment, cette haine de soit qui ne s'efface pas. Et ça ne s'effacera jamais Charlie, tu devra vivre avec, l'apprivoiser... Mais moi en attendant c'est pour ça que je ne répondais pas à tes messages. Que je me contentais d'écouter ta présence sur un répondeur. Parce que nous, moi on te change. Tu te perd comme tu le dis dans cette relation et c'est pas bon. Non c'est pas bon du tout. Moi oui j'accepte de changer, parce que Cloud avait déjà commencé le processus, que j'suis plus âgé et puis que j'ai pas le choix aujourd'hui j'doit accepter que ma vie doit changer. Mais toi Charlie tu était pas suffisamment connard ou quoi pour qu'une simple relation amoureuse te fasse comme ça sombrer. L'amour doit élever non enterrer. Et moi j'ai réussi qu'à te creuser une putain de tombe. Sur ses doigts je dépose un baisé. Ma voix obligatoirement feutrée ne c'est en rien énervé. Non calme presque sereine j'avoue que ça fait un moment que tout ça je le ressassais. Non pas de je t'aime pas d'aveux de sentiments déchirés. C'est plus l'heure de lui imposer.

Je suis pas sure que tu saches ce que tu veux Charlier. Tu l'as dit... Rien que pour ça le doute m'est permis. Et puis tu l'a pensé. Même un quart de seconde et cela suffit à ce que je comprenne que tu n'arrêtais pas de douter. Ma réputation malheureusement avec toi me précède, tu n'arrives pas, peut-être inconsciemment, a te détacher de l'image volage et salopard que tu as de moi. Du coup tu doutes de ton choix, tu te demande si tu as raison de t'attacher à moi. Tu as peur de notre relation.... Alors tu agis comme moi en fait, ce serait presque drôle. Tu a été voir ailleurs parce qu'en ton fort intérieur tu en avais envie, te prouver que tu pouvais aller voir ailleurs, que tu étais pas accro à moi. Et ça à marché ! Même si tu t'es hais pour cela.... Je connais trop bien ce genre de sentiment, cette haine de soit qui ne s'efface pas. Et ça ne s'effacera jamais Charlie, tu devra vivre avec, l'apprivoiser... Mais moi en attendant c'est pour ça que je ne répondais pas à tes messages. Que je me contentais d'écouter ta présence sur un répondeur. Parce que nous, moi on te change. Tu te perd comme tu le dis dans cette relation et c'est pas bon. Non c'est pas bon du tout. Moi oui j'accepte de changer, parce que Cloud avait déjà commencé le processus, que j'suis plus âgé et puis que j'ai pas le choix aujourd'hui j'doit accepter que ma vie doit changer. Mais toi Charlie tu était pas suffisamment connard ou quoi pour qu'une simple relation amoureuse te fasse comme ça sombrer. L'amour doit élever non enterrer. Et moi j'ai réussi qu'à te creuser une putain de tombe. Ses paroles sèchent brutalement mes yeux, et enlève tout envie d'aveux. Je le fixe sans comprendre du moins sans réellement vouloir tout saisir. Comment peut-il oser me dire ça ? alors que de nous deux j'ai été le premier à me rendre compte qu'il comptait. Certes sa réputation a beaucoup joué, mais en aucun cas j'suis aller voir ailleurs pour cela, mais inconsciemment j'suis pas assez bas. toutes ces paroles qui s'enchainent, je peux comprendre l'avoir blessé mais de là à ce qu'il me joue la carte de la maturité. Je me contient, détourne les yeux orphelin de toute tristesse. Enfin plus là même qu'avant, si je ne peux m'excuser, s'il refuse d'écouter ou même si il commencer à analyser ce qu'avant je faisais avec lui, alors oui tout à disparut. Je me dé-serre de lui, retire mes mains, non pas de contact avec ses lèvres. Plus de contact avec rien. Je veux bien croire que j'ai tout foiré, d'accord c'est moi qui t'es trompé. Mais de nous deux je pense que celui qui a crut le plus en notre relation ne va pas me dire que tu es le seul. Justement je ne voulais pas le connaître ce sentiment. Si toi t'arrives à assumer tout tes écarts passé et bien pas moi. Tu veux la jouer la carte de la maturité ? Tu as raison Ismaël changes pour ton fils, mais je pense que tu as tout dit. On a rien à faire ensemble, tu as changé pour moi, j'ai rien fait pour toi. Tu es plus âgé, plus mature, j'ai juste prit ta voix... je pense que ça suffit les dégâts. Y'a plus rien à dire. d'où me vient ce manque de foi ? Non justement je comprend peu à peu qu'on peut rien faire à deux, que l'envie d'une personne ne peut combler celle de deux réunit. Je baisse les bras, j'ai fauté, j'devais lutter, mais pas envie de retourner dans ce genre de voies. Il a creuser ma tombe ? Je me victimise comme il l'a dit sur le toit mais il n'est pas loin de me ressembler. Je m'écarte du lit. Je n'aurais pas du venir ici, j'aurais du attendre Cloud, cette conversation n'aurait alors pas eut lieu. J'aurais gardé en tête qu'il voulait pas me parler, mes messages auraient cessé, et j'aurais bien finit par oublié. Mais non j'ai jouer au c** et je sens que je vais repartir plus blesser qu'il y a peu.

Ses larmes s'assèchent et contre toute attente plus rien n'est comme je penser le ressentir. Quelque chose ne veux pas partir. Culpabilité ou. Non je crois bien que c'est cela qui soudain viens me pousser comme au fond d'un trou. Je me cogne la tête sur les rebords d'un puits de regrets. Ils se cumulent tellement que j'ignore où se trouve le fond du sommet. On était deux à tout gâché et plus je m'entend parler plus je me dit que je ne prononce pas les mots qu'il faudrait. Je devrais me contentais d'un je t'aime alors reviens m'embrasser. L'humain est-il donc si prompt à se perdre que l'amour même ne peux plus rien sauver. Ne peux plus éviter qu'on finisse noyé ? Il retire sa main, s'éloigne et... Je me hais. Je nous hais. Je veux bien croire que j'ai tout foiré, d'accord c'est moi qui t'es trompé. Mais de nous deux je pense que celui qui a crut le plus en notre relation ne va pas me dire que tu es le seul. Justement je ne voulais pas le connaître ce sentiment. Si toi t'arrives à assumer tout tes écarts passé et bien pas moi. Tu veux la jouer la carte de la maturité ? Tu as raison Ismaël changes pour ton fils, mais je pense que tu as tout dit. On a rien à faire ensemble, tu as changé pour moi, j'ai rien fait pour toi. Tu es plus âgé, plus mature, j'ai juste prit ta voix... je pense que ça suffit les dégâts. Y'a plus rien à dire. Prit ma voix ? Charlie c'était qu'une putain d'erreur de l'assistante du doc, t'es pas responsable de tout les maux qui me tombe dessus !.... Tour s'embrouille dans ma tête, le coeur qui bas à tout rompre et les membres engourdie. Ma voix veux s'exclamer mais tout ne reste que des mots pitoyablement chuchoter. Pourquoi est c'que.... Pourquoi tu t'éloignes, pourquoi tu te bas pas vraiment ! Ce que je dit n'a pas valeur d'ordre si je le dit à toi... Comment veux tu que je te demande de rester si tu agis de la sorte ? Mais ça ne veux pas dire que je ne veux pas que tu reste... Ça veux plus rien dire... ridicule... J'aurais voulu tellement de chose mais pas qu'on en arrive à un tel échange... Et merde... Je me prend la tête dans la main et soupire en maudissant le son si faible qui sort d'entre mes lèvres. Mais je refuse d'abandonner et alors me relève pour aller jusqu'à lui. Je le prend dans mes bras avec tendresse et protection. Moi aussi Charlie, tu àasl'air de l'oublier. Mais je t'aime...

Prit ma voix ? Charlie c'était qu'une putain d'erreur de l'assistante du doc, t'es pas responsable de tout les maux qui me tombe dessus !.... Je hausse les épaules, ouai vaguement entendu parler de cette histoire, mais si j'avais pas commencé il se serait pas retrouver entre les main de cette assistante de merde. Alors ce n'est qu'un vulgaire détails à mes yeux qui ne me font pas m'arrêter dessus . Pourquoi est c'que.... Pourquoi tu t'éloignes, pourquoi tu te bas pas vraiment ! Ce que je dit n'a pas valeur d'ordre si je le dit à toi... Comment veux tu que je te demande de rester si tu agis de la sorte ? Mais ça ne veux pas dire que je ne veux pas que tu reste... Ça veux plus rien dire... ridicule... J'aurais voulu tellement de chose mais pas qu'on en arrive à un tel échange... Et merde... Je me retourne pour le regard. Je ne me bats pas ? Pour lui tout ça ce n'est rien ?! Comment puis-je réagir ? D'accord j'ai fauté mais si il veut qu'on avance on ne dirait pas qu'il chercher à arranger les choses. Il veut que je reste ou que je parte ? J'arrive plus à saisir. J'arrive plus à rien du tout. Je ne me bas pas vraiment ?! Et c'est quoi ça ? Un mois que je dors plus vraiment, que je partage ma vie avec mon téléphone alors que je déteste ce machin ignoble avec ces mauvaises onde, un mois que je n'arrive pas à sa voir où tout ça a foiré. Où j'ai merdé, comment ça se fait que tout cela se soit enclenché. Je ne bats pas vraiment ? Ismaël je veux bien avoir tout les trots mais ne me met pas cela sur le dos... Je...je sais plus quoi faire. Je m'accroche et aucune réponse, et si je baisse les bras ce sont tes reproches. Je suis censé faire quoi ? Me battre jusqu'à ce que tu décides que je suis pardonner ? Est-ce que seulement ça arrivera ? Je veux bien me battre; mais je peux pas attendre éternellement. Comment veux-tu que j'agisse ? Dis le moi et je le ferrais mais moi je suis à cour de solution pour faire avancer. Il faut savoir... où tu ne veux pas de moi parce que ton égo ne peut supporter de savoir que c'est Curtis, ou alors que tu ne me fasse plus confiance ou bien arrêtons ces futilités. Mais je suis à bouts Ismaël, ça me tue et oui j'avoue j'ai plus la force de me battre sans savoir si je me bats pour une bonne cause ou pour quelque chose de perdu. Mais arrêtes de te cacher derrière l'excuses de mes paroles qui ne signifiaient rien, ou l'excuse de me faire sombrer. Je suis un grand garçon tu sais mais choix je les assume... mais si...si seulement... Pas le temps de finir, il est debout devant moi, et je sens ses bras autour de moi. Tendresse disparue. Moi aussi Charlie, tu avoir l'air de l'oublier. Mais je t'aime... Je me mors la lèvre, fermant les yeux pour ne pas perde pied, mes bras venant le serrer contre moi, accrochant son tee-shirt dans son dos, ne pas le lâcher, jusqu'à ce qu'on est tout retrouvé. Qu'on nous ai tout rendu, ou bien qu'on est répondu à ces questions sans réponses qui me tuent avec le temps.

Je ne me bas pas vraiment ?! Et c'est quoi ça ? Un mois que je dors plus vraiment, que je partage ma vie avec mon téléphone alors que je déteste ce machin ignoble avec ces mauvaises onde, un mois que je n'arrive pas à sa voir où tout ça a foiré. Où j'ai merdé, comment ça se fait que tout cela se soit enclenché. Je ne bats pas vraiment ? Ismaël je veux bien avoir tout les trots mais ne me met pas cela sur le dos... Je...je sais plus quoi faire. Je m'accroche et aucune réponse, et si je baisse les bras ce sont tes reproches. Je suis censé faire quoi ? Me battre jusqu'à ce que tu décides que je suis pardonner ? Est-ce que seulement ça arrivera ? Je veux bien me battre; mais je peux pas attendre éternellement. Comment veux-tu que j'agisse ? Dis le moi et je le ferrais mais moi je suis à cour de solution pour faire avancer. Il faut savoir... où tu ne veux pas de moi parce que ton égo ne peut supporter de savoir que c'est Curtis, ou alors que tu ne me fasse plus confiance ou bien arrêtons ces futilités. Mais je suis à bouts Ismaël, ça me tue et oui j'avoue j'ai plus la force de me battre sans savoir si je me bats pour une bonne cause ou pour quelque chose de perdu. Mais arrêtes de te cacher derrière l'excuses de mes paroles qui ne signifiaient rien, ou l'excuse de me faire sombrer. Je suis un grand garçon tu sais mais choix je les assume... mais si...si seulement.. D'abord je calme les jeux en lâchant mon je t'aime. De toute façon il me bruler trop les lèvres je pouvais pas supporter de nous enfoncer un peu plus dans ce problème. Il réagit dieu merci positivement à l'étreinte et alors qu'il s'agrippe à son tee-shirt je cherche laborieusement mes mots. Je veux arriver à lui faire comprendre tout ce qui brule sous ma peau. Je doit y arrive sinon tout va s'écrouler. Et je serais pas capable de me relever. J'avancerai à genou et le regard baisser. À vie honteux et diminuer. Je refuse de devenir un truc qui inspire la pitié. Et je refuse qu'il s'enfuit parce qu'incapable d'assumer d'avoir merdé. Je veux... Je sais pas maintenant surtout qu'on reste deux. Alors après de longue minutes d'étreinte je l'obliger à me regarder. J'essuie ses joues trempés et comme au tout début embrasse doucement le bout de son nez. Ses joues une à une avant que se soit sont front que j'aille effleurer. On reprend tout à zéro d'accord ? Oui Charlie tu m'a blessé. Parce que c'était Curtis, parce que tu vraiment pas eu de tact pour me l'avouer. Parce que tu étais tellement mal que j'pouvais même plus t'engueuler. Tu t'engueuler tout seul. Ça aurait pus être moi, j'aurais pus être bourré et te tromper en Espagne ou ailleurs. Ce que je veux dire c'est qu'il y a pire d'accord ? Tu m'a fais mal, tu m'as trompé mais tu n'as pas tout saccagé ok ? Ça arrive tout le jours, tout le temps que dans un couple on fasse un connerie, on craque pour une belle gueule. Ça empêche pas qu'on aime l'autre. C'est pas systématique, Charlie tu m'as pas trompé 15 fois, y'a pas mort d'homme ! On s'aime. On s'aime alors pourquoi va t-on chercher plus loin ? On va en faire plein d'autre des erreurs, on en dira des centaines, des milliers d'autres des phrases mal-placés, des mots mal-interprétés. Mais si tu m'aimes... Si moi je t'aime... Fuck it quoi ! Le reste n'a pas d'importance. Tu te compliques trop la vie chéri. Je savais pas que d'être gardien de la paix et des jardin bio ça faisait se torturer à ce point les méninges. Je crois vraiment que tu t'en veux plus que je ne t'en veux. Et plus franchement j'ai d'autre soucis en tête et Non, non non non tu n'es pas responsable de la perte de... 'fin tu vois. J'ai réagis comme un con tout seul, j'suis majeur et vacciné et après c'est une question de circonstance. J'doit l'accepter. Et plutôt que de ce déchirer je voudrais vraiment que tu puisse m'aider. Il paraît que gémir et faire l'amour c'est excellent pour ce détendre et moins déprimer. Cette conasse de psy me laisserai peut-être sortir.... Pose les armes Charlie. Je veux pas qu'on se fasse la guerre. Je t'aime, je t'aime. J'vois pas ce que je pourrais dire de plus... Je me penche à son oreille, répètant encore plusieurs je t'aime comme un secret à lui seul destiné. Une main qui caresse ses cheveux et mon coeur qui bat à toute vitesse de peux de n'avoir trouvé les mots qu'il fallait.

On reprend tout à zéro d'accord ? Oui Charlie tu m'a blessé. Parce que c'était Curtis, parce que tu vraiment pas eu de tact pour me l'avouer. Parce que tu étais tellement mal que j'pouvais même plus t'engueuler. Tu t'engueuler tout seul. Ça aurait pus être moi, j'aurais pus être bourré et te tromper en Espagne ou ailleurs. Ce que je veux dire c'est qu'il y a pire d'accord ? Tu m'a fais mal, tu m'as trompé mais tu n'as pas tout saccagé ok ? Ça arrive tout le jours, tout le temps que dans un couple on fasse un connerie, on craque pour une belle gueule. Ça empêche pas qu'on aime l'autre. C'est pas systématique, Charlie tu m'as pas trompé 15 fois, y'a pas mort d'homme ! On s'aime. On s'aime alors pourquoi va t-on chercher plus loin ? On va en faire plein d'autre des erreurs, on en dira des centaines, des milliers d'autres des phrases mal-placés, des mots mal-interprétés. Mais si tu m'aimes... Si moi je t'aime... Fuck it quoi ! Le reste n'a pas d'importance. Tu te compliques trop la vie chéri. Je savais pas que d'être gardien de la paix et des jardin bio ça faisait se torturer à ce point les méninges. Je crois vraiment que tu t'en veux plus que je ne t'en veux. Et plus franchement j'ai d'autre soucis en tête et Non, non non non tu n'es pas responsable de la perte de... 'fin tu vois. J'ai réagis comme un con tout seul, j'suis majeur et vacciné et après c'est une question de circonstance. J'doit l'accepter. Et plutôt que de ce déchirer je voudrais vraiment que tu puisse m'aider. Il paraît que gémir et faire l'amour c'est excellent pour ce détendre et moins déprimer. Cette conasse de psy me laisserai peut-être sortir.... Pose les armes Charlie. Je veux pas qu'on se fasse la guerre. Je t'aime, je t'aime. J'vois pas ce que je pourrais dire de plus... Je l'écoute tout dire, à plusieurs fois je veux l'interrompre, préondre et parler. Mais je me retiens parce que déjà son regard m'en empêche mais aussi parce que ses mots qui suivent continuent et ne m'en laisse pas le temps. Pourtant j'en aurais des choses à dire. Mais pourquoi encore ressasser ? Serait-ce la les paroles pour nous réconcilier ? Alors j'dois rien dire ? Pas dire que justement j'aurais aimé qu'il me tape un scandale, que je me serais sentis tellement mal. J'aurais voulut qu'il réagisse mal, parce que tout ce qui dit pour me réconforter ne fait qu'ouvrir un autre gouffre sombre. Si c'est normal, si c'est pas si grave, si ce n'est que mon manque de tact. Alors il trouve ça banal ? Ça pourrait être lui ? Si il va ailleurs je devrais avoir la même réaction ? Parce que égoïstement je dis non, parce que ma connerie me fait voir que si il l'avait fait je l'aurais pas supporter, je l'aurais oublié. Et je me rend compte que je peux pas le dire à voir haute, parce que pourquoi moi j'aurais le droit et pas lui ? Parce que ses paroles nous rassemble; alors tant pis si maintenant je comprend que si c'est pas si grave, il peut aller voir ailleurs et j'aurais rien à dire. Il m'aime, je l'aime; je devrais juste rien dire suite à mes erreurs. Ses je t'aime contre mon oreille finissent par m'ôter ses pensées. J'veux juste les oublier, ne pas y penser. Car s'il te plait Iz' si un jour tu fais la même erreur que moi, ne me le dis pas, j'pourrais pas le supporter. Je ne suis pas aussi fort que toi, moi l'amour j'y crois mais j'suis pas assez fort pour surmonter ça, alors ne me le dit pas. Ses je t'aime finissent par calmer mon cœur, par m'ôter toute mes peurs. Je me serre contre lui, tournant la tête je prend ses lèvres avec douceur. Sensation retrouvé, sa douceur ramenée, je l'embrasse avec vigueur, pour lui montrer à quel point je l'aime. Finalement on aurait pas inversé les place ? Lui qui parle avec son cœur et moi avec les gestes ? Incapable de mettre des mots sur mes sentiments complexe. Je m'en fiche pas ce soir. Une main dans son cou, je l'embrasse amoureusement. Ce long mois loin de lui m'ayant anéantit. Je t'aime ! Je glisse entre ses lèvres entre deux baisers envouté.

Ça prendra du temps et moi le premier devrais apprivoiser tout ce qui nous à séparer. On devra apprendre à côtoyer nos regrets. Être humain c'est déjà à la base avoir merdé. C'est avoir conscience et mesure d'action sur notre propre merdier. C'est prendre le putain de risque de tout faire encore plus capoter. Aller quoi souri chéri. On a perdu plein de truc en route mais pas la magie. Tes yeux me font encore cet effet insoumis. Cette sensation d'être diablement en vie. Ton parfum n'a rien perdu de son mystère envoutant. Tes je t'aime me font toujours redevenir petit enfant. J'en quémanderai même bien un peu plus qu'avant. Tu es toujours ce délicieux ouragan. Je t'aime ! Il n'existe pas de réponse adéquate quand cela suffit à tout effacer. Quand plus rien n'existe encore une fois ces mots prononcer. Alors oui simplement je répond à ses baisés. Je ne brise cette étreinte pour rien au monde. Plus rien n'a la moindre fichue importance à des kilomètres à la ronde. On me fait penser à ces débuts chaotiques et passionnés qui nous on caractérisés. Cinq mois de calme s'en était presque bon pour se méfier. Nos caractère s'opposent tellement qu'il faut bien que la douleur nous réveille un peu. Quel intérêt sinon de s'ennuyer à deux ? En amour j'aime aller titiller les dieux. On souffre et on joui comme eux. On s'adore pour mieux se détester. Et la seconde d'après... Ce qu'on échange avant tout ces notre attachement l'un à l'autre. C'est bien plat et creux si l'on reste sage comme des apôtre. C'est même encore sage pour moi. Il manque ce petit plus ce frissonnant émois. Avant quand je te disais je t'aime tu me sauter dessus ! là j'ai juste droit à un bisous un câlin, une soupe et au lit temps que tu y es ! D'un air boudeur je tire sur le col de son sweat et m'imagine déjà le déshabiller. Je fantasme éveillé. Son corps nus et une intimité retrouvée. Ma seconde main qui glisse sous le tissus jusque sur ses côtes pour le caresser. Je veux qu'on fasse l'amour Charlie, ça me manque de pas me sentir aussi proche de toi...

Je l'embrasse et ça me fait retrouver, nos jeux d'avant nos aventure. Et je profite de ce moment contre lui, juste ses lèvres. Juste nous deux. Et puis notre réconciliation. Bien que de suite j'voudrais bien la prolonger dans l'approfondissement. Avant quand je te disais je t'aime tu me sauter dessus ! là j'ai juste droit à un bisous un câlin, une soupe et au lit temps que tu y es ! ... Je veux qu'on fasse l'amour Charlie, ça me manque de pas me sentir aussi proche de toi... Il lit dans mes pensées ? J'suis sur ce c** à défaut d'être enfermé à développé ce don. Il me regard boudeur, ses yeux rieur. Ça serait donc si simple, essayer de se dire que rien s'est passé, au moins pour retrouver cette attitude naturelle qui nous reliait. Je sens ses mains sous mon sweat, courir sur ma peau à nue. Je frissonne, ses mains ré-actionnent mes envies de lui. Si tu continues de réclamer tu vas l'avoir ta soupe et ton lit... et puis... tu coupes toute spontanéité. Je répond en soupirant blasé, avec douceur et envie. Je finis par recommencer à l'embrasser, lui si peu couvert, mes mains dans son dos finissent sur ses fesses, je remonte et retourne au même endroit mais en passant sous son boxer.
Je le fais reculer, et s'assoir sur le lit tandis que je l'imite à califourchon sur ses jambes, baissant la tête pour pouvoir l'embrasser, bien vite son débardeur à jarté. Je prend son visage entre mes mains, un instant je l'observe, la pièce quasi obscure. Je scrute ses traits en les retrouvant, recherchant nos instants passé, quand on se provoquait et que finalement c'était au corps à corps qu'on se rendait. Je replonge sur ses lèvres, et nous fait bouger sur le lit en position allongée. D'un geste plus ou moins difficile je vire mes basket, lâchant son visage d'une main je vire mes chaussettes, voila pourquoi j'préfère être en tongue, c'est plus rapide. Je reviens à lui, à ses lèvres, à son cou, peu à peu l'envie rendant mes gestes moins hésitant et un peu moins doux, parce que oui c'est si bizarre de recommencer cela après des jours à en rêver, après l'avoir autant blessé.

Si tu continues de réclamer tu vas l'avoir ta soupe et ton lit... et puis... tu coupes toute spontanéité. Je rigole gentiment alors qu'il frissonne sous mes caresses. Non non j'affirme que cela doit être et je refuse que ça cesse. Toi et moi même si parfois on s'agresse. On s'aime comme on se blesse. On s'aime à la manière des hommes et c'est la pire. Passion rime autant avec sourire que souffrir. Il faudrait voir à retrouver un peu de savoir vivre. Mais... Au diable la spontanéité, si j'ai envie de toi je te le dirais. N'est-ce pas déjà pas mal spontané. Ou alors j'aurais mieux fait de te déshabiller directement sans rien réclamer ?! Allonger sur le lit je me suis laisser emporter. Mais alors qu'il retire chaussure et chaussettes j'en profite pour ces quelques mots ajouter. J'aime toujours le provoquer. Lui qui incendie ma peau faut bien que je puisse me venger. En boxer je redresse la situation pour que face à face son tee-shirt je puisse tranquillement lui retirer. Et alors que mes lèvres s'attaque à sa peau tatouée. Mes mains elle descendent détacher son jean, profiter de cet épiderme enfin retrouvé. Je le désir dénudé, à moi totalement pas à moitié. Si c'est gestes perdent lentement leur hésitation les miens sont tremblants mais passionnés. Quelque chose qui chauffe dans mon ventre, fait tourner ma tête et décuple ma sensibilité. Précipité. Mais pas moins dans le but qu'il prenne du plaisir, qu'il perde pied. Moi ça fait non pas un mois mais deux que je fait abstinence de lui. Alors je veux qu'elle soit longue et sulfureuse cette nuit. Des retrouvailles comme j'en avais rêvé.

Au diable la spontanéité, si j'ai envie de toi je te le dirais. N'est-ce pas déjà pas mal spontané. Ou alors j'aurais mieux fait de te déshabiller directement sans rien réclamer ?! On t'a jamais appris à ne pas réclamer ? Je rie de sa réplique balancé juste au moment où j'ai lâché ses lèvres. Moi j'en envie de lui maintenant tout de suite, et pas d'attente. J'veux retrouver sa peau, le goût de notre plaisir commun, j'veux effacer cette distance qu'on a mit entre nous.Tee-shirt enlever, me voila contre lui, tandis que ses lèvres dévalent ma peau je sent un sentiment enivrant dans mon ventre, envie de lui, pas de n'importe qui. Tandis que je le sens défaire mon jeans, je rie. Contorsion pas possible pour me l'ôter et le laisser par terre reposer, nos rires entre mêlés. Je sens alors la pièce s'effacer, redessinant dans ma tête les traits de nos chambres d'hôtel, nos escapades nocturnes, nos ébats dans les placards, un peu n'importe où du moment qu'il n'y avait que nous. Je me sens bien, et je laisse ses lèvres caresser ma peau retrouvant avec facilité nos sensations oublié, ses lèvres allumant des flammes de désir sur moi, sa peau incendiant la mienne à chaque millimètre frôlé. J'expire doucement, tandis que mes mains font glisser son boxer, frôlant sa peau, griffant à peine ses hanches. Seul partie de son corps pas tatoué presque. Je retrouve les dessins que j'ai tant de fois retracés. Mais alors que je profite de l'instant un point moins réjouissant me vient en tête. Moins réjouissant, qui coupe tout envie presque chez moi et qu'avant on avait finit par ne plus avoir besoin. Finit les boîtes vidé par nos excès, on avait donc plus eut besoin de penser à nos nombreuses fois. Capote. Si au bout de deux mois on avait décidé d'ôter cela, tout les deux ayant été dit négatif; maintenant une soudaine réaction vient en moi. Non pas que lui demander d'en utiliser une serait chiant mais...plutôt l'absence de préservatif sur moi. Je m'arrête un moment, me mordant la lèvre. Iz' je...j'ai pas d'capote.

Nous y voilà. Je retrouve avec délice ses bras. Cette peau, cet être qui à cet instant n'appartiens qu'à moi. Je le vole au reste du monde et des scrupules je n'en est pas. Il me déshabille et je frissonne de son touché. De ses mains qui doucement griffe mes hanches. Le rythme qui s'accélère les lèvres et les corps qui s'entrechoquent avec un fantasme commun. Tout ralentira demain matin. Mais chéri demain se sera demain. Pour l'instant s'il te plait ne t'arrête pas. Ne m'abandonne pas. Non ne me fait plus jamais ça. Iz' je...j'ai pas d'capote. Hein quoi ? Il vient pas de dire ce que je crois ?! J'ouvre de grand yeux et alors qu'avec n'importe qui d'autre je pourrais m'énerver. Je me met à rigoler. Un putain de fou rire qui ne veux pas s'arrêter. Je l'embrasse et venant le serrer dans mes bras. Mon rire ne passe pas, il est sincèrement, calmé. Si c'est ça notre unique problème je suis prêt à signer. Quoi un jeune de vingt ans sans capote... J'veux bien que t'es marginal Charlie mais là quand même, tu frôles la court martial ! On fait comment alors ? Moi non plus j'en est pas. Et vu que moi aussi j'ai un peu flirter avec Pandore hier qu'on était bourré... On peu faire une opération commando dans bien en avoir quelque part dans l'hosto ! Réfléchissant à vive allure je lui vole un langoureux baisé avant de sauter sur mes pieds. Je renfile mon boxer et lui tend le sien qu'il puisse un peu se rhabiller. Débardeur remis sur les fesses je jette un oeil pour savoir l'heure qu'il est. Minuit et quelque parfait. Plus personnes dans les couloirs de cette hosto privé. Avantage d'un compte en banque plein à craquer. Mon dieu ce que j'ai envie de lui. Alors qu'on a fait trois pas dans le couloir plongé dans le noir je le plaque au mur et me colle contre lui. Recommençant à l'embrasser je n'arrive plus à m'arrêter. Il... nous.. faut... vraiment... une capote !... Entre chaque mots je l'embrasse et sa peau que je ne peux m'empêche de caresser.

Il part dans un fou rire et moi je le regard étonné, euh d'accord peut-on savoir la cause de ce rire au nez ? Evidement je n'ai pas à attendre longtemps avant de le savoir. Quoi un jeune de vingt ans sans capote... J'veux bien que t'es marginal Charlie mais là quand même, tu frôles la court martial ! On fait comment alors ? Moi non plus j'en est pas. Et vu que moi aussi j'ai un peu flirter avec Pandore hier qu'on était bourré... On peu faire une opération commando dans bien en avoir quelque part dans l'hosto ! Je lève les yeux au ciel, oui ba non d'abord je suis pas marginal de deux, j'ai laissé tout dans mes valises, j'ai un peu sauter de l'avion pour lui et les capotes ne me sont guère utile en ce moment surtout que sans lui il n'y a pas vraiment de chance que j'en ai besoin. Mais c'est pas vraiment ça qui me percute mais plus le faite qu'il me balance d'un cou qu'il a flirté avec Pandore. Il renfile son boxer et me donne le mien, je l'enfile en silence analysant ce qu'il vient de dire. Il était bourré. Il a flirté avec lui. On était plus ensemble j'ai rien à dire ? Je me lève et le suis, sans savoir ce que je suis censé faire. Ça fait mal d'entendre ça, évidement je sais qu'il y en avait eut d'autre avant moi, mais savoir que malgré tout ça l'a pas dérangé de flirter alors que depuis un mois, moi je me sens totalement sombrer. Dans le couloir il fait noir, le silence m'entoure et je frissonne. Cherchant sa main à tâtons. Je savais pas qu'en plus Pandore et lui... comment il l'a dit on aurait pensé à une habitude. J'avale difficilement; mais bien vite je suis de nouveau plaqué contre le mur, ses lèvres sur les miennes, désir décuplé pourtant une nouvelle petite voix est née. Oui trouvons d'abord des capote, je rie légèrement me forçant dans le naturel. suspendu à ses lèvres, je regarde le couloirs, placard, placard. Un d'ouvert, matériel mais rien de tel. Je le referme en silence, voulant continué notre recherche, man dans la main on avance. Je croyais que Pandore était avec les deux autres du groupe... Question ? Affirmation. Je regrette un peu mes paroles qui à mes oreilles sonnent comme de la jalousie. Evidement que ça l'est mais hors de question de le montré, j'ai jouer au premier à faire le c** et à blesser.