CHARLIE & ISMAËL - à l'hôpital tout rose END

Je croyais que Pandore était avec les deux autres du groupe... Coupe net dans mon élan tout à coup je comprend l'erreur effectuée. Merde je pensais pas qu'il aller... Non mais c'était rien, une fellation entre deux gorgée de vodka. Un truc con entre mecs bourrés qui adore ça. Se provoquer. Moi avec pandore, mais il a rêvé ! Pandore lui arrive pas à la cheville. Pandore à côté de lui c'est un truc de pacotille ! On a déjà fouillé une étagère et ça n'a rien donné. Faut qu'on tente les vestiaires ou un bureau j'suis sure que là-dedans ça doit forniquer. Enfin d'abord j'ai mon amoureux à rassurer. Je viens tendrement l'embrasser. Puis j'ajoute pas trop fort pour ça se faire repérer. L'ironie de ma pensée me refile une légère nausée. Mais ça présence à mes côtés me la fait oublier. Jamais ! C'était un défie stupide en entend bourré, je déprimais, il s'était un peu brouillé avec les autres alors ça à viré en pas cap complètement débile. Un flirt un peu poussé Charlie. Ça à aucune valeur par rapport à nous. J'ai ressenti pas le neuvième de ce que je ressent avec toi ok ? Viens soit pas jaloux c'est toi que j'aime crétin. Oh le bureau là ! Ayant continué à avancer dans les couloirs sans lumière je repère un bureau et chance lorsque je tente la poignet. Ça marche, on peux entrer. Je le tire à l'intérieur refermant la porte pour le coller dos à celui-ci. Ma frénésie à peine retombée je soulève son tee-shirt pour venir manger ses torses de baisés par millier. Je joue avec son sous-vêtement alors que ma langue glisse sous la barrière de l'elastique pour le troubler. Le goût de sa peau qui se dépose sur mes lèvres et mes mains qui tire peu à peu le boxer pour me dévoiler sa virilité. Coup de langue juste à côté. Capote ou pas je sens que je vais lui faire l'amour et ce jusqu'à ce que le jour décide de se lever. On va s'aimer. Te faire l'amour...

Je le sens venir à mes lèvres et m'embrasser, puis il reparle. J'ai envie de lui dire qu'on se faire repérer mais trop la flemme de parler et puis... Jamais ! C'était un défie stupide en entend bourré, je déprimais, il s'était un peu brouillé avec les autres alors ça à viré en pas cap complètement débile. Un flirt un peu poussé Charlie. Ça à aucune valeur par rapport à nous. J'ai ressenti pas le neuvième de ce que je ressent avec toi ok ? Viens soit pas jaloux c'est toi que j'aime crétin. Oh le bureau là ! Je l'écoute. Mon cœur se réchauffant un peu, enfin la question de savoir jusqu'à où leur jeu les à poussé m'effleure mais je la garde pour moi. Parce qu'il me dit ça, même si ça me fait chier qu'il aille jouer à ça, il trouve de bons arguments pour me faire oublié. J'suis pas jaloux. Je réplique avec une moue, et à cet instant je me dis que je dois être risible à ressembler à un gosse. J'entre à sa suite dans le bureau et me retrouve plaqué contre la porte qui se referme avec un léger bruit. Je veux lui dire de faire gaffe mais mon tee-shirt vole à nouveau et je le vois descendre sur mon torse. Te faire l'amour... Je me mors la lèvre pour lui dire qu'on a pas de capote, toujours pas trouvé. Mais ses lèvres qui descende et mon boxer qui quitte l'endroit attitré me font oublié mes pensées. Iz' attends on est... dans un bureau inconnu, je me mors la langue ne pouvant en dire plus. Je reprend une respiration, cecontact qui m'a tant manqué, ses lèvres sur mon ventre, ses mains qui descend simplement ce bout de tissu trop encombrant, il lui à genoux. Iz' on a pas de... Capote ? Déjà dit et sérieusement la phrase que j'essaye de faire passer son apé par le flots d'envies qui font s'enlever toutes mes pensées. Je me mors la lèvre, profitant de l'instant, mes yeux un moment sur lui. Je regarde les alentours. Un présentoir montre différent prospectus. Et dessus un qui m'attire le plus. pensez à votre avenir et à vos proche, protégez-vous. Avec un sourire conquis j'interromps Ismaël avec ses baisers, non pas que je veux pas du septième ciel mais... je le fais reculer me débarrassant de mon boxer qui a ce point descendu m'empêche d'avancer. Jamais été pudique faut dire. Lui je lui retire son tee-shirt, on en a plus besoin. Je me restitue dans les lieux, merde c'est vrais que c'est un bureau. Zut. Je chope un prospectus et lui tend avec un sourire coquin. Bon les renseignements sur le pourquoi on l'utilise et comment le mettre on s'en fout mais...ouvres donc pour voir ce qu'il donne dedans avec chaque prospectus. Nu comme un ver je le regard réagir un peu tandis que je dévore son cou de baiser et que ma main glisse dans son boxer vers sa virilité.

Des caresses et des baisés qu'on ne compte pas le moins du monde arrêter. Une frénésie qu'on adore nous prend sans qu'on veuille y résister. On se laisse emporter. C'est ça, aimer ? Oui je crois, personne n'a à me l'enlever. Je commence très sérieusement à me rapprocher de sa virilité lorsque je me sens relever. Ah tu serais déjà trop pressé ? Raté je le vois s'éloigner finissant de se déshabiller. Tout nu gosh ça devrait pas être permis de faire un tel effet. Il devrais j'sais pas, être pudique à se cacher. Ça m'éviterai d'avoir presque mal à autant le désirer. Je me laisse trainer et moi mon débardeur voler. Bon j'en avais plus besoin il semblerait. Il me tend un prospectus que je me met vaguement à examiné. Puis un léger renflement dans le plie me fait tilter. Capote, trouvée ! Mais alors que dans mon cou je sens ses lèvres; ses mains sur ma virilité et mon esprit, ma moral entrain de sombrer. Des bruit de pas, de la lumière sous la porte me font paniquer. Merde de fucking merde quelqu'un va arriver ! Et bien que ça ne soit pas sure qu'il entre ici on en sait jamais. Alors en 5 sc je fais signe à Charlie, ramasse nos peu de fringues et ouvre la première porte qui viens. J'entre dedans suivis de mon amoureux. C'est grand mais il y fait noir comme dans un four... Ma tête se cogne des tissus me frole, je pense deviner un placard où les blouse sont rangés. On est dans la... Je me tais entendant quelqu'un vraiment rentrer. La porte du placard encastré effectivement fermer si on ne fait pas de bruit on ne peux pas nous choper. 5 min Marianne j'ai oublier un dossier sur mon bureau... Dieu quel bazzart un jour il me faudra ranger. Ramenant Charlie contre moi, lui juste devant donc coller contre mon torse. Je comprend ma bêtise à l'instant où ses fesses se retrouvent collées à mon bassin et où ma bouche commence irrésistiblement à lui dévorer la nuque. Profitant qu'il soit tout nu mes mains glissent d'elle même sur son sexe pour venir le caresser. Je commence doucement à me frotter contre lui, l'envie que j'ai reprenant dessus sur la moindre parcelle de conscience que j'avais retrouvée.

Je l'embrasse sans me gêné, juste à nous amuser, tandis qu'il observe le prospectus se demandant sans doute quel en est l'utilité de lui refiler. Enfin sont cerveau semble capté parce qu'il l'ouvre avec un sourire, et je vois apparaître l'emballage qu'on connait tous. Mais lumière dans le couloirs, on approche de notre territoire. Ismaël s'écarte d'un coup, je grimace de dégout. Pas moyen d'être tranquille. Je ramasse mon pantalon, boxer et tee-shirt et il me tire vers un intérieur. Je le suis avec obéissance, et tire la porte derrière nous, je ferme la porte bien comme il fait et écoute les bruits. La porte s'ouvre dans l'autre pièce, je me mors la lèvre, reculant plus loin, et c'est son corps que je rencontre, collé au mien. 5 min Marianne j'ai oublier un dossier sur mon bureau... Dieu quel bazar un jour il me faudra ranger. J'écoute cette voix de l'autre côté, sauf qu'autre chose vient me perturber. Je retiens un léger gémissement de surprise, si j'avais capté qu'il était derrière, j'avais pas saisit qu'il n'avait plus de vêtement lui aussi, et que son corps se colle au miens c'est nos bassins que se collent doucement. Je me mors la lèvre brutalement, et frissonne quand ses mains viennent aussi s'ajouter sur mon corps. Veut-il à ce point qu'on se fasse remarquer ?
Je passe mes bras derrière moi, l'une dans son dos, l'autre dans son cou, me tournant juste pour essayer de l'embrasser, , sa te^te tourner c'est sur l'arrête de sa mâchoire que je dépose mes lèvres. Ses caresses sur ma peau, je souffle doucement par le nez, pour ne rien laisser entendre. Tandis que l'autre c** cherche encore dans son bureau. Mince mais il sait vraiment pas ranger ?! Qu'il se grouille j'suis pas sur de tenir muet. Tandis que je me colle un peu plus à mon chéri, pure provocation, je lui donne un léger coup de bassin en arrière, me mordant la lèvre avec amusement.

Qui parlait de long fleuve tranquille alors qu'il n'y a que des virages. Mais je ne manque pas de courage ! On m'a parler de se tenir droit, mais mes rêves se courbe davantage. Tu restes un doux esclavage. On en ignore encore tout les dommages. Et si un jour tu veux t'en aller. Oublie mes yeux qui seront forcément blessé. Je veux bien tout oublié. Je veux bien revivre par tes baisés. Que nous à vivre et c'est risqué. Au milieu de nul-part c'est toujours toi qui me viens. C'est toujours ça qui me réveille le matin. Pas d'adieux. Seulement côtoyer le envieux. Même plus la foi de jalouser nos dieux. Plus rien ne m'atteins chéri. C'est tout entier que de toi j'ai envie. Alors oui je joue avec le feu. Oui j'assume qu'au combien ses dangereux. Mains sur toi et corps indécemment rapprochés. On devrais avoir le droit de l'hurler. De crier combien c'est bon au monde entier. Viens on va faire un amour encore plus parfait. Tempis se ce médecin veux y assister. Il apprendra autre chose que la manière de tuer. Des médicaments pour calmer les amants. Se serait une hérésie, un fait trop dément. Provocateur amour tu continue de nous enflammer. Peau à peau plus rien n'peux nous arrêter. On va finir démasquer. Prit dans leur filet. Leur moral mal baisée. Leurs lois bonnes qu'à nous emprisonner. Sa bouche est une prière qui me donne bien plus envie de croire. Et rien à faire si je risque d'en tomber de mon haut perchoir. Heureusement des pas s'éloignent et dès que le couloirs aussi à retrouver son obscurité. Je pousse mon amoureux dehors et le retournant pour l'embrasser. Nous embraser. Tout presse. Mon ange fini la paresse. On se laisse aller au plaisir. Aller simple sans revenir. Monter des sens. Je n'ai plus de patience. L'amenant jusqu'au bureau je lit nos doigts et ses mains à plat sur le bureau. Bassins entrechoqués les frissons qui font plus tanguer mon esprit que sur un bateau. Pas besoin de radeau. Tu es déjà trop beau. Tu es sure que... tu as envie. Sexe contre ses fesses et murmure de provocation. Une dernière question. Le pouls qui s'affole. Le désir est tous et le reste au loin s'envole.

C'est juste pas humain de faire ainsi le malin, je l'entend enfin sens sont souffle sur mon épaule, il sourit légèrement Ba vas-y oui, c'est pas toi qui a le plus besoin de te retenir de gémir. Envie de lui dire cela, mais disons que ses doigts me déconcertent plus qu'autre chose. Comme toujorus trop de désir, comme toujours son parfums , ses mains et déjà du plaisir. Comment peut-on s'y retenir ? comment pourrait-on vouloir autre chose ? Moi j'arrive même pas à vouloir dire pause, pas envie d'une autre clause. Juste toi et moi, juste nous deux dans nos ébats. Pas envie de réfléchir, on n'a jamais demandé cela au désir, ça se consomme sans y penser le plaisir. Un gémissement s'échappe de mes lèvres mais le docteur est déjà entrain de fermer la porte, mon cœur qui ba à cent à l'heure, j'écoute les bruits s'éloigner et s'éteindre. La porte s'ouvre sous son envie, et on retrouve notre première pièce, plus spacieuse un moment nos corps s'éloigne l'un de l'autre moi ça me plait pas; j'préfère la petite pièce ou un se sert l'un contre l'autre. Baiser torride, envie terrible. Je me retourne pour savourer ses lèvres, bassins collé, virilité l'une contre l'autre, je sens le bureau derrière moi et ses bras qui me font tourner loin de ses lèvres, dommage on se décolle et ses doigts s'entre-mêlent aux miens, image de synthèse, nos corps collé l'un à l'autre, je sens son intimité contre me fessier et ça me fait frissonner. Tu es sure que... tu as envie. Je rie amusé, ayant envie de lui dire d'arrêter de parler, j'veux le sentir en moi, je veux que lui et moi on recommence comme avant juste tout les deux, pour un moment de deux ne passer qu'à un plaisir certain. Iz'... ça fait plus de vingt minutes que déjà j'en prend...mon mal en patience, alors...arrête de poser des questions. Je rie doucement passant ma main en arrière pour venir caresser ses cheveux. Coup de bassin en arrière ça te suffit pas de voir déjà dans quel état je me trouve juste de te sentir derrière moi ?

Iz'... ça fait plus de vingt minutes que déjà j'en prend...mon mal en patience, alors...arrête de poser des questions. Du coup, des milliers se pressent pour passer la barrière de mes lèvres impatiente. Tu devrais pas dire des choses pareilles. Tu va t'y froisser les ailes. Mettre à mal ta retenu et la rendre impotente. Mais comme moi aussi je suis à bout. Mon sang comme autant de flamme et un désir, tout simplement de fou. Alors je me glisse un instant à genoux pour récupéré la capote et...

[...]

Essoufflé. Pas d'autre idée, toi et moi amoureuse mélangés. Je viens de me retirer mais la plaisir bat encore dans mes temps comme un forcené. Orgasme qui a tout ravagé. C'était délicieux bon dieu ça fallait largement le danger. Pire que ça c'était un rêve total mais éveillé. Je le garde bien installé dans mes bras et son parfum envahissant mon nez. On va devoir bouger... Oui mais bon faut que j'ai la foi de me relever. Et là franchement sa chaleur, sa présence me donne plutôt envie de rester. Alors je recommence à l'embrasser un peu partout en caressant son torse, ses hanches sans vouloir vraiment me stopper. Intimité qu'on va scrupuleusement protégée. Je t'aime ! Retours à ses lèvres, à cette bouche si sacrée. Je l'honore sans cesser d'innocement ~~on y crois~~ le tripoter.

Souffle coupé, j'essaye de me reprendre pour respirer. Son odeur contre moi, son corps brûlant qui m'incendie encore. J'essaye de prendre le nord, de retrouver mon état normal. Sensation oublie, si vite ramener, comment avec lui ça donnait un orgasme avec nul autre partagé. Je déglutit difficilement, riant de la situation. Si avant on le faisait dans des endroits juste taré, on était pas aller jusqu'à le faire à ce point près du danger, ce faire cramer, rien ne m'en aurait déranger juste le fait d'être de son corps séparé. Ses mains continue sur mon corps, je le regarde embrasser ma peau, je me mors la lèvre légèrement fébrile. Encore. Bureau profané pour nos ébats endiablés. Je lui retire cette fameuse capote qu'on a eut tant de mal à trouver. Je ris. On va devoir bouger... Ouai je sais bien, quel dommage de devoir bouger. Je balance le préservatif à la poubelle, cadeau pour nous avoir interrompu la première fois. Il revient à mes lèvres, tandis que de nouveau nos corps se collent l'un à l'autre, juste moite, enfin encore moite de cette fébrilité. Je le sens me caresser, je soupire de nouveau. Mes mains venant à sa virilité libre de latex pas génial. Je sourie, savourant cette ardeur éteinte de la fatigue de l'après. Je t'aime ! Je le regarde un moment, souriant. Juste bien, oubliant le reste et nos problèmes à toujours se foutre des dilemes. Moi aussi je t'aime... tu m'as tellement manqué. Je chuchote avec sincérité, me blottissant avec douceur dans ses bras, contre son corps, encore nu, juste lui sans superflus. Mais un frisson me fait revenir à la réalité. corps qui se refroidit. J'attrape non loin mon boxer et mon tee-shirt, les enfilant en me tortillant des ses bras. Puis revenant à lui, je descend sur son torse en baiser, ma langue retraçant ses tatouages endiablés. J'arrive à son intimité , la frôlant avec dextérité et provocation.

J'ai l'impression de penser à rond. L'amour c'est connu sa rend con. Lover, blotti et tout les verbes qui suivent pour causer câlin amoureux. On profite simplement d'être à deux. Nos épidermes attachés, collés on savoure ces retrouvaille malgré leur danger. Malgré le fait qu'on pourrait être découvert comme bientôt tout merder. On sait pas vraiment où toute cette passion va nous entrainer. Pour l'instant qu'importe je veux simplement l'aider. Moi aussi je t'aime... tu m'as tellement manqué. Grand sourire. Que bien sur je ne peux retenir. Mais moi qui pensais encore un peu le chauffer. Le salop il retourne la situation et me voilà bloqué. Ses lèvres qui glissent sur ma peau et déjà je sens mon corps s'enflammé. Il arrive de plus en plus bas et je gémis l'esprit partagé. Nos ébats sont à peine terminé que comme souvent nos sens recommencent à nous titiller. J'attrape ses épaules et le remonte pour l'embrasser. Infâme tentateur, je lui souffle troublé. Alors plutôt que de venir par lui sauter à nouveau dessus dans ce bureau déjà, déniaisé. Je me relève et renfilant mon boxer je l'aide à se relever. J'attrape des prospectus cachant les capotes dans une large poignet. Viens viens on va tester d'autre pièce ! Un air lubrique coller sur le visage je l'entraine derrière moi. On va faire l'amour toi et moi. Beaucoup beaucoup de fois. Quitter le monde et ne plus avoir froid.

» Charlie & Ismaël ◊ Chateau de sable, sport qui se pratique à tout âge surtout pour les gamins affables.
» CHARLIE & ISMAËL Jamais deux sans trois.
» ISMAËL & CHARLIE - la chance ça se provoque, le hasard ça se profite
» CHARLIE • j'y ai crus un instant, mais je me suis souvenu alors que c'était la foi qui nous protégeait de tout ça.
» PANDORE & ISMAËL Bouteille de vodka et te voilà à genoux devant moi.