Charlie & Ismaël ◊ Chateau de sable, sport qui se pratique à tout âge surtout pour les gamins affables.

Je le regarde capturé ma cigarette , moi je la tiens toujorus entre mes doigts qui lui servent maintenant pour le faire fumer. Je l'observe sans bouger. Sans même ciller. Dès qu'on est enfermé on n'est plus libre. Je souris amusé. C'est pas ça la liberté. Pour moi on est toujours libre d'opérer, le prisonnier, si par juste l'envie et la création d'un plan pour s'échapper sera toujours plus libre que celui qui se laisse aller. Tant qu'on vit , on est libre tant qu'on choisit. Choisir de vivre c'est déjà être libre, si t'es enfermé rien ne t'empêche d'y échapper, la mort n'entache en rien notre liberté. Je crois que j'suis vraiment bon à enfermé. Mais j'dis rien, parce que ses yeux montrent clairement qu'il a pas finit, et pour rien au monde je couperais les gens dans leur tergiversions d'explications. La liberté elle est même est un peu un cercle fermée, si on ne pense qu'à la respecté on en devient prisonnier. Parfois je crois qu'il faut laisser glisser. J'ai écouter tes chansons, tu as des textes très sensibles bien qu'un brin moralisateur parfois, enfin je trouve... J'crois que j'ai un soucis avec le principe de conseille, j'aime pas même qu'on pense que j'ai besoin d'aide. Parce que j'en es pas besoin. Je le regarde étonné. Il a écouté mes chansons? Lui le mec super concurrent et mal luné ? Il les a écouter jusqu'à comprendre le sens des paroles ? Je le regarde intrigué, songeant à peine à mes mains qu'il a libéré. Bien trop étonné de son aveux et sa franchise. Puis il parle de conseils et ses lèvres paroles ses yeux crient le contraire. Pas besoin d'aide. Pas de conseils. Ah oui alors cette mauvaise humeurs c'est pas fait pour cacher justement qu'au fond il sait pas quoi faire ? Je dis rien. Par gentillesse ? Non c'est un bruit démentiel qui m'a fait sursauter, c'est ça qui m'empêche de répliquer. Bien vite des larmes tombent du ciel et je me sens bien vite trempé. Izmaël saute sur ses pieds. Tandis que le silence se fait rependre sur tout le camps; bien vite cela reprend remplacé par les batteries de problème. La musique repart de plus belle, les cris et les rires sous la pluie. L'orage provoquant une tension palpable chez les gens. Un autre éclaire zèbre le ciel, je ris comme un enfant. Le regardant fixer la fenêtre, non petit bambin ne semble pas s'occuper des autres dans son sommeil. Je reste couché, appréciant la pluie sur mon visage, bon ba la je redeviens trempé, j'avais un peu sécher avec la chaleur et la serviette c'est fichu. Je regarde ma clope détrempé. Bravo, bien joué orage d'été. Ses paroles me reviennent en tête. Je ne donne veux pas donner de moral... je n'en ai pas...je partage mes sentiments et mes pensées. On peut donner des conseils et c'est pas une honte d'en avoir besoin...dis...pourquoi laisses-tu personne t'aider ? Je me relève sur un coude, essayant de trouver la force de me relever, les pieds encore soulevé sur la chaise à l'envers d'Izmaël. Je l'observe. J'aurais pas du dire ça, pas être si franc et mettre les pieds dans le plat. Trop tard.

Je retire mon jean qui aussi mouillé me parait lourd et encombrant. En boxer, cette fois noir et débardeur bariolé je tourne le visage vers ce ciel soudainement agité. La chaleur et la tension ambiante se sont calmés pour reprendre de plus belle laissant nos peaux survoltés. Il reste allongé, se relevant sur un coude le visage trempé. Ses cheveux dégouline alors qu'il me répond avec un sérieux que je jugerai presque inapproprié. Je ne donne veux pas donner de moral... je n'en ai pas...je partage mes sentiments et mes pensées. On peut donner des conseils et c'est pas une honte d'en avoir besoin...dis...pourquoi laisses-tu personne t'aider ? C'est qu'il me provoque le minet. Sourire carnassier. Fait gaffe à ton degrés de franchise tu pourrais t'y bruler. Je suis facilement agacé, facilement irrité. J'ai des saute d'humeur surtout si on touche à mes faiblesses cachées. En plus tu a l'air doué pour gratter. Pour trouver les choses sur lesquelles il fallait mieux passer sans s'arrêter. Je l'observe avec ce sourire de carnivore, de félin qu'il ne faut pas provoquer. Repoussant la chaise un peu plus long d'un geste sans y penser. Je viens m'installer au dessus de lui, le toisé. Supériorité. Les yeux qui brillent de cette fierté éternellement mal-placée. De mon orgueil ridiculement entêté. Je me penche volant ses lèvres comme on piquerai un bonbon au nez d'un vendeur trop benêt. Naïveté. Mais qu'est c'qui te fait croire que j'ai besoin d'aide ? Qu'est c'qui te fait penser que je réclame un conseil parce que je suis trop perdu. Je ne suis pas perdu, jamais. Et puis pour l'empêchait de répliquer me revoilà entrain de l'embrasser. Je goutte des lèvres qui depuis un an m'intriguée, m'obsédée. Savoir si outre l'odeur, de la liberté il en avait aussi la saveur. Comme si elle était imprégnée de ses pensées. Elles donnent au corps la possibilité de s'envoler. J'écarte quelques mèches collées contre son front. Un nouvel éclair déchire l'espace et coupe tout les sons. Même plus de lumière. Aurevoir les lampadaires. Ils n'existent plus là que le bruit assourdissant de la pluie et de nos respirations. Nos lèvres collés et le noir absolue en toile de fond.

Je le regarde appréhendant un peu sa réaction. Un sourire étrange sur son visage vient se loger. Et c'est c** mais ce genre de sourire sérieux ça fait un peu flipper. J'aime ce sourire de carnassier. Il mange peut-être pas de viande mais il s'transforme vite en animal. Il s'avance et virant la chaise, mes pieds tombent brutalement sur le sol. Aïe quoi. Mais il semble n'en avoir que faire. Comment fait-il pour avoir ce sourire ? La c'est sur qu'il pourrait facilement me faire fuir. Mais allonger , j'peux pas bouger, et pas envie, j'dois peut-être être taré.
De plus voila que monsieur s'installe sur moi, je bouge pas, je le fixe restant sérieux. Si son sourire semble faux, ses yeux montre son sérieux. Charlie encore une fois tu viens de marquer un point au moment où fallait l'a fermer. J'suis comme ça malheureusement on peut pas me changer. Rien à faire on réussit pas à me la fermer. Je sens ses lèvres un moment je buge un instant.Mais qu'est c'qui te fait croire que j'ai besoin d'aide ? Qu'est c'qui te fait penser que je réclame un conseil parce que je suis trop perdu. Je ne suis pas perdu, jamais. Pardon ? Il se croit lui ou pas ? Avant que je réplique il recommence sa tactique. Et se saisit de mes lèvres. J'dirais jamais non un baiser même par provocation. Et puis ses lèvres, je perds le file de mes pensées. Ce débile a eut raison de mes idées. Autour je sens la pluie sur moi, le tonnerre encore une fois. Lumière jaillissante puis plus rien. Le noir totale de lumière tandis qu'au loin les batterie alimentent juste leur musique. Nous on est dans le noir, et j'y fais pas tellement attention, tandis qu'il continue de m'embrasser. Et que moi je me retrouve en dessous sans pouvoir riposter. Le repousser ? L'idée vient même pas m'effleurer. Enfin si... Je bouge enfin. Reprenant le jeu en main, le faisant rouler je reprend le bon côté et je m'éloigne de ses lèvres. On joue au ping-pong. Celui qui est au dessus a le droit de répondre ? je répète ses paroles. Je ne suis pas perdu, jamais... et tes ta voix... tu penses qu'avec ton entêtement tu vas la récupérer ? Sbaaam, c'est pas très arrangeant. charlie tu cherches quoi ? Tu veux absolument te faire frapper ? tu veux le mettre en colère qu'il ne puisse plus te blairer ? Encore une fois parler trop vite, encore une fois je m'excuse pas de mes paroles. Je les pense même si j'aurais pas du les dire. L'auto-censure de mes dires je connais pas.

Temps qu'on ne fait que s'embrasser. Temps que notre communication rester sur le physique basée. Je peux facilement contrôler. Mes sens et mon corps sont des armes que j'ai déjà tellement usités. Des armes que je connais. Il embrasse plutôt bien ce bougre en plus il faut l'avouer. Et puis je me sen basculer. Vue qu'on est environ aussi épais l'un que l'autre dominer par la force simple n'est pas aisé. Il me domine à son tour. J'aime pas ça et je doute l'apprécier un jour. Il a un air de sérieux qui me déplait. Un air de discussion qui n'a rien pour m'appâter. Je ne suis pas perdu, jamais... et tes ta voix... tu penses qu'avec ton entêtement tu vas la récupérer ? J'ouvre de grand yeux, outré qu'il est osé. Qu'il soit au courant aussi, depuis quand l'info à telle circulé ?!! Depuis quand les gens savent que je galère et rigolent dans mon dos bande d'enculés. Sales fouineurs de merde on peu même plus fatigué. On a plus le droit d'être un poil fatigué !! Je grince des dents, le foudroie d'un regard incendié. Toi tu as vraiment pas dit ce qu'il fallait. Tu as pas le droit de me mettre ce problème sous le nez. Surtout pas dans une telle situation. Surtout pas lorsqu'on été bien mieux à s'embrasser sous la pluie sans ce poser plus de question. Mauvais garçons. Qui t'a dit ça ?!! QUI TA DIT ÇA ???!!! J'expire bruyamment. J'ai la voix a déraillée en s'élevant. Je lève le poings près à frapper. Mais alors que la menace reste en l'air, mon bras qui ne cesse de trembler. J'abandonne l'agressivité contre lui, c'est contre moi qu'en réalité elle est dirigé. Moi qui n'arrive pas à me soigner. À correctement chanter. Mon poings s'abat à côté de lui avec violence. La douleur qui s'irradie dans ton mon poignet, je grimace. Je me relève en me tenant le poignet meurtri. Maintenant tu te barres d'ici ! voix rouillée et jointures ensanglantés. Une goutte rouge viens se mêler à celles transparents qui rouler sur mes pieds. Je me suis explosé sur un caillou putain ça fait chier. Qu'il se casse je veux ruminer. Ruminer seul j'ai pas besoin d'être aider. J'ai besoin qu'on me foute la paix. Je lui fait dos essayant avec l'eau tombant du ciel que le sang qui coule soit nettoyé. La douleur, légère, je m'en fiche j'ai l'habitude de me bagarrer.

Ok j'devrais apprendre à me fixer des limites ? si moi j'suis ouvert et que rien est tabou, je sais pourtant bien que c'est pas pour touts pareil. Pauvre c**, je vois ses yeux surprit virer à l'encre. Son regards qu'il me lance, ça va on ma déjà fait le coup. Enfin bon j'aime jamais vraiment qu'on me regarde de la sorte. Je le morde la langue, me disant qu'encore une fois j'aurais mieux fait de me taire. On roule de nouveau, moi encore en dessous. Si il y a eut durant un instant une envie commune de continuer à s'embrasser, là c'est sur toute trace à disparut. Qui t'a dit ça ?!! QUI TA DIT ÇA ???!!! Euh... pourquoi ? C'est un secret ? C'est à ce poing cata pour que ce soit une réaction si violente ? Sais plus...pas important ! Je dis rien. Il me foudroie du regard et lève son poing. Merde mais je vais vraiment me faire frapper. Je ferme les yeux; attendant l'impacte. Je n'aime pas me faire frapper, comme tous le monde. Je suis plus du genre à fuir les bagarre. Les secondes défilent. Un sifflement et bruit sourd à côté de moi, j'ouvre les yeux son bras juste à coté de moi. JE comprend très vite où son poing à atterrit. J'ai mal pour lui. Il se relève d'un bond. Je suis délivrer de ce regard furibond, mais aussi de la distance si étroite qui nous reliait. Maintenant tu te barres d'ici ! Je me relève, ses paroles. Dures. J'avale ma salive durement. Attendez je le connais quasiment pas. Pourquoi ça fais si mal de se faire virer comme ça ? J'enfonce mes mains dans mes poches. Prenant mon pantalon je l'enfile à tâtons. L'orage se déchainant toujours sur nous. Je lâche ma clope totalement ruinée. J'me sens mal, comme pas désiré. Je... excuses moi... j'voulais pas . J'voulais juste t'aider. Je... c'est tes affaires excuses moi. Je cherche mes mots. Je me sens mal, malgré l'obscurité j'arrive à distinguer son poing. Mince. Je m'approche vers lui. Pourquoi ? Je tiens vraiment à me faire frapper ? Je prend son bras. J'aime pas l'orage. Je sursaute avec la petite voie, voyant Cloud sur les marches à l'abris de la pluie, doudou en main. Yeux presque fermé. Je sens Izmaël se contracter et ramener la main vers lui pour la cacher. Je me sens mal. Avant qu'il boueg je fais demi tour et prend Cloud. Tu sais quoi... si j'te chante une chanson l'orage tu vas vite l'oublier...allez viens Izmaël a...un truc à faire. Genre soigner sa main. Se calmer ? Ou me maudire peut-être. Je rentre dans le bus et Cloud me montre le chemin vers son lit. C'est joli et c'est même aménagé pour le petit. Je l'allonge en souriant doucement, encore chambouler de ce que je viens de provoquer. Tu sais chanter toi aussi? Je ris doucement. Peut-être pas aussi bien que Izmaël mais il parait que je me débrouille bien. Je lui frotte les cheveux commençant à chantonner. Lui il en demande pas plus pour écouter et bien vite en oublier l'orage qui continue de crier. J'me sens mal et même Cloud endormit j'ai pas envie de retourner le voir. Enfin si; mais un peu effrayer de ce que je viens de déclencher. Je me lève. Retournant vers la sortie du bus. Essayant de chercher que dire et comment m'excuser. Assis sur les marches pour pas trop mouiller, regarde dehors. J'voulais pas te vexer ou t'provoquer... c'était... enfin désolé. J'ai tendance à un peu trop m'excuser ? Tant pis.

J'entend Cloud réclamait de l'attention. Finalement l'orage l'a réveillé mais le rassurer pour l'instant pas question. Laissait moi une seconde pour me calmer. J'vais le faire encore plus baliser. Heureusement j'ai pas le temps de quoi que soi, j'entend Charlie s'en charger. C'est ça occupe toi du gamin. Parle lui de mes problème de vois tu te sentira malin ! La rage bouillonne en moi. J'suis dans un état de stresse pas possible, un insupportable émoi. La musique et les rires je les perçois. Également sa voix. Le reste c'est les élèments qui se calme ne laissant plus qu'une pluie comme des larmes que moi je ne laisse pas couler. Esprit de travers je m'assois à terre. Heureusement qu'ils ont rendu l'âme les lampadaires. j'essai de bouger les doigts. j'ai mal et je grimace avec effroi. Si j'me suis péter un doigts... Ou trois. J'examine mes phalanges essayant de respirer le plus calmement. Il n'y a déjà plus de sang. Tout juste un peu de rouge de ci et là. Ça n'est pas brisé juste écorchait. Bah qu'un peu m'enfin c'est mieux qu'une main sérieusement blessé. Je suis un peu calmé. La pluie n'a pas cessé mais déjà j'entend la porte de la caravane s'ouvrir puis se refermer. J'voulais pas te vexer ou t'provoquer... c'était... enfin désolé. Le son de ses paroles m'atteins et me voilà totalement calmé. Incohérence ? Non c'est juste que ma colère ce soir semble avoir perdu patience. Elle n'arrive qu'à s'essouffler Je me remet debout et le rejoins sous le porche. Laisse tomber ok ? J'ai pas de problème ok ? Juste une légère baisse de régime à cause des changements de températures pour la tournée. Merci pour Cloud. J'appuie ma tête contre le chambranle du porche avant de soupirer. Ma main ma lance je la garde contre moi pour rien en montrer. Je me fait moi même penser à un cabot blessé qui après avoir trop aboyait se sent lessivé.

Je le regarde s'appuyer contre le proche je sais pas vraiment quoi faire d'autre. Serait-il l'heure de rentrer ? Dois-je retourner dans le bus et tout oublier ? Pourquoi avoir tout fouarré. On s'éclatait à s'provoquer, s'embrasser. Et voila âme charitable j'suis encore coupable. A trop vouloir faire bien on finir par plus faire le malin. Laisse tomber ok ? J'ai pas de problème ok ? Juste une légère baisse de régime à cause des changements de températures pour la tournée. Merci pour Cloud. Je le regarde un moment surprit de son ton qui ne me cris pas dessus, je reste sur les marches car je tiens pas à retourner sous la pluie sauf si... si je rentre. Je hoche la tête un moment. si tu veux... c'est bon c'est rien, il s'est rendormit. Si il veut ?! Oui je vais pas le forcer, j'veux pas encore qu'il veuille me cogner, je tiens à mon joli minois autant qu'a la non-douleur, j'veux rien changer à cela. En parlant de cela je repense à son poing qui s'est abattu violemment. Il garde les mains enfoncé ce qui m'empêche d'y voir quoi que ce soit. Et si il s'était casser quelque chose. J'en sais rien j'ai pas l'habitude de frapper quelque chose, peut-être qu'on se casse facilement les os. tu devrais soigner ta main ! Je reprend un ton neutre, plus réservé, ne voulant plus maintenant m'aventurer. D'accord j'ai capté, pas d'amitié, pas de gentillesse juste rester près de Cloud lorsqu'il est là. Je le regard sans rien ajouter, je chercher mon paquet qui a échapper à l'averse, j'en allume une sans rien ajouter.

Moi qui voulait réussir à rattraper le désastre de la première fois. On a fait pire là je crois. J'avais tout sauf envie qu'on en arrive là. Ça mine défaite ne me réjoui pas. Loin de là. Alors plutôt que de la jouer chat sauvage qu'on ne peux approcher. Je décide de mettre un frein à mes humeurs agités. Essayer de pratiquer la demi mesure, une fois n'est pas coutume. Si tu veux... c'est bon c'est rien, il s'est rendormit J'hoche la tête, je m'en était douté. N'empêche j'crois que le gamin si j'm'en était occupé, je l'aurai fait flipper... Sourire un peu tordu mais sincère. C'est pas facile du tout d'être père. Je me met tranquillement de profil pour le regarder. Main caché j'vais pas reconnaitre que j'ai mal, faut pas pousser ! Seulement je vois ses yeux scruter en cette direction. Non non cherche pas il n'en est pas question. Tu devrais soigner ta main ! Je rigole l'agitant sous son nez l'air de dire que tout va bien. Je la re-cache rapidement dans un plie de mon trop grand débardeur. J'ai dit faut pas abuser j'suis un vrais branleur. Non non mais t'inquiète y'a rien de cacher. J'suis déjà bien habitué à me bagarrer. J'ai plutôt les phalanges écorchées m'enfin c'est pas comme si c'était la première fois. J'me mort la lèvre, l'observe fumer. Finalement je reprend parce que ouai, j'veux réussir avec lui à communiquer. Et ça m'intéresse pas de savoir clairement pourquoi. C'est comme ça. J'ai envie et puis voilà ! Désolé pour la réaction... C'est pas du tout le bon sujet c'est tout. Ta gueule de minet à eu chaud quand même, enfin j'veux pas me retrouver en procès contre des fans indignées. Sourire et trait d'humour pour détendre l'atmosphère. Si j'arrive à être détendu peut-être qu'on réussir à me se faire la guerre. Quoi j'ai aussi envie de recommencer à l'embrasser ? Allez donc vous faire enculé j'suis en manque c'est indépendant de ma volonté.

N'empêche j'crois que le gamin si j'm'en était occupé, je l'aurai fait flipper... Je l'écoute sans rien ajouter. Ouai ba déjà il faudrait qu'il sache se calmer. Quoi ? Rancune ? Non mais oui ça il sait communiquer, c'est sur que sa colère il a sut la transmettre très aisément. Comme quoi faut croire qu'il est doué. Il arrive même à commencer à perdre patience. Je répondre rien, pas envie, je continue de fixer ma clope qui brûler posément. Rien de plus à ajouter, j'ai pas envie de partir, j'ai pas envie de parler, pas pour de nouveau me faire jeter. Je parle de sa main, je me retiens et reste neutre. Plus envie de m'investir ? Non c'est pas ça j'suis juste sur mes gardes. Je recule , légèrement surprit, lorsqu'il agite sa main sous mon nez. Puis je comprend qu'il voulait juste me montrer. Ouai ba elle a vite disparut, n'aurait-il donc rien à cacher ? Non non mais t'inquiète y'a rien de cacher. J'suis déjà bien habitué à me bagarrer. J'ai plutôt les phalanges écorchées m'enfin c'est pas comme si c'était la première fois...Désolé pour la réaction... C'est pas du tout le bon sujet c'est tout. Ta gueule de minet à eu chaud quand même, enfin j'veux pas me retrouver en procès contre des fans indignées. Il a continué sur sa lancé. Désolé ? Je l'observe un moment, légèrement apaisé par le fait qu'il veuille au moins s'excuser. Ma gueule de minet ? Je vois son sourire et comprend l'humour. Oui ba avec lui c'est bien dur de comprendre si oui ou non il va s'énerver. Moi je perds pieds. Je souffle en le fixant un moment. Que dire, moi il m'fais hésité pourtant c'est rare qu'à ce point je sois perplexe. comme si des fans t'auraient fait reculé...enfin merci d'avoir quand même épargné mon visage. Je sourie, légèrement en recrachant la fumé que je viens d'inspirer. JE l'observe sans rien dire, comme quoi j'avais raison tout à l'heure, il est étrangement difficile à cerner.

Comme si des fans t'auraient fait reculé...enfin merci d'avoir quand même épargné mon visage. Hnm... Ouai non franchement une fan ça m'aurait pas fait reculer. Ni même une marée. Je sais que les miens sont bien plus déjantés. Des métalleuses survoltées et percer accompagné de leurs copains aux boots croquées. Les têtes des petites peace and love elles seraient vite arrachées. Décapitées les niaiseuses qui prônent la fraternité. C'est sure qu'avec ceux que j'ai, j'ai plus peur de la foule agitée. M'enfin j'suis suffisamment emmerder en ce moment, des procès au cul pour agression de l'icône du peace and love moderne... Me taper tout les pacifiste de la terre au cul non merci. J'lui pique sa fin de clope comme si c'était totalement autorisé. Bah oui tu avais qu'à pas me vexé. Dernière taffe et je l'éteins parce que le filtre c'est pas génial à fumer. J'peux t'en taxer une autre ? Je lui sourie petit moue suppliante de gamin. Aller quoi fait pas ton sagouin. J'insiste sur les yeux larmoyants qui font craquer les enfants. T'aura un bisous en récompense ! Aller avoue tu en as envie. Et puis moi aussi. Un bisous pour me réconforter. Bisous une clope et tu sera totalement pardonné. Sourire un brin pervers...

C'est sure qu'avec ceux que j'ai, j'ai plus peur de la foule agitée. M'enfin j'suis suffisamment emmerder en ce moment, des procès au cul pour agression de l'icône du peace and love moderne... Me taper tout les pacifiste de la terre au cul non merci. Je le regarde surprit de ces paroles, non mais quoi ? Parce que ses groupies s'habillent en noir et se cloutent comme lui ça veut plus dire ?e Je le fixe rangeant ma colère, il y a eut assez d'énervement pour ce soir; pourtant j'y peux rien avec lui je tangue entre méchant et calme. Il fait tout pour m'énerver à jouer au mec supérieur outrageant ? j'avoue que crier dans une salle c'est plus flippant de la part de tes fans...j'suis pas un icone j'suis un chanteur parmi d'autre qui prônent eux aussi la non-violence. Et d'ailleurs je prône rien du tout, c'est pas parce que je crois en certains truc que j'suis niaiseux. Je réplique sur la défensive. Sans pour autant l'agresser, nan mais je sais pas sur quel pied danser. Il prend ma clope, je soupire sans rien dire. Je crois que la dispute à clasher l'ambiance, maintenant faudrait vraiment trouver un truc pour la relancer car pour le moment la moindre de ses paroles je l'interprète mal. J'peux t'en taxer une autre ?...T'aura un bisous en récompense ! Pardon ? Prenant mon paquet dans ma poche je me suis arrêté à sa deuxième phrase. Une récompense ? Je le regarde un instant surprit, avec ses changements d'humeur il me donne le tournis. je le sors et l'ouvre pour lui tendre le paquet en levant les yeux au ciel amusé. On dirait Cloud. Et c'est pas un compliment ... sert toi vas-y Je ris légèrement sans rien rajouter. Un vrai gosse ce mec, et pourtant si chez d'autre ça me choque pas chez lui c'est étrange. Un coup je m'énerve je suis méchant l'autre coup je fais le gentil qui veut se rattraper, après ça comment fonctionner ?

Il semble agressé par ma réflexion. C'était un trait d'humour ducon. J'avoue que crier dans une salle c'est plus flippant de la part de tes fans...j'suis pas un icone j'suis un chanteur parmi d'autre qui prônent eux aussi la non-violence. Et d'ailleurs je prône rien du tout, c'est pas parce que je crois en certains truc que j'suis niaiseux. Je lève les yeux ciel, humour dickhead. Pas la peine d'appeler la brigade du respect des convictions à l'aide. Je ne suis renchéri pas. Même si l'envie de défendre ma musique ne manque pas. Disons que j'vais éviter des partir dans un débat. On a pas la même vision de la dérision voilà tout. Ouai pas la peine de se prendre encore le choux. J'lui demande plutôt une cigarette. Pouvant pas m'empêchait d'y ajouter une touche d'humour un peu bête. Il prend carrément un air blasé. Okay toi tu as décidé que tu me laisser rien passer ? On dirait Cloud. Et c'est pas un compliment ... sert toi vas-y J'allume le poison industrialisé. J'inspire puis expire la fumée par le nez. J'crois que si j'veux éviter la déclaration guerre faut que je m'explique un peu mieux. Allons y me voir un peu me confier sa ferait des putain d'heureux. Enfin avouer, juste un peu. Merci... Euhm... Écoutes pour la première fois où j't'ai parlé, j'voulais pas t'agresser ok ? C'est bizarre et ça parait plutôt un mensonge vu comment je t'ai parlé mais... Je soupire. Niveau mauvaise communication moi y'a pas pire. J'voulais juste, te parler. Ce qui avait écrit dans la lettre bah, ça m'a... Intrigué. Ouai bouleversé même mais j'vais pas abuser niveau, parole en toute intimité. Je me passe la main dans les cheveux, grimace parce que c'est la mauvaise avant de continuer sur ma laborieuse lancée. Tu... Ce qu'elle disait sur toi, que tu l'avais aider à retrouver la voie bah...J'sais pas dans ma tête ça c'est mal goupillé j'ai juste voulu te rencontre, voir si effectivité tu pouvais me faire retrouver, la voiXe.... Alors ma lubie est passé aussi vite qu'elle est arrivé on peux juste enterrer le hache de guerre ? J'veux pas te juger ni rien du genre. Ok j'ai un humour, particulier. Mais le coup des fans fallait pas te vexer, ni le peace and love hein !... J'la ferme c'est bon. Je tire sur ma cigarette en me cachant le visage grâce à l'obscurité. Finalement j'crois qu'il ferait mieux de partir, il me faire perdre tout mes moyens et j'aime pas pas contrôler.

Je le regarde prendre une clope dans le paquet que je lui tend, je l'observe l'allumer sans dire quoi que se soit. Non mais en quelques secondes l'ambiance à changé, faut que j'arrête de m'énerver. Mais impossible de pour le moment y arriver. Chanteur au changement de caractère radicale, pas facile de suivre le mouvement. Je le regarde opérer. Merci... Euhm... Écoutes pour la première fois où j't'ai parlé, j'voulais pas t'agresser ok ? C'est bizarre et ça parait plutôt un mensonge vu comment je t'ai parlé mais... J'voulais juste, te parler. Ce qui avait écrit dans la lettre bah, ça m'a... Intrigué. Je le fixe surprit. Ces paroles mal placé ? Non juste qu'il revienne sur cet épisode passé. Sur ce qui s'est passé il y a...un an je dirais, enfin la distance je n'en suis pas sur pour moi le temps passe tellement vite. Mais c'est sur la lettre de la fan que je bug encore plus. Je fronce les sourcils essayant de me rappeler le texte. J'ai dû la lire, la poser et oublier. Non par méchanceté auprès des fans, mais j'en ai tellement à lire que j'oublie qui a dit quoi dans chaque lettre. Je cherche qu'est-ce qui aurait bien pu l'intriguer ? Et pourquoi c'est maintenant qu'il se remet à en parler ? Je dis rien, de toute manière le revoila lancé. Aurait-on passé le cap de la franchise sans que j'en sois informé ? Tu... Ce qu'elle disait sur toi, que tu l'avais aider à retrouver la foi bah...J'sais pas dans ma tête ça c'est mal goupillé j'ai juste voulu te rencontre, voir si effectivement tu pouvais me faire retrouver, la voix.... Alors ma lubie est passé aussi vite qu'elle est arrivé on peux juste enterrer le hache de guerre ? J'veux pas te juger ni rien du genre. Ok j'ai un humour, particulier. Mais le coup des fans fallait pas te vexer, ni le peace and love hein !... J'la ferme c'est bon. Je le regarde juste totalement choqué ? Les paroles de cette lettre me revienne légèrement, comme quoi cette fille insulté de tous avait perdu toute confiance, mais mes chansons l'avaient remit doucement; elle avait retrouvé la foi en de bonnes personnes et avait réussit à reprendre confiance. Je regarde Izmaël, sans rien trouvé à répondre. Le temps s'écoule sans que je trouve rien à dire. Que répondre à ce genre de truc tellement étrange ? Puis un léger rire sort de mes lèvres. Tu es...un p*tain de taré. J'peux pas y croire quoi. Non mais j'suis pas un faiseur de miracle, j'suis pas le Messie qui peut guérie n'importe quoi. Je me lève encore sous le choque, qu'il est pu attendre ça de moi. Je souis, bon certes touché mais enfin on me donne une importance que je suis loin de mériter. Je guéris pas moi. Ma mère a eus un cancer j'ai rien enlevé du tout... c'est pas moi qui redonne la foi, les gens se retrouvent dans mes chansons, ils trouvent ça bien... ce sont des fans tu sais ?!!! Pour toi ce ne sont que des textes babacool, j'suis un hippie pacifique tu risque pas d'retrouver la foi grâce à mes chansons. C'est même pas une lubit c'est juste irréel... je ne suis pas docteur. Je ris légèrement en me rapprochant de lui, d'un coup c'est vrai qu'il a vite fait disparaître ma mauvaise humeurs et l'ambiance étrange. Je vois pas son visage dans l'obscurité, parce que la lumière n'éclaire rien. si tu retrouves pas ta voie c'est dans ta tête... et c'est pas en me regardant que ça va s'arranger...j'sais que beaucoup de fille disent que je suis parfait mais ça n'a jamais guérit personne. Je ris doucement, avant de me pencher et trouver facilement ses lèvres. Mais on peut enterré la hache de guerre...et si tu penses que c'est en m'touchant qu'tu peux retrouver ta voie...j'veux bien essayer mais tu vas vite être dessus car j'suis pas sorcier. Je ris en recommençant à lui voler des baisers. Moi profiteur ? A peine.

J'attend. J'me sen con, j'veux me terrer dans un trou mais y'en a pas d'assez grand. Alors j'attend en terminant ma clope, me sentant stupide enfant. J'ai le coeur qui bas la chamade non que j'ai honte de ce que je viens d'avouer. Enfin si un peu mais faut pas exagéré. C'est juste que j'ai pas l'habitude d'être franc plutôt de me cacher. De dissimuler mes sentiments et pensées. Ou plutôt de ne citer que ce qui m'arrange. Éviter justement que de drôles d'histoire s'engrangent. Tu es...un p*tain de taré. J'peux pas y croire quoi. Non mais j'suis pas un faiseur de miracle, j'suis pas le Messie qui peut guérie n'importe quoi. Je guéris pas moi. Ma mère a eus un cancer j'ai rien enlevé du tout... c'est pas moi qui redonne la foi, les gens se retrouvent dans mes chansons, ils trouvent ça bien... ce sont des fans tu sais ?!!! Pour toi ce ne sont que des textes babacool, j'suis un hippie pacifique tu risque pas d'retrouver la foi grâce à mes chansons. C'est même pas une lubit c'est juste irréel... je ne suis pas docteur. si tu retrouves pas ta voie c'est dans ta tête... et c'est pas en me regardant que ça va s'arranger...j'sais que beaucoup de fille disent que je suis parfait mais ça n'a jamais guérit personne. Alors là pour le coup il m'a bien mouché. Vexé serait un mot insuffisant pour dire combien je me sens con a avoir ainsi parlé. Je me sens idiot, je me sens stupide. Certes mon envie était un peu cupide. Je sais bien qu'il va pas m'aider comme un putain de médecin ! Je sais bien que ça ne marche pas si facilement, que c'est pas si aisé. Mais mais... Merde putain ça fait chier. Je me renfrogne me repliant un peu plus dans l'ombre. Parfaitement bien blessé dans ma fierté. J'ai l'impression qu'il viens de dire que mon cerveau disfonctionné. J'vais pour lui dire d'aller gentiment ce faire foutre. Que si c'est pour ce moquer il peux s'casser. Sauf qu'il réplique en venait me bouffer mon espace vital le vilain chanteur tatoué. Il ose même me ré-embrasser ! Mais on peut enterré la hache de guerre...et si tu penses que c'est en m'touchant qu'tu peux retrouver ta voie...j'veux bien essayer mais tu vas vite être dessus car j'suis pas sorcier. Tu vas vite être dessus car j'suis pas sorcier. Alors là par contre ça me donne une idée. Bon je me vengerai pour l'affront plus tard. Là il m'embrasse et j'avoue que ça me laisse pas mal hagard. J'y répond sans rien demander. Je passe les bras autours de sa taille fine pour le rapprocher. J'ai même plus envie de me justifier. Même plus envie d'expliquer que si qu'il a dit été faut, mal interprété. Mes sens sont en éveille et je me contente donc de ne pas cesser de l'embrasser. Je me relève pour le tirer vers le auvent derrière nous. Faudrait pas qu'on tombe sur nous. Je le pousse sur une chaise longue jartant le pull de Sisi qui trainer dessus. J'allais revenir m'installer sur lui quand des bruits de pas me font capter qu'on à de la visite. Merde... Viens ! Je le tire par son tee-shirt chopant sa main au passage. Nous voilà planqué derrière la caravane. Les trois idiots qui arrivent et se couchent rapidement. Merci mon dieu il ne vérifie pas si je suis dedans. J'ai pas lâché la main de Charlie, ce que je m'empresse d'ailleurs de faire. Du moment qu'ils remettent pas à forniquer à côté de Cloud... Alors où on en était... Sourire carnassier je lui passe une main dans le cheveux avant de revenir l'embrasser. Quoi non cet interlude ne doit pas nous stopper un si bon chemin !

Je le regarde, évidement j'ai bien vu que je l'avait vexé. Je le fais chier ? Peut-être un peu, on peut pas m'en vouloir.Je l'embrasse, geste pour qu'il oublie mes paroles, pour qu'il se focalise sur autre chose ? Non à peine, on dira rien c'est pas la peine. Je le vois bien il répond rien. Et moi ça m'fait sourire qu'il fasse pas le main. Allez c'est bon, engueulade, coup de poing, humours débile et paroles trop franche, je pense qu'on a notre cota pour ce soir. cette nuit ? On verra jusqu'à où va la folie; mais en attendant moi j'veux pas faire semblant. J'suis pas un saint je l'ai déjà dit. Finalement voila que monsieur réagit, et reprend peu à peu vie. Je le sens parce que je ne les lui vole plus ses lèvres, on est deux à s'embrasser faut pas rêver. Je me laisse faire lorsqu'il me rapproche, juste cette proximité moi ça me fait frissonner. Oui il en faut peu pour m'amadouer, je le sais bien mais je le vie bien aussi. Mes mains se sont refermées sur son débardeur trop large, je le sens alors bouger, sans que nos lèvres soient descellées. Ah ba non hors de question, on peut bouger sans hésitation. Je me sens pousser je le laisse faire. Monsieur à toute mon attention moi je suis sage élève, je vais pas dire non à ce genre proposition. Tandis que je sens de nouveau son corps contre moi, des bruits de pas arrivent en même temps. Merde... Viens ! Je me sens tiré , pas le temps de répliquer, quelques pas précipité et voila qu'on est comme deux gosses caché. Comme si on avait pas le droit de forniquer de notre côté. Enfin bon il a raison pas envie d'être dérangé, et puis si ils font que passer... J'attend patiemment que ce qui semblent être les membres de son groupe rentre en silence. La porte se referme, y'a plus personne ? C'est bon. Je le sens lâcher ma main, mon regard se tourne vers lui cherchant la suite des évènements. Du moment qu'ils remettent pas à forniquer à côté de Cloud... Alors où on en était... Hein ? Ne me dites pas qu'en plus des plans à trois ils le font devant le gosse ? A ce moment je plein sincèrement l'âme de l'enfant; mais le reste de mes pensées s'envolent rapidement pour une meilleur idée. Oh aucun mérite, Izmaël semble m'inspirer. Je reprend ses lèvres avec envie, non mais quoi on va pas non plus se laisser déranger en plein début. Et puis c'est bon un est majeur, on est vacciné et je vois pas où le problème je signe rien, juste une nuit. Même si avec un mec tant compliqué je sens pointé les problèmes plus tard, tant pis, moi ses lèvres me font envies. Et puis à jouer au taré, à me dire que j'peux guérir moi il m'a fait marrer, trop chou moi pas de ma faute j'suis excité. On en était au moment ou tu enlève ton p*tain de tee-shirt. Je souffle ça entre deux baisers, tandis que je le prend par les hanches pour l'attirer vers moi et reculer. Non mais c'est trop silencieux, au moindre bruits ses potes risque de rappliquer. On a pas l'air tarés, comme deux gosses qui expérimentent la vie et veulent pas se faire choper. J'vous jure rien que dans ma tête j'suis entrain de me marrer, quoi que j'y pense pas trop vu l'activité que j'voudrais surtout pratiquer...

Dire que oui une fois ils on osés. Une fois leur hormones on gagnées. J'crois que je les aurait étrangler. Et le pauvre Cloud qui s'était caché dans la salle de bain, choqué. Tu m'étonnes trois corps transpirants enlacés. Faut dire quand plus ils étaient pas discret. Enfin bref j'l'ai ai briffé et ça à pas intérêt à recommencer. Par exemple il faut faire ça dehors derrière la caravane comme des adolescents. Perversité et rire d'enfant. Il répond au baisé j'en suis ravie. Entre deux échanges à la savoureuse magie. Voilà ce qu'il chuchote d'une voix brouillé par l'envie. On en était au moment ou tu enlève ton p*tain de tee-shirt. Je rigole un peu effectuant effectivement le geste de me déshabiller. Je lui glisse le sien hors du torse également pour venir lui dévorer. Mordiller et lécher ses peau à la saveur endiablée. Une fragrance de liberté je le savais ! Entre sel et larme du ciel. Un arrière-gout de merveille. Je remonte jusque dans son cou. revenant au auvent et à la chaise longue qui n'attend que nous. Le rallongant dessus ses lèvres que je dévore à nouveau avant de lui glisser à l'oreille. Faut pas faire trop de bruit... Y'a des oreilles innocentes par ici Son jean m'emmerde franchement quelle idée de l'avoir r'enfiler ?! Je m'empresse donc de le détacher pendant que nos lèvres délicieusement sont occupées à batailler. Heureusement il porte un jean pas trop serré, imaginé les mien comment j'aurai galêré. Comment je me serais maudit aussi. Enfin heureusement le tissu humide fini vite au sol et sans cesser de l'embrasser. C'est, accidentellement, que dans son boxer un de mes main a glissé.

Retour à notre point de départ, non pas notre colère mutuelle juste le lieu d'origine. Nos tee-shirt on les laisse tomber, on s'en fout largement de ce qui peut leur arriver. Je savoure ses lèvres sur ma peau, chaise longue en vue, je me laisse tomber dessus tandis qu'il me suit dans l'instant. Nos lèvres recommencent, et bien rapidement les vêtements viennent plus à nous faire chier qu'autre chose. Alors que l'idée commence à se montrer de l'ôter, il s'occupe lui même de mon jean. Et comme je n'ai pas pris le plus slim il descend sans trop de mal, chose étrange vu comment il est trempé. Le faisant dégager d'un coup de pied, pour totalement le laisser tomber je sens sa main glisser et passer la barrière d'un énième tissu, et le dernier. Je retiens un léger gémissement, faut croire qu'on est deux à être pressé. Faut pas faire trop de bruit... Y'a des oreilles innocentes par ici Je ris doucement à sa demande murmurée. Pas faire trop de bruit, ba facile à dire, et si tu peux pas t'contrôler ? 'Fin bon ça devrait pouvoir se faire. Mes mains dans son dos, je descend caressant sa peau, m'introduisant dans son boxer, tandis que mes doigts glissent sur ses fesses, avec juste mon auriculaire, je fais suivre le boxer pour qu'il descend en même temps que mes caresses. Tu parles des mes oreilles ?!! c'est gentil... t'inquiètes message reçu Je remonte à son oreille pour lui murmurer cela avec amusement, tandis que dangereusement je fais bouger nos corps pour revenir sur lui, c'est plus amusant , non ? Et puis le boxer était rendu trop bas il sert plus à rien. De son oreille je descend doucement, laissant ma langue savourer sa peau, descend sur son cou et sa clavicule, arrivant à son torse, quand à mes doigts ils descendent où doit normalement se trouver on boxer. En temps normal seulement parce que là ça vaut pas la peine.Je continue ma descente parcourant ses tatouage. Étrangement plus je descend, et plus les dessins s'arrêtent. Serait-il pas à ce point taré pour ce faire tatoué par ici ? Néanmoins vraiment pas dérangé par l'absence de dessin, ma langue justement semble plutôt attirée. Et c'est même assez rapidement qu'elle attend cet endroit désiré, si il peut pas jouir de tatouages ici autant le faire autrement...

Tu parles des mes oreilles ?!! c'est gentil... t'inquiètes message reçu. Je me cambre sous lui alors que le flirte est là clairement dépassé. Nu et la peau totalement électrisée. Je me mord la lèvre une envie de gémir qui soudain viens m'habiter. Le comble alors que c'est moi qui viens de lui demander de faire trop de bruit. Dent crispé dans ma lèvre inférieur je maudis et béni sa langue d'avoir une telle agilité. je me laisse faire soumi par mes sens à sa seule volonté. Un gémissement m'échappe je l'attrape au épaules pour plutôt recommencer à s'embrasser. Son sous-vêtement envolés. Nos corps qui viennent se coller. Nos bassins qui s'entrechoquent ça fait décoller. Je lui caresse le dos m'amusant à le faire frissonner. La température à sensiblement augmentée. J'ai l'épiderme enflammé et l'humidité brulante, reste de l'orage d'été. N'est pas faite pour me calmer. Je reviens dans son cou ayant repris le dessus des opérations. Cherchons si d'autre tatouages sont cachés... Je charge mes lèvres et ma langue de l'opération. Souriant comme un enfant devant le " love is my weapon ". L'amour même sous les ponts ? Ou sous les auvent. Ça dépend du temps. Arrivé à son ventre j'y dépose une longue ligne de baisés. Tourne autours sans y toucher. Tourne autours descend plus bas puis remonte pour m'amuser. J'effleure sa virilité du bout de la langue, souffle dessus pour encore un peu plus provoquer. Finalement je crois que j'ai envie de prendre mon temps et de jouer... Le voir supplier se retenir de gémir avec une divine difficulté. Perdre pied. Et puis on a pas de lubrifiant sous la main alors faut improviser.

Lorsque je l'entends gémir un léger rire sors de mes lèvres, je croyais qu'on avait pas le droit de faire du bruit ? Alors faut se décider jeune homme les règles sont les mêmes pour nous deux pour cela. Je le sens m'attraper et me remonter. Tiens donc serait-il donc à ce point sensible à mes baisers ? Je me laisse embrasser, parce que si son corps est attirant ses lèvres le sont encore plus. Il reprend les commandes. Serait-il à ce point dominateur ? Ne supporterait-il donc pas de ne pas être le maître calculateur ? Soit je lui laisse ce rôle, il s'y attèle avec tellement de conviction et de bien être que je ne suis en position de dire non. De dire quoi que ce soit d'ailleurs, ses lèvres m'accaparent. Puis il s'éloigne reprenant le chemin que j'ai tracé sur son corps. Cherchons si d'autre tatouages sont cachés... Je ris légèrement me mordillant la langue en le regardant descendre, enfin son ombre, parce qu'il est vrai qu'ici on ne voit pas grand chose. Point positif à notre occupation qui nécessite aucune lumière, tout au tactile. Ses lèvres sur mon ventre me font frissonner, je le sens continuer et la pression de mes dents sur ma lèvres ne fait que s'accentuer. Tandis qu'il tourne autour de ma virilité sérieux désolé de la vulgarité mais il sait faire bander. Sentant alors sa langue j'étouffe au dernier moment un gémissement. Peu apte à réfléchir à autre chose que ce qui se passe. Pourtant est-ce raisonnable ? Ce mec si différent, ce mec qui change toujours de comportement. Ouai mais son fils me fait craquer, ce n'est pas une raison mais il dévoile une part de sensibilité. Et puis c'est juste du sexe, faites l'amour pas la guerre. Autant le faire une nuit, je préfère cette pratique aux coups de toute à l'heure; où cela peut-il mener ? J'en sais rien et j'éloigne ces pensées. Dérangé à peine une demi secondes, son souffle sur mon corps réveille une nouvelle fois mon désir décuplé. Et en plus le c** il veut jouer. Refermant mes dents sur ma lèvres j'essaye de pas gémir, pas lui donner ce plaisir. Et puis désolé j'suis pas non plus fan que certains nous entendent. Mais surtout j'veux pas qu'il est raison de moi si rapidement...si rapi...un gémissement m'échappe. Sale c**, trahit par son propre corps c'est une honte. Enfin bon dire que j'en ai pas envie, et de suite, se serait mentir. Respiration saccadée, entre coupé par ce désir qui ne fait que monter. tu cherches vraiment à m'torturer ?! Pas vraiment une question en faite.

Instant volé. Moment d'éternité que le temps ne nous rendra jamais. Sais tu que plus tard seuls nos souvenirs effacés, délavé, pourront s'en rappeler. Nos chaires ainsi enlacées finirons pas se putréfier. Elles ne seront de nos jeunes années, plus qu'un pâle reflet. Une imitation à gerber. Ils faut avant ça les envoler. Vite vite embrasse moi encore avant que tout se remette à merder. Avant que nos yeux se perdent dans l'acide de la vieillesse imposée. Viens, viens on va baiser. On va s'envoyer en l'air et gémir jusqu'à c'que de retenir soit une impossible possibilité. Entre mes lèvres j'ai ce qui suffit à le faire frémir. Douceur entres les êtres qui fait se sentir ivre. Mais pas vraiment vivre. Il manque ces mots pour qui ont ment. Sentiments. Tu cherches vraiment à m'torturer ?! J'éclate de rire avant de l'étouffer le nez contre son aine. J'en profite pour remonter jusqu'à ses lèvres à coup de baisés entre-couper de léchouille dispersées. Bientôt dans son cou j'enchaine sur des attentions mordiller. Précisons que je suis toujours entrain de rigoler à moitié. Son attitude mi enfantine mi provocante me plait terriblement. J'en viens enfin à l'embrasser, étonnement tendrement. Et entre deux échanges enflammés je lui chuchote doucement. Et tu as l'air d'adorer ça... Quoi comment ça ma main à remplacée depuis tout à l'heure mes lèvres un peu plus bas. Le sud de son corps, caresser pour le faire craquer. Réussir à le faire venir pour pouvoir continuer. Et puis ne pas cesser de l'embrasser. Ses lèvres et ses baisés qui ont sur moi bien drôle d'effet.

Je le sens continuer moi j'ai le souffle juste totalement bloqué alors qu'il s'amuse à me tester. J'remporte quoi si je tiens encore longtemps ? Ah moins que le but c'est d'se vider l'plus rapidement ? J'étouffe un nouveau soupire, c'est malin, quand c'est lui qui prend le dessus il est un peu maître de mes soupires. Puis il s'décide un m'accorder un repos ? J'en sais rien maintenant c'est une autre partie de ma peau, baiser, sa langue, désirée. Plus capable de coordonner pensées et envies. Seulement une chose manque ? Ça fait des années que j'y ai renoncé, aujourd'hui baiser c'est un acte juste de société. Plus de sentiments, j'ai finis par m'en faire totalement. Pour un fervant de l'amour ça fait un peu bancale cette théorie, mais rien à y faire c'est pas moi qui le décide entièrement. Ses lèvres revenant aux miennes me tirent de mes pensées, alors que je sens que sur mon bas ventre aucun mouvement c'est arrêté. Bravo il sait aussi bien jouer de ses mains que de sa langue, je l'embrasse pour étouffer tout gémissement, parce que je l'ai bien compris, je sais bien que je vais pas longtemps tenir, il y arrive trop bien et j'en ai juste trop envie. Je mords doucement sa lèvre inférieur, mes mains parcourant son dos, son torse, toute traces de peau mise à ma disposition. Ne...pas... pouvoir...se retenir. Il est vraiment très doué, force est de le constater.

Je suis bien obligé d'avouer, que son air de soumission passionnée. Ça donne envie mon dieu, ça fait bander. Mais la vulgarité n'a pas ici d'emprise chez moi c'est plutôt rare alors autant en profiter. Je visualise tout ça comme une interlude non-calculée. Une pause délicieuse dans nos vies survoltées. De temps en temps un baisé une caresse bien mérité. Autre chose que ses milliers de fans, un soupçon d'intimité. On partage le même enfer, celui qu'on adore et que jamais on ne quitterai. On a juste parfois ce besoin d'oxygène au milieu du souffre enflammée des concerts et des tournées. Une nouvelle manière de chanter. Je le sens et le vois bouger. S'entortiller dans les draps invisibles du plaisir partager. Tu va voir le ciel sera vite à notre porté. Ces foutues étoiles cesserons de me narguer. J'vais venir les taquiner. L'embraser sans cesser de t'embrasser. Je dévore sa peau, cherche à voler son goût d'interdit dérobé. Vice autorisé. J'aime plus que de raison ses mains qui parcoure mon corps aux connections nerveuses incendiées. Une gémissement m'échappe, pure expression de luxure assumé. Il est heureusement étouffé, noyé dans nos si nombreux baisés-brasier. Dans mon ventre un feu qui semble tout vouloir bruler. J'ai des flammes dans le corps qui sont entrain de dévasté la conscience qui me resté. Alors quand je le sens venir je ne peux m'empêcher de sourire avec perversité. Je fait glisser ma main du coup humidifiée plus encore vers l'arrière de son corps. Si jamais dit stop... Effort de politesse. J'avoue que ça me frustrerai qui nous arrête là, en plein ivresse. Un doigt qui glisse en lui tout en cherchant à détourner son attention pour ne pas le blesser. J'suis un poil brut normalement, mais là y'a pas moyen qu'il se sente agresser. Y'a une sorte d'empressement adolescent dans nos gestes qui casse toute envie de brutalité. La sauvagerie sera cette nuit bien différemment exposée. Et si un baisé mord un coup de rein donner nous munir d'ailes et non de chaines. La violence de l'amour qui fait gémir contrairement à celle de la haine. J'observe son visage dans l'obscurité qui nous enveloppe comme un cocon de sensualité. Continue en douceur de la préparer. Langueur, et lenteur voilà ce sur quoi j'ai miser. Ne pas le brusquer mais aussi le pousser à réclamer. Éveillez un lui un désir de plaisir décuplé. Mêlait les corps dans la plus grande de toute les intimité.

Si jamais dit stop... Je l'entend murmure. Mais attend qu'est-ce qu'il est entrain de me chanter ? Dire stop ? Il est pas un peu taré ? Pas avec ce genre de pratique, deux corps à l'assemblé non sérieux j'peux pas m'arrêter. Je ris un moment retrouvant ses lèvres et son parfums. Sentant sa main déraper un peu plus bas sur mon anatomie, ses lèvres qui ne cessent de m'embrasser, nan sérieux y'a aucune douleur. Enfin pas quand il s'en sort aussi bien. J'aurais plus tendance à demander d'accélrer. Un pil provocateur, je le regarde un moment avec amusement avant de faire courir ma langue sur son cou, sur l'arrête de sa mâchoire. Le laissant opéré, nan j'aime bien me laisser guide, et puis sérieux il a une tête à dominer. Mais y'a un truc qui cloche, comme toujorus même si c'est pas moche. Non il y a juste pas tout ce qui faut, et chaque fois comme toujorus ça sonne faux. Mouvement de mains, caressant et câlins, mouvements de bassins, douleurs, excitation, plaisir, douloureusement envie. Et pourtant parmi tout ça il y a comme même un manque mais de quoi ? Et parmi ses coups de bassin, je dévore son cou, les yeux dans les étoiles, pas loin du ciel, pourtant je sais bien que comme toujours tout ne va pas. Pas lui, c'est pas contre lui, mais si seulement le sexe c'était comme quand on sourit. Un sourire, un baiser, hop aucune arrière pensée. Si aujourd'hui c'est devenu ça, si même moi je suis le mouvement, je sais très bien qu'au fond chez moi y'a un blanc. Je me cambre un moment, revenant à ses lèvres, yeux fermer, faire comme si quoi ? De toute manière il y a personne à l'intérieur de moi.

Je reprend mon souffle difficilement, je sens le sien saccadé au dessus de moi, nos corps juste trempé, pluie, larmes du ciel, transpiration corporelle. Excitation et l'imagination, orgasme passé il reste quoi pour que ce vide soit comblé ? Je ferme les yeux, repoussant mes cheveux collé sur mon front d'un geste de main. Comment agir ? Sourire et s'enfuir ? Pas dans mes habitudes, en même temps les baises de soirées j'suis pas non plus un grand habitué. Les yeux fermés je cesse de le regarder, même si je le sens encore sur moi, au dessus, contre moi. Son corps collé au miens, et en faite ça ne me déplait même pas. Juste... reprendre mon souffle, et mes idées.

Et une fois à l'intérieur. Les secondes passe pour des heures. Les heures pour des leurres. On se ment. Tu le sais joli brun que nos embrasé n'équivaut rien puisqu'il manque les sentiments. Il manque se sursaut de contrôlé manqué. D'absolue perdu et chassé. Il nous faut bien plus pour s'abandonner. Mais il suffit de jouir pour l'oublier. Un instant effacé cette lancinante pensée. Solitude forcée. Nos forces se sont barrées. Défoulées par des coups de reins et des gémissements avec le ciel et l'autre seul partagés. On est finalement l'un sur l'autre trempée. Corps couverts de sueur et respirations saccadés. J'aurai envie de m'écarter pour mieux respirer. Mais en même temps j'ai peur de cassé le lien léger qui s'est tissé. Après l'orgasme et une fois la fièvre retombée. Tellement souvent le petit quelque chose est perdu, oublié. Trop souvent on laisse la chance passer. Amour ou amitié pour l'instant ça n'a la moindre espèce d'importance. On n'y pensera seul quand on prendra des vacances. Quand on dira qu'on y pense plus. Que finalement ça ne nous à pas tellement plut. Nous sommes tombés cette nuit. Il faut prendre garde à ne pas froisser la magie. Fragilité de toute une vie. On mentira quand le jour sera levé. On dissimulera notre trouble derrière de rire de bonne société. Des éclats de bonheur prés-fabriqué. Faut veiller à pas trop s'enticher. C'est vrais qu'aimer quelqu'un c'est le tuer. Alors vous imaginez ce que ça donne si on assume une attirance se transformant en sentiment partagé ? Le flippe total. L'inconnu qui jamais ne s'installe. Oui mais au levé du jour seulement. On peux encore s'embrasser avant. Jouer les roméo & juliette banal à attendre le chant de l'alouette pour se jeter. Et puis se casser sans un regard en arrière pour ne pas finir entretuer. Sakespear s'éttouferait pourtant c'est bien vrais. Plus de conte de fée ni d'amour irraisonné. Ça fait mauvais genre, garçonx aux sentiments éxacerbé. Même si on crois en l'amour. Même si on se permet d'en parler tout autours. Au finalement au moment propice on n'ose pas murmure que c'était génial mais qu'un truc à manquer. Un truc qu'il est si dure de nommer. Je lui vole un baiser tout en tendresse. Paresse. Je continue de douces caresse. Je reviens Me relevant je file chercher le paquet de clopes un peu plus loin abandonné. Un briquet et je l'ai rejoins sans plus patienter. Un batonet entre les lèvres je lui tend le paquet. Il doit être tard maintenant. Qu'importe je n'ai pas envi de le voir partir pour l'instant.

J'suis pas le genre à être blasé, pas celui qui peut juste balancé " bonne baise à plus". Oh non on me l'a peut-être trop reproché, trop m'accrocher aux gens j'dois l'avouer. Faire semblant, c'est faux nan nan. Pas d'attache aujourd'hui, on est devenu un monde de l'illusion, dire pardon c'est pire que trahison dire je t'aime on n'imagine même pas les problèmes. Problème. Oui ba ça se règles pas avec d'autres haines, n'a-t-on jamais dit qu'entre la haine et l'amour c'est la même passion ? Et que la barrière est fine ? Alors pourquoi pas faire le contraire de l'opinion, pourquoi manquer à ce point d'imagination ? Ne pourrait-on pas passer de la haine à l'amour, au lieu de noyer ses "je t'aime" à coup de pelle, pourquoi pas transformé les coups en caresses . D'ailleurs ça me fait songer... je ris doucement. Pauvre débile qui rit tout seule après avoir couché, bon ok pour taré j'suis le roi sacré. Non mais on l'a pourtant bien montré, tout à l'heure les coups et les caresses, j'explique moi-même mes théories. Mais regardez de plus près ici aussi c'est vide, pas de réponse pas d'osmose. Il n'y a que deux corps qui ont jouer de cette attraction, et puis quoi ? Terminé on passe à un autre sujet ? tiens pourquoi pas la pollution ? Ba oui sujet tout aussi intéressant. Pitoyable. Je me déteste. Je pensais en avoir finis avec ce genre de problème. Non pas que je veux devenir moine ou prude; mais depuis que Manon est partit j'pensais avoir été guérit; plus de coups d'un soir. Non parce que soit c'est trop illusoire, dérisoire, ou alors ça finit mal. Sentiment à deux balles, comme si quelques minutes de câlins, un bon orgasme et des jeux de mains et on pouvait tombé amoureux. Malheureusement avec moi tout est possible, c'est pour ça que je m'étais dis que je devrais arrêter.

Je reviens J'en profite pour juste renfiler mon boxer, rien de plus j'ai encore trop chaud. Je reste assis à regarder le ciel, pensif. Je l'entend revenir, odeur de clope nocif. J'en prend une quand il me tend son paquet, je prend aussi son briquet. Le claquement de celui-ci le feu qui s'allume. Lumière, voila maintenant le passé ce noie dans les embrumes. Oublié ? Faut pas croire ça va encore me tourmenté. Et puis en plus déjà qu'il m'intriguait, maintenant souvenirs de cette nuit enflammé, va vraiment falloir que j'trouve une solution pour pas moi aussi m'enflammer. A tort. Je soupire en riant encore. Débile c**. J'aspire le tabac tout en regardant le ciel. Puis mes pieds, tatoués. J'observe le sol, regardant mon jeans trainant. Bon pas envie de partir mais maintenant on s'dit quoi ? Parole d'après baise, chez les gens c'est pas comme chez moi. Où alors c'est le contraire, j'suis pas arbitraire. Mais pas l'habitude, souvent c'est dans une chambre et c'est avec une personne plutôt fixe, alors bisous, câlins et blagues amusantes on fait tout puis on s'endort...aimé. La on s'dit quoi ? Trouve un sujet parce que moi je sèche toujours après avoir couché...avec un étranger, 'fin tu vois ?! Non pas qu'il soit totalement étranger, mais faut pas abusé je le connais pas tant que ça...

» CHARLIE & ISMAËL - à l'hôpital tout rose END
» Et oui la malchance c'est un concept pour les malchanceux. Pas pour les bien-heureux. ◊ Charlie
» ISMAËL & CHARLIE - la chance ça se provoque, le hasard ça se profite
» CHARLIE & ISMAËL Jamais deux sans trois.
» CHARLIE • j'y ai crus un instant, mais je me suis souvenu alors que c'était la foi qui nous protégeait de tout ça.